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Note sur l'économie et le commerce de la Grèce
L'économie grecque
* Nombre d'unités d'euros par dollar canadien sur une moyenne de 250 jours en 2017. Sources : Fonds monétaire international (FMI), Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), Banque du Canada et Organisation mondiale du commerce (OMC). Compilation : Direction des politiques et analyse économiques, ministère de l'Économie, de l'Innovation et de l'Énergie (MEIE), août 2018. | |
Population (en millions) | 10,8 |
PIB (en milliards de dollars américains courants) | 200,7 |
PIB par habitant (en dollars américains courants) | 18 637,3 |
Taux de croissance du PIB réel (en pourcentage) | 1,4 |
Taux d'inflation (en pourcentage) | 1,2 |
Taux de chômage (en pourcentage) | 21,7 |
Taux de change* | 0,6826 |
Exportations de marchandises et services (en milliards de dollars américains courants) | 64,7 |
Importations de marchandises et services (en milliards de dollars américains courants) | 69,0 |
Le contexte économique en abrégé
La Grèce se remet de la grande dépression qu'elle a connue au cours des dernières années. Cet état de fait est la conséquence des crises1, dont celle de la dette souveraine, qui a conduit le pays au bord de la faillite. Pour y faire face, le pays a adopté des mesures d'austérité et élaboré plusieurs plans de relance, en plus de se voir imposer des mesures d'ajustement budgétaire. Il a également bénéficié d'aides financières de ses partenaires institutionnels (Union européenne et FMI).
Ce retour à la croissance économique est le résultat non seulement des nombreuses réformes mises en œuvre, mais aussi des efforts considérables consentis au cours des dernières années.
Ces efforts d'assainissement de l'économie en général, et des finances publiques en particulier, ont renforcé la crédibilité de la gestion de l'État (surtout des finances ou des dépenses publiques) et ont fortement contribué à l'embellie partielle ou embryonnaire amorcée et observée depuis les deux dernières années.
La croissance économique a ainsi repris grâce à cet environnement plus sain, mais surtout sous l'impulsion des exportations.
Malgré ces bons résultats, le niveau de la dette publique et des créances douteuses reste très élevé. Cette situation rend les perspectives économiques fragiles et sensibles aux chocs externes. Les salaires demeurent bas et le chômage reste très élevé, surtout chez les jeunes.
Dans ce contexte, en 2017, selon les données de l'OCDE, la Grèce a enregistré les résultats économiques suivants :
- une croissance du produit intérieur brut (PIB) réel de 1,4 % (−0,3 % en 2016);
- une inflation de 1,2 %;
- un taux de chômage de 21,7 % (23,5 % en 2016);
- un excédent budgétaire correspondant à 0,8 % du PIB.
Les perspectives économiques pour la période de 2018 à 2020 sont modérées, mais elles demeurent optimistes. En effet, la politique budgétaire a gagné en crédibilité (excédent dégagé) et l'investissement ainsi que la consommation devraient se redresser davantage au cours des prochaines périodes.
Les prévisions de l'OCDE2 indiquent une croissance du PIB de la Grèce de 2,3 % en 2018 et de 2,0 % en 2019.
La Grèce fera face à plusieurs défis au cours des années à venir. L'État devra utiliser efficacement les résultats positifs des récentes réformes pour redynamiser l'économie par un accroissement des investissements, sans retomber dans le cycle infernal de la dette. Il devra aussi poursuivre les réformes entreprises afin de parvenir à une croissance réellement inclusive. Il faudra enfin qu'il administre mieux la protection sociale afin d'améliorer le niveau de vie de la population durement frappée par la crise.
Les finances publiques3
En ce qui concerne les finances publiques, les résultats se sont nettement améliorés grâce aux nombreuses réformes. Le solde budgétaire des administrations publiques s'est aussi amélioré et est devenu excédentaire.
En 2017, l'excédent budgétaire correspondait à 0,8 % du PIB. Cette amélioration du solde des administrations publiques grecques devrait se poursuivre. Les estimations indiquent un excédent de 0,5 % du PIB en 2018 et de 0,4 % en 2019.
Sur le plan fiscal, la situation devrait également évoluer favorablement grâce, d'une part, à l'élargissement de l'assiette fiscale et, d'autre part, à la promotion par l'État de l'utilisation du mode électronique de paiement. Ces deux mesures ou pratiques devraient, en définitive, améliorer les recouvrements et les recettes fiscales de l'État.
La dette reste élevée (185 % du PIB). Des réformes continues et favorables à la croissance des excédents budgétaires ainsi qu'une restructuration de la dette contribueraient à l'amélioration de la situation financière du pays.
L'objectif des autorités grecques est de continuer à dégager des excédents budgétaires en 2018, en 2019 et en 2020 afin de maintenir la crédibilité des finances (dépenses publiques) et de faciliter la réalisation des autres objectifs économiques.
Le commerce extérieur de la Grèce
En 2017, le commerce extérieur de la Grèce (exportations et importations de biens et services) s'élevait à 133,7 G$ US, ce qui correspondait à 66,6 % du PIB. Les exportations et les importations représentaient respectivement 48,4 % et 51,6 % du commerce total de biens et services. La valeur effective du commerce de biens était de 89,4 G$ US. Quant à la valeur du commerce de services, elle était estimée à 44,2 G$ US.
Les marchandises comptaient alors pour 66,9 % des échanges et les services commerciaux pour 33,1 %.
Toujours en 2017, la Grèce était le 60e exportateur (0,18 %) et le 48e importateur (0,32 %) de marchandises au monde.
Elle se situait au 36e rang mondial des exportateurs (0,61 %) et au 55e rang des importateurs (0,24 %) de services commerciaux.
Cette même année, en ce qui concerne les exportations de services commerciaux, les services de voyage se classaient au premier rang (52,2 %), suivis des services reliés au transport (32,3 %). Dans le cas des importations de services, les services reliés au transport occupaient le premier rang (46,9 %), suivis des services de voyage (17,7 %).
Les principaux groupes de produits
En 2017, les principaux groupes de produits exportés par la Grèce étaient les suivants :
- les produits manufacturés (37,5 %);
- les produits combustibles et miniers (35,7 %);
- les produits agricoles (24,6 %);
- les autres produits (2,2 %).
Cette même année, les principaux groupes de produits importés par la Grèce étaient les suivants :
- les produits manufacturés (58,3 %);
- les produits combustibles et miniers (25,6 %);
- les produits agricoles (15,7 %);
- les autres produits (0,3 %).
Les principaux partenaires commerciaux4
En 2017, les principaux clients de la Grèce étaient :
- l'Union européenne (UE-28);
- la Turquie;
- le Liban;
- les États-Unis;
- l'Égypte.
Toujours en 2017, ses principaux fournisseurs étaient :
- l'UE-28;
- la Russie;
- la Corée du Sud;
- l'Irak;
- la Chine.
Les investissements directs étrangers
Selon la CNUCED5, en 2017 :
- les flux d'investissements directs étrangers (IDE) à destination de la Grèce (flux entrants) se chiffraient à 4 G$ US;
- les flux entrants d'IDE des économies de l'UE-28 s'élevaient à 303,6 G$ US;
- les flux entrants d'IDE mondiaux totalisaient quant à eux 1 430,0 G$ US.
Selon la même source, en 2017 :
- les flux sortants d'IDE grecs se chiffraient à 672 M$ US;
- les flux sortants d'IDE des économies de l'UE-28 s'élevaient à 435,7 G$ US;
- les flux sortants d'IDE mondiaux s'établissaient à 1 430,0 G$ US.
Le commerce de marchandises6 entre le Québec et la Grèce7
L'évolution des échanges
- En 2017, les échanges commerciaux de marchandises entre le Québec et la Grèce se chiffraient à 114,2 M$, ce qui représentait une baisse de 11,8 % par rapport à l'année 2016. Cette baisse résultait de la diminution des importations (−13 M$) et des exportations (−2 M$).
- Au cours de la période de 2013 à 2017, la croissance annuelle moyenne de la valeur des échanges était positive (+9,4 %).
- En 2017, la valeur de ces échanges représentait 33,3 % des échanges commerciaux de biens entre le Canada et la Grèce, comparativement à 35,2 % en 2016.
- Toujours en 2017, la valeur des échanges commerciaux de marchandises entre le Québec et la Grèce correspondait à 4,5 % de la valeur totale des échanges entre le Québec et l'UE-28 et à 0,1 % de la valeur des échanges internationaux de marchandises de la province.
- Cette même année, la Grèce se classait au 22e rang des partenaires commerciaux du Québec au sein de l'UE-28 et au 65e rang des partenaires commerciaux internationaux du Québec.
Les exportations
En 2017, la valeur des exportations de marchandises du Québec à destination de la Grèce s'établissait à 14,6 M$, ce qui représentait une baisse de 13,9 % par rapport à l'année 2016. Elle correspondait également à 15,1 % de la valeur totale des exportations canadiennes vers ce pays.
Toujours en 2017, la valeur des exportations de marchandises du Québec vers la Grèce représentait 0,14 % des exportations québécoises vers l'UE-28 et 0,017 % du total des exportations internationales de marchandises du Québec.
Cette même année, parmi les clients du Québec, la Grèce se classait au 23e rang des pays de l'UE-28 et au 90e rang à l'échelle internationale.
Au cours de la période de 2013 à 2017, la croissance annuelle moyenne de la valeur des exportations était négative (−3,4 %).
En 2017, les cinq produits en tête de liste des exportations québécoises vers la Grèce étaient les suivants :
- le papier journal en rouleaux ou en feuilles (19,6 % du total);
- les médicaments présentés sous forme de doses (9,7 %);
- les appareils électriques de signalisation acoustique ou visuelle (5,6 %);
- les parties d'avions, d'hélicoptères et d'autres véhicules aériens (5,4 %);
- les médicaments constitués par des produits mélangés entre eux, en vrac (5,0 %).
La valeur des dix principaux produits québécois exportés vers la Grèce représentait alors 62,5 % de l'ensemble des exportations du Québec vers ce pays.
Toujours en 2017, le contenu en technologie des exportations de biens manufacturés du Québec à destination de la Grèce se répartissait comme suit :
- les produits de faible technologie (45,3 %);
- les produits de haute technologie (31,7 %);
- les produits de moyenne-haute technologie (16,2 %);
- les produits de moyenne-faible technologie (6,7 %).
Au cours de la période de 2013 à 2017, les produits de faible technologie ont dominé les exportations du Québec vers la Grèce sauf en 2013, année où ils ont été dépassés par les produits de haute technologie.
Les importations
En 2017, la valeur des biens dédouanés au Québec en provenance de la Grèce était de 99,6 M$, ce qui représentait une baisse de 11,5 % par rapport à l'année 2016. Cette valeur correspondait également à 40,5 % du total des importations canadiennes en provenance de ce pays.
Les importations de marchandises du Québec en provenance de la Grèce représentaient alors 0,44 % des importations québécoises en provenance de l'UE-28 et 0,11 % du total des importations internationales de marchandises du Québec.
Toujours en 2017, la Grèce était le 19e fournisseur du Québec parmi les pays de l'UE-28 et son 56e fournisseur à l'échelle internationale.
Au cours de la période de 2013 à 2017, la croissance annuelle moyenne de la valeur des importations était positive (+12,1 %).
En 2017, les cinq produits en tête de liste des biens manufacturés dédouanés au Québec en provenance de la Grèce étaient les suivants :
- l'huile d'olive et ses fractions, même raffinées, mais non chimiquement modifiées (13,9 % du total);
- les argiles (10,0 %);
- les légumes, les fruits et les autres parties comestibles de plantes (6,7 %);
- les charbons activés et les matières minérales naturelles activées (6,4 %);
- les poissons frais ou réfrigérés (6,1 %).
La valeur des dix principaux produits manufacturés dédouanés au Québec en provenance de la Grèce représentait alors 61 % de l'ensemble des importations du Québec en provenance de ce pays.
En 2017, le contenu en technologie des biens manufacturés dédouanés au Québec en provenance de la Grèce se présentait comme suit :
- les produits de faible technologie (70,1 %);
- les produits de moyenne-haute technologie (13,0 %);
- les produits de moyenne-faible technologie (11,8 %);
- les produits de haute technologie (5,1 %).
Au cours de la période de 2013 à 2017, les produits de faible technologie ont dominé les importations.
Annexe
Tableau 1
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|
* Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. e : Ces données sont des estimations de l'OMC. Source : OMC, avril 2018 (marchandises) et mai 2018 (services commerciaux). Compilation : Direction des politiques et analyse économiques, MEI, août 2018. | |||||
Exportations de marchandises et services* | 73,3 | 77,0 | 59,5 | 55,7 | 64,7 |
Marchandises | 36,3 | 36,0 | 28,7 | 28,2 | 32,6 |
Services commerciaux | 37,0 | 41,0 | 30,8 | 27,5 | 32,1e |
Importations de marchandises et services* | 78,6 | 81,0 | 60,4 | 59,4 | 69,0 |
Marchandises | 62,4 | 64,2 | 48,4 | 48,8 | 56,8 |
Services commerciaux | 16,1 | 16,8 | 12,0 | 10,6 | 12,1e |
Commerce total | 151,9 | 158,0 | 119,9 | 115,1 | 133,7 |
Balance commerciale* (biens et services) | -5,3 | -4,0 | -0,9 | -3,8 | -4,3 |
Tableau 2
Clients | % | Fournisseurs | % |
---|---|---|---|
* Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. Source : OMC. Compilation : Direction des politiques et analyse économiques, MEI, août 2018. | |||
Union européenne (28) | 53,0 | Union européenne (28) | 50,6 |
Turquie | 6,9 | Russie | 7,0 |
Liban | 4,4 | Corée du Sud | 6,5 |
États-Unis | 3,9 | Irak | 6,4 |
Égypte | 2,7 | Chine | 5,6 |
Autres partenaires* | 27,4 | Autres partenaires* | 23,6 |
Monde* | 100,0 | Monde* | 100,0 |
Tableau 3
* Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. Sources : Statistique Canada et Institut de la statistique du Québec. Compilation : Direction des politiques et analyse économiques, MEI, août 2018. | |||||
2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|
Exportations de biens | 17 | 26 | 21 | 17 | 15 |
Importations de biens | 63 | 73 | 101 | 113 | 100 |
Échange totaux* | 80 | 99 | 121 | 130 | 114 |
Tableau 4
Description des produits Classification SH4 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | |
* Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. Source : Statistique Canada et Institut de la statistique du Québec. Compilation : Direction des politiques et analyse économiques, MEI, août 2018. | ||||||||||
Papier journal en rouleaux ou en feuilles | 0,2 | 1,3 | 0,6 | 2,3 | 0,7 | 3,3 | 2,7 | 15,6 | 2,9 | 19,6 |
Médicaments présentés sous forme de doses | 1,5 | 9,0 | 1,0 | 3,8 | 2,8 | 13,3 | 0,4 | 2,2 | 1,4 | 9,7 |
Appareils électriques de signalisation acoustique ou visuelle | 0,7 | 4,3 | 0,7 | 2,6 | 0,7 | 3,3 | 1,2 | 7,2 | 0,8 | 5,6 |
Parties d'avions, d'hélicoptères et d'autres véhicules aériens | 0,5 | 2,9 | 1,0 | 3,8 | 0,4 | 1,7 | 0,5 | 2,8 | 0,8 | 5,4 |
Médicaments constitués par des produits mélangés entre eux, en vrac | 0,0 | 0,0 | 0,6 | 2,2 | 0,6 | 2,7 | 0,9 | 5,0 | 0,7 | 5,0 |
Légumes à cosse secs, écossés, même décortiqués ou cassés | 4,9 | 29,4 | 5,9 | 22,6 | 4,7 | 22,8 | 2,4 | 13,9 | 0,7 | 4,9 |
Imprimés, comprenant les images, gravures et photographies | 0,1 | 0,3 | 8,6 | 32,9 | 3,2 | 15,4 | 0,7 | 4,1 | 0,5 | 3,5 |
Instruments et appareils pour analyses physiques ou chimiques | 0,2 | 0,9 | 0,2 | 0,8 | 0,3 | 1,5 | 0,1 | 0,5 | 0,5 | 3,4 |
Viande de porc fraîche, réfrigérée ou congelée | 1,0 | 5,8 | 0,3 | 1,1 | 0,2 | 0,8 | 0,2 | 0,9 | 0,4 | 2,9 |
Machines et appareils pour la fabrication industrielle d'aliments | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,4 | 2,4 |
10 principaux produits ci-dessus* | 9,0 | 53,9 | 18,9 | 72,2 | 13,4 | 64,9 | 8,9 | 52,3 | 9,1 | 62,5 |
Autre produits* | 7,8 | 46,1 | 7,3 | 27,8 | 7,3 | 35,1 | 8,1 | 47,7 | 5,5 | 37,5 |
Total* | 16,8 | 100,0 | 26,1 | 100,0 | 20,7 | 100,0 | 17,0 | 100,0 | 14,6 | 100,0 |
Québec/Canada | 18,9 | 22,3 | 18,3 | 20,4 | 15,1 |
Tableau 5
Description des produits Classification SH4 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | |
* Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. Source : Statistique Canada et Institut de la statistique du Québec. Compilation : Direction des politiques et analyse économiques, MEI, août 2018. | ||||||||||
Huile d'olive et ses fractions, même raffinées, mais non chimiquement modifiées | 8,7 | 13,7 | 9,6 | 13,2 | 12,8 | 12,7 | 15,2 | 13,5 | 13,8 | 13,9 |
Argiles | 4,5 | 7,2 | 5,2 | 7,2 | 7,3 | 7,2 | 7,5 | 6,7 | 9,9 | 10,0 |
Légumes, fruits et autres parties comestibles de plantes | 3,2 | 5,1 | 3,5 | 4,8 | 5,0 | 5,0 | 6,2 | 5,5 | 6,7 | 6,7 |
Charbons activés et matières minérales naturelles activées | 7,5 | 12,0 | 8,5 | 11,6 | 11,3 | 11,2 | 16,4 | 14,5 | 6,4 | 6,4 |
Poissons frais ou réfrigérés | 3,3 | 5,2 | 3,9 | 5,4 | 4,2 | 4,2 | 5,5 | 4,9 | 6,0 | 6,1 |
Vin de raisins frais | 2,7 | 4,2 | 2,7 | 3,7 | 3,5 | 3,4 | 4,1 | 3,7 | 5,0 | 5,0 |
Légumes préparés ou conservés autrement qu'au vinaigre | 4,5 | 7,1 | 4,9 | 6,8 | 3,7 | 3,7 | 4,6 | 4,1 | 3,8 | 3,8 |
Médicaments présentés sous forme de doses | 3,6 | 5,8 | 3,7 | 5,1 | 3,2 | 3,2 | 5,9 | 5,2 | 3,2 | 3,2 |
Fromages et caillebotte | 3,1 | 4,8 | 3,2 | 4,4 | 2,2 | 2,1 | 3,1 | 2,8 | 3,1 | 3,1 |
Fruits et autres parties comestibles de plantes | 2,1 | 3,3 | 1,6 | 2,2 | 2,8 | 2,8 | 3,5 | 3,1 | 2,9 | 2,9 |
10 principaux produits ci-dessus* | 43,2 | 68,5 | 47,0 | 64,4 | 55,9 | 55,6 | 72,0 | 64,0 | 60,7 | 61,0 |
Autre produits* | 19,9 | 31,5 | 26,0 | 35,6 | 44,6 | 44,4 | 40,5 | 36,0 | 38,8 | 39,0 |
Total* | 63,1 | 100,0 | 73,0 | 100,0 | 100,5 | 100,0 | 112,5 | 100,0 | 99,6 | 100,0 |
Québec/Canada | 41,0 | 39,2 | 44,0 | 46,6 | 40,5 |
Tableau 6
Niveau de technologie | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | |
* Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. Source : Statistique Canada et Institut de la statistique du Québec. Compilation : Direction des politiques et analyse économiques, MEI, août 2018. | ||||||||||
Haute technologie | 3,7 | 34,8 | 3,7 | 19,5 | 4,9 | 33,0 | 3,1 | 22,9 | 4,1 | 31,7 |
Moyenne-haute technologie | 1,2 | 11,5 | 1,5 | 7,7 | 2,6 | 17,2 | 1,9 | 13,9 | 2,1 | 16,2 |
Moyenne-faible technologie | 2,1 | 20,3 | 2,0 | 10,3 | 1,2 | 8,3 | 1,3 | 9,9 | 0,9 | 6,7 |
Faible technologie | 3,5 | 33,4 | 11,8 | 62,5 | 6,2 | 41,5 | 7,2 | 53,3 | 5,8 | 45,3 |
Total manufacturier* | 10,5 | 100,0 | 18,9 | 100,0 | 14,9 | 100,0 | 13,4 | 100,0 | 12,9 | 100,0 |
Tableau 7
Niveau de technologie | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | |
* Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. Source : Statistique Canada et Institut de la statistique du Québec. Compilation : Direction des politiques et analyse économiques, MEI, août 2018. | ||||||||||
Haute technologie | 3,7 | 7,1 | 3,8 | 6,6 | 3,4 | 4,4 | 5,9 | 7,5 | 3,2 | 5,1 |
Moyenne-haute technologie | 8,3 | 16,1 | 9,9 | 17,3 | 14,4 | 18,6 | 18,9 | 23,8 | 8,3 | 13,0 |
Moyenne-faible technologie | 8,4 | 16,4 | 10,1 | 17,6 | 21,0 | 27,0 | 9,1 | 11,5 | 7,5 | 11,8 |
Faible technologie | 31,1 | 60,4 | 33,4 | 58,4 | 38,8 | 50,0 | 45,4 | 57,2 | 44,7 | 70,1 |
Total manufacturier* | 51,4 | 100,0 | 57,2 | 100,0 | 77,6 | 100,0 | 79,3 | 100,0 | 63,9 | 100,0 |
1. Mentionnons la crise mondiale de 2008-2009 et celle de la zone euro de 2011, qui était une crise de la dette souveraine de plusieurs pays de cette zone.
2. Source : OCDE, Perspectives économiques de l’OCDE, volume 2018, no 1.
3. Ibid.
4. Voir le tableau 2 de l’annexe pour des données additionnelles.
5. Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED), août 2018.
6. Dans le présent contexte, les termes biens et marchandises sont interchangeables.
7. Voir les tableaux 3 à 7 de l’annexe pour des données additionnelles.
8. Source : Statistique Canada, Liens de parenté entre sociétés, 2e trimestre de 2018.