Asie/
Note abrégée sur le commerce Québec-Japon
L'économie japonaise
1. Nombre d'unités de yens par dollar canadien sur une moyenne 250 jours en 2016. Sources : Fonds monétaire international (FMI), Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), Banque du Canada et Organisation mondiale du commerce (OMC). Compilation : Direction des politiques et de l'analyse économiques, ministère de l'Économie de la Science et de l'Innovation (MESI), août 2017. | |
Population (en million) | 126,9 |
---|---|
PIB (en milliards de dollars américains courant) | 4 938,6 |
PIB par habitant (en dollars américains courant) | 38 917,3 |
Taux de croissance du PIB réel (%) | 1,0 |
Taux d'inflation (%) | -0,1 |
Taux de chômage (%) | 3,1 |
Taux de change1 | 81,9001 |
Exportations de biens et services (en milliards de dollars américains courants) | 813,7 |
Importations de biens et services (en milliards de dollars américains courants) | 789,6 |
Le contexte économique en abrégé
Durant les deux dernières décennies, la croissance de l’économie japonaise a été faible, voire anémique, avec une croissance moyenne annuelle de 0,9 % au cours de la période 1996-2015. Cette faible performance est attribuable à plusieurs facteurs :
- la crise immobilière des années 90 en Asie (éclatement de la bulle du prix des actifs);
- le tremblement de terre de mars 2011 (la catastrophe naturelle la plus grave de l’après-guerre);
- la crise économique et financière de 2008;
- la forte chute des exportations.
Ce sont autant de facteurs qui ont contribué à ralentir, voire à arrêter la croissance de l’économie japonaise.
Du point de vue des finances publiques en général et sur le plan budgétaire en particulier, la faiblesse de la croissance économique et des revenus conjuguée à la hausse des dépenses publiques (due en partie au vieillissement de la population) a fait croître l’endettement public (239,8 % du produit intérieur brut [PIB] – OCDE) et a contribué à creuser le déficit budgétaire.
La stratégie de reprise économique1, « les Abenomics », présentée en 2013 et qui devait relancer l’économie, ne semble pas avoir donné les résultats escomptés. Les entreprises hésitent toujours à investir et à augmenter les salaires de sorte que la consommation des ménages ne parvient pas à croître de façon considérable.
En dépit de ce contexte économique difficile, le Japon est de plus en plus étroitement intégré dans les chaînes de valeur mondiales, surtout en Asie.
En 2016, le Japon a enregistré les résultats économiques suivants :
- une croissance du PIB réel de 1 %, selon les données du FMI;
- un taux d’inflation de -0,1 %;
- un taux de chômage de 3,1 %;
- un solde budgétaire déficitaire correspondant à 4,6 % du PIB (contre 3,5 % en 2015 – OCDE).
Selon les données de la Banque mondiale, en 2016, le PIB2 du Japon se situait au 3e rang mondial, derrière ceux des États-Unis et de la Chine.
Les perspectives économiques restent faiblement optimistes, car la croissance demeure tributaire du contexte mondial en général et, en particulier, des exportations et de la consommation du pays. Elle sera aussi sensible aux enjeux et aux tensions géopolitiques actuels dans la région (Asie du Nord-Est). Les prévisions du FMI indiquent une croissance de l’économie nippone :
- de 1,2 % en 2017;
- de 0,6 % en 2018;
- de 0,8 en 2019.
Les défis auxquels fait face le Japon sont nombreux :
- stimuler la croissance économique au moyen de réformes structurelles audacieuses;
- réduire la dette publique et stabiliser le ratio d’endettement;
- endiguer les dépenses sociales;
- mettre fin à la déflation;
- répondre aux besoins d’une population vieillissante en augmentation.
Le commerce de marchandises entre le Québec et le Japon
L'évolution des échanges
En 2016, les échanges commerciaux de marchandises3 entre le Québec et le Japon4 se chiffraient à 3,4 G$, ce qui représentait une hausse de 3,9 % par rapport à l’année 2015. Cette hausse s’expliquait principalement par l’augmentation des exportations (+181 M$), les importations ayant plutôt diminué.
Au cours de la période considérée (2012-2016), la croissance annuelle moyenne de la valeur des échanges était négative (-2,2 %).
En 2016, la valeur de ces échanges représentait 12,8 % des échanges commerciaux de biens entre le Canada et ce pays.
Toujours en 2016, la valeur des échanges commerciaux de marchandises entre le Québec et le Japon était supérieure à celle établie entre le Québec et la plupart des pays de l’Union européenne (UE-28), à l’exception :
- de l’Allemagne (6 G$);
- du Royaume‑Uni (4,8 G$);
- de la France (4,2 G$).
Cette même année, le Japon se classait au 2e rang des partenaires commerciaux du Québec en Asie, derrière la Chine, et au 7e rang des partenaires commerciaux internationaux du Québec.
Les exportations
En 2016, la valeur des exportations de marchandises du Québec à destination du Japon s’établissait à 1,3 G$ et représentait 12,1 % du total des exportations canadiennes vers ce pays. Elle correspondait également à une hausse de 16,3 % par rapport à l’année précédente.
La même année, les exportations de marchandises du Québec vers le Japon représentaient 18,4 % des exportations québécoises vers l’Asie et 1,6 % du total des exportations internationales de marchandises du Québec.
Les exportations québécoises de marchandises vers l’Asie représentaient 8,7 % du total des exportations internationales de marchandises du Québec.
Toujours en 2016, le Japon était le 2e client du Québec en Asie, derrière la Chine, et le 6e client international du Québec.
En 2016, les cinq produits en tête de liste des exportations québécoises vers le Japon étaient les suivants :
- le minerai de fer et ses concentrés (23,8 % du total);
- la viande de porc fraîche, réfrigérée ou congelée (22,7 %);
- les fèves de soya, même concassées (7,0 %);
- les parties d’avions, d’hélicoptères et d’autres véhicules aériens (4,7 %);
- les cendres et les résidus contenant du métal ou des composés métalliques (4,2 %).
La valeur des dix principaux produits québécois exportés vers le Japon représentait 71,7 % de la valeur de l’ensemble des exportations du Québec vers ce pays.
En 2016, le contenu en technologie des exportations de biens manufacturés à destination du Japon se répartissait comme suit :
- les produits de faible technologie (52,5 %);
- les produits de haute technologie (26,1 %);
- les produits de moyenne-faible technologie (10,8 %);
- les produits de moyenne-haute technologie (10,6 %).
Au cours de la période considérée (2012-2016), les produits de faible technologie ont dominé les exportations du Québec à destination du Japon.
Les importations
En 2016, la valeur des biens dédouanés au Québec en provenance du Japon était de 2,1 G$, ce qui représentait 13,3 % des importations canadiennes en provenance de ce pays et correspondait à une baisse de 2,5 % par rapport à l’année 2015. Cette baisse était attribuable principalement au recul des importations de parties d’avions, d’hélicoptères et d’autres véhicules aériens (-197 M$).
En 2016, les importations de marchandises du Québec en provenance du Japon représentaient 10,7 % des importations québécoises en provenance de l’Asie et 2,4 % du total des importations québécoises de marchandises à l’échelle internationale.
Toujours en 2016, le Japon était le 2e fournisseur du Québec en Asie et le 9e au monde.
Cette même année, les cinqproduits en tête de liste des biens manufacturés dédouanés au Québec en provenance de ce pays étaient les suivants :
- les voitures de tourisme (46,2 % du total);
- les parties d’avions, d’hélicoptères et d’autres véhicules aériens (6,5 %);
- les circuits imprimés (5,0 %);
- les pneus neufs (4,2 %);
- les parties et les accessoires de véhicules automobiles (3,2 %).
La valeur des dix principaux produits dédouanés au Québec en provenance du Japon représentait 72,3 % de la valeur de l’ensemble des importations du Québec en provenance de ce pays.
Le contenu en technologie des biens manufacturés dédouanés au Québec en provenance du Japon se présentait comme suit :
- les produits de moyenne-haute technologie (71,5 %);
- les produits de haute technologie (19,6 %);
- les produits de moyenne-faible technologie (6,1 %);
- les produits de faible technologie (2,8 %).
Au cours de la période considérée (2012-2016), les produits de moyenne-haute technologie ont dominé les importations du Québec en provenance du Japon.
Les sociétés et les investissements sous contrôle étranger
En 20165, 39 filiales d’entreprises japonaises étaient établies au Québec.
Les données touristiques
De 2009 à 20136, l’évolution du nombre de touristes japonais au Québec a été caractérisée par une hausse continue jusqu’en 2011, suivie d’une diminution en 2012 et d’une reprise en 2013. Au cours de la même période, le nombre de touristes québécois au Japon a, lui aussi, connu une alternance de hausses et de baisses. En 2013, ce nombre a baissé.
Toujours au cours de cette période (2009-2013), le nombre de touristes japonais au Québec était plus élevé que le nombre de touristes québécois au Japon, sauf en 2012.
L’évolution des dépenses touristiques montre cependant que les dépenses des touristes japonais au Québec étaient, de façon systématique, nettement inférieures (sauf en 2009) aux dépenses des touristes québécois au Japon. En 2012, les dépenses des touristes québécois au Japon étaient plus de deux fois supérieures à celles des touristes japonais au Québec.
De 2009 à 2013, à l’exception de l’année 2011, les dépenses des touristes québécois au Japon ont augmenté de façon régulière, passant de 16,3 M$ à 27,5 M$.
Au cours de la même période, les dépenses des touristes japonais au Québec n’ont pas suivi la même tendance haussière que celle des dépenses des touristes québécois au Japon. Elles ont plutôt été caractérisées par une alternance de baisses et de hausses :
- 22,1 M$ en 2009;
- 24,2 M$ en 2010;
- 20,6 M$ en 2011;
- 10,8 M$ en 2012.
Au total, les dépenses des touristes japonais au Québec sont demeurées inférieures aux dépenses des touristes québécois au Japon au cours de cette période.
Annexe
Tableau 1
2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | |
---|---|---|---|---|---|
*Les chiffres étant arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué. Sources : Statistique Canada et Institut de la statistique du Québec. Compilation : Direction des politiques et de l'analyse économiques, MESI, août 2017. | |||||
Exportations | 1 007,4 | 943,7 | 1 211,5 | 1 113,4 | 1 294,5 |
Importations | 2 712,0 | 2 325,3 | 1 988,3 | 2 157,4 | 2 102,6 |
Commerce total | 3 719,4 | 2 368,9 | 3 199,8 | 3 270,8 | 3 397,1 |
Tableau 2
Description des produits Classification SH4 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | |
*Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. Sources : Statistique Canada et Institut de la statistique du Québec. Compilation : Direction des politiques et de l'analyse économiques, MESI, août 2017. | ||||||||||
Minerai de fer et ses concentrés | 78,2 | 7,8 | 121,3 | 12,9 | 286,9 | 23,7 | 196,7 | 17,7 | 308,1 | 23,8 |
Viande de porc fraîche, réfrigérée ou congelée | 285,4 | 28,3 | 233,6 | 24,8 | 226,1 | 18,7 | 234,1 | 21,0 | 293,4 | 22,7 |
Fèves de soja, même concassées | 103,2 | 10,2 | 110,7 | 11,7 | 102,9 | 8,5 | 90,9 | 8,2 | 90,5 | 7,0 |
Partie d'avions, d'hélicoptères et d'autres véhicules aériens | 24,6 | 2,4 | 33,3 | 3,5 | 47,2 | 3,9 | 59,1 | 5,3 | 61,0 | 4,7 |
Cendres et résidus contenant du métal ou des composés métalliques | 83,5 | 8,3 | 41,4 | 4,4 | 42,4 | 3,5 | 40,7 | 3,7 | 54,1 | 4,2 |
Avions, hélicoptères et autres véhicules aériens ou spatiaux | 38,4 | 3,8 | 32,7 | 3,5 | 36,4 | 3,0 | 40,7 | 3,7 | 32,6 | 2,5 |
Sucres, y compris le lactose, le maltose, le glucose et le fructose | 24,7 | 2,5 | 24,6 | 2,6 | 29,4 | 2,4 | 26,1 | 2,3 | 25,6 | 2,0 |
Appareils de mesure ou de contrôle et projecteurs de profil | 11,7 | 1,2 | 13,9 | 1,5 | 15,9 | 1,3 | 21,7 | 1,9 | 24,8 | 1,9 |
Poudres et palliettes de nickel | 9,2 | 0,9 | 11,1 | 1,2 | 14,7 | 1,2 | 22,2 | 2,0 | 19,4 | 1,5 |
Turboréacteurs, turbopropulseurs et autres turbines à gaz | 30,3 | 3,0 | 19,1 | 2,0 | 20,4 | 1,7 | 17,7 | 1,6 | 18,9 | 1,5 |
10 principaux produits ci-dessous* | 689,0 | 68,4 | 641,7 | 68,0 | 822,4 | 67,9 | 750,0 | 67,4 | 928,4 | 71,7 |
Autres produits* | 318,4 | 31,6 | 302,0 | 32,0 | 389,1 | 32,1 | 363,4 | 32,6 | 366,1 | 28,3 |
Total | 1 007,4 | 100,0 | 943,7 | 100,0 | 1 211,5 | 100,0 | 1 113,4 | 100,0 | 1 294,5 | 100,0 |
Québec/Canada | 9,7 | 8,9 | 11,3 | 11,4 | 12,1 |
Tableau 3
Description des produits Classification SH4 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | |
*Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. Sources : Statistique Canada et Institut de la statistique du Québec. Compilation : Direction de l'analyse économique, MESI, août 2017. | ||||||||||
Voitures de tourisme et autres types de véhicules | 1 194,8 | 44,1 | 969,8 | 41,7 | 730,6 | 36,7 | 844,3 | 39,1 | 971,2 | 46,2 |
Parties d'avions, d'hélicoptères et d'autres véhicules aériens | 373,2 | 13,8 | 397,6 | 17,1 | 346,8 | 17,4 | 334,0 | 15,5 | 137,1 | 6,5 |
Circuits imprimés | 111,9 | 4,1 | 116,3 | 5,0 | 104,4 | 5,2 | 95,3 | 4,4 | 104,6 | 5,0 |
Bouteurs, bouteurs biais, niveleuses er décapeuses, autopropulsés | 184,2 | 6,8 | 116,0 | 5,0 | 89,5 | 4,5 | 78,3 | 3,6 | 88,0 | 4,2 |
Pneus neufs et caoutchouc | 74,7 | 2,8 | 54,4 | 2,3 | 71,9 | 3,6 | 78,4 | 3,6 | 67,1 | 3,2 |
Parties et accessoires de véhicules automobiles | 50,3 | 1,9 | 50,7 | 2,2 | 49,2 | 2,5 | 61,0 | 2,8 | 44,9 | 2,1 |
Groupes électrogènes et convertisseurs rotatifs électriques | 1,2 | 0,0 | 1,2 | 0,0 | 1,7 | 0,1 | 2,3 | 0,1 | 28,8 | 1,4 |
Tracteurs | 17,4 | 0,6 | 25,8 | 1,1 | 28,3 | 1,4 | 21,3 | 1,0 | 28,0 | 1,3 |
Camions pour le transport de marchandises | 41,3 | 1,5 | 22,5 | 1,0 | 22,7 | 1,1 | 18,9 | 0,9 | 26,1 | 1,2 |
Machines et appareils à imprimer et leurs machines auxiliaires | 21,6 | 0,8 | 25,6 | 1,1 | 12,8 | 0,6 | 17,2 | 0,8 | 25,3 | 1,2 |
10 principaux produits ci-dessus* | 2 070,6 | 76,3 | 1 779,6 | 76,5 | 1 457,8 | 73,3 | 1 551,0 | 71,9 | 1 521,1 | 72,3 |
Autres produits* | 641,4 | 23,7 | 545,7 | 23,5 | 530,6 | 26,7 | 606,3 | 28,1 | 581,5 | 27,7 |
Total* | 2 712,0 | 100,0 | 2 325,3 | 100,0 | 1 988,3 | 100,0 | 2 157,4 | 100,0 | 2 102,6 | 100,0 |
Québec/Canada | 18,0 | 16,9 | 14,9 | 14,6 | 13,3 |
Tableau 4
Niveau de technologie | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | |
*Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. Sources : Statistique Canada et Intistut de la statistique du Québec. Compilation : Direction des politiques et de l'analyse économique, MESI, août 2017. | ||||||||||
Haute technologie | 167,5 | 21,5 | 149,6 | 22,4 | 197,6 | 26,4 | 207,6 | 27,7 | 211,2 | 26,1 |
Moyenne-haute technologie | 66,2 | 8,5 | 83,3 | 12,4 | 84,7 | 11,3 | 65,5 | 8,7 | 85,8 | 10,6 |
Moyenne-faible technologie | 119,8 | 15,3 | 74,6 | 11,1 | 78,7 | 10,5 | 98,3 | 13,1 | 87,6 | 10,8 |
Faible technologie | 427,0 | 54,7 | 361,8 | 54,1 | 388,5 | 51,8 | 379,3 | 50,5 | 424,3 | 52,5 |
Total manufacturier* | 780,4 | 100,0 | 669,4 | 100,0 | 749,5 | 100,0 | 750,7 | 100,0 | 808,9 | 100,0 |
Tableau 5
Niveau de technologie | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | M$ | % | |
*Les totaux peuvent ne pas être égaux à la somme de leurs composantes à cause des arrondis. Source : Stastique Canada et Institut de la statistique du Québec. Compilation : Direction des politiques et de l'analyse économiques, MESI, août 2017. | ||||||||||
Haute technologie | 689,4 | 25,5 | 686,1 | 29,7 | 584,7 | 29,6 | 591,3 | 27,6 | 410,4 | 19,6 |
Moyenne-haute technologie | 1 762,6 | 65,3 | 1 439,0 | 62,2 | 1 172,6 | 59,3 | 1 326,2 | 61,8 | 1 494,5 | 71,5 |
Moyenne-faible technologie | 188,6 | 7,0 | 136,4 | 5,9 | 167,6 | 8,5 | 168,4 | 7,8 | 126,8 | 6,1 |
Faible technologie | 58,5 | 2,2 | 51,0 | 2,2 | 51,5 | 2,6 | 59,1 | 2,8 | 58,3 | 2,8 |
Total manufacturiers* | 2 699,0 | 100,0 | 2 312,4 | 100,0 | 1 976,3 | 100,0 | 2 145,0 | 100,0 | 2 089,9 | 100,0 |
Tableau 6
Données sur les échanges touristiques entre le Québec et le Japon 2009-2013
Année | Nombre | Variation (%) | Dépenses ($) | Variation (%) |
---|---|---|---|---|
*Données fournies à titre indicatif et à utiliser avec réserve. Touristes : Personnes qui ont fait un voyage d'une nuit ou plus, mais d'une durée de moins d'un an, à l'extérieur de leur ville et qui ont utilisé de l'hébergement commercial ou privé. Sources : Statistique Canada. Compilation : Tourisme Québec, Direction des connaissances stratégiques en tourisme, juillet 2015. | ||||
2009 | 23 900 | 22 078 200 | ||
2010 | 25 700 | 7,5 | 24 170 000 | 9,5 |
2011 | 28 100 | 9,3 | 20 587 100 | -14,8 |
2012 | 13 500 | -52,0 | 10 836 600 | -47,4 |
2013 | 24 500 | 81,5 | 23 724 700 | 118,9 |
Année | Nombre | Variation (%) | Dépenses ($) | Variation (%) |
---|---|---|---|---|
*Données fournies à titre indicatif et à utiliser avec réserve. Touristes : Personnes qui ont fait un voyage d'une nuit ou plus, mais d'une durée de moins d'un an, à l'extérieur de leur ville et qui ont utilisé de l'hébergement commercial ou privé. Sources : Statistique Canada. Compilation : Tourisme Québec, Direction des connaissances stratégiques en tourisme, juillet 2015. | ||||
2009 | 8 200 | 16 263 700 | ||
2010 | 12 700 | 54,9 | 24 624 200 | 51,4 |
2011 | 11 100 | -12,6 | 21 536 200 | -12,5 |
2012 | 14 000 | 26,1 | 27 065 100 | 25,7 |
2013 | 13 600 | -2,9 | 27 537 200 | 1,7 |
1. Cette nouvelle stratégie devait éliminer la déflation et relancer l’économie. Elle était aussi connue sous le terme « Abenomics » et ses trois « flèches » et devait se réaliser à travers une démarche comprenant trois volets : une politique monétaire plus expansionniste, une politique budgétaire souple et une stratégie de croissance encourageant l’investissement privé.
2. PIB valorisé en dollars américains courants.
3. Dans le présent contexte, les termes biens et marchandises sont interchangeables.
4. Voir les tableaux 3 à 5 de l’annexe pour des données additionnelles.
5. Source : Statistique Canada, Liens de parenté entre sociétés, 4e trimestre de 2016.
6. Voir le tableau 6 de l’annexe pour plus de détails.