Vers une fin de la mondialisation?
Lors de la pandémie de COVID-19, de nombreux pays se sont rendu compte qu’ils étaient dépendants des autres sur le plan économique. De ce fait, la question de la relocalisation et de la démondialisation est revenue sur le tapis avec des discours favorisant des économies nationalistes. La guerre en Ukraine a également contribué à désorganiser la chaîne d’approvisionnement mondiale dans un marché mondial qui peine à se révéler. Cela contribue à renforcer le sentiment qu’il est nécessaire de protéger les économies nationales en limitant les échanges internationaux. Par ailleurs, on se rend de plus en plus compte que le prix d’achat, les coûts de transport et même le temps d’attente pour la réception des marchandises ne permettent plus d’offrir des produits compétitifs sur le marché. De plus, la gestion juste à temps rencontre des défis qui perturbent la chaîne de valeur de certaines industries. Un article publié sur Les Affaires pose la question à savoir s’il faut parler de « remondialisation » ou de démondialisation.
La mondialisation a trouvé écho parce que les entreprises voulaient être plus compétitives en matière de prix. Cependant, les problèmes actuels ont emmené certaines à penser à une relocalisation. Un autre article parle d’un repli de la mondialisation. Toutefois, on conseille aux entreprises d’être patientes, car tout au long de l’histoire, on a assisté à une alternance entre des phases d’ouverture et d’essor des échanges et des phases d’arrêt ou de repli. Par conséquent, on peut dire que la période actuelle est une période de repli de la mondialisation, mais qu’elle ne marque pas sa fin. Il faut donc s’adapter pour évoluer dans ce nouvel environnement.
Plusieurs pays prônent de plus en plus des discours protectionnistes pour favoriser l’achat local et la production locale, car l’environnement économique actuel remet fortement en cause les choix économiques des dernières années. Nous subissons les répercussions de la pandémie, une pénurie de main‑d’œuvre, une inflation galopante, des problèmes de chaîne d’approvisionnement, une guerre dont on ne perçoit pas la fin… bref, un cocktail qui rend l’avenir incertain et qui provoque des réflexes protectionnistes. On peut donc dire que la mondialisation est arrivée à un point où elle doit se reconstruire. La mondialisation semble muter pour prendre en compte les problèmes actuels.
Lors de la pandémie de COVID-19, de nombreux pays se sont rendu compte qu’ils étaient dépendants des autres sur le plan économique. De ce fait, la question de la relocalisation et de la démondialisation est revenue sur le tapis avec des discours favorisant des économies nationalistes. La guerre en Ukraine a également contribué à désorganiser la chaîne d’approvisionnement mondiale dans un marché mondial qui peine à se révéler. Cela contribue à renforcer le sentiment qu’il est nécessaire de protéger les économies nationales en limitant les échanges internationaux. Par ailleurs, on se rend de plus en plus compte que le prix d’achat, les coûts de transport et même le temps d’attente pour la réception des marchandises ne permettent plus d’offrir des produits compétitifs sur le marché. De plus, la gestion juste à temps rencontre des défis qui perturbent la chaîne de valeur de certaines industries. Un article publié sur Les Affaires pose la question à savoir s’il faut parler de « remondialisation » ou de démondialisation.
La mondialisation a trouvé écho parce que les entreprises voulaient être plus compétitives en matière de prix. Cependant, les problèmes actuels ont emmené certaines à penser à une relocalisation. Un autre article parle d’un repli de la mondialisation. Toutefois, on conseille aux entreprises d’être patientes, car tout au long de l’histoire, on a assisté à une alternance entre des phases d’ouverture et d’essor des échanges et des phases d’arrêt ou de repli. Par conséquent, on peut dire que la période actuelle est une période de repli de la mondialisation, mais qu’elle ne marque pas sa fin. Il faut donc s’adapter pour évoluer dans ce nouvel environnement.
Plusieurs pays prônent de plus en plus des discours protectionnistes pour favoriser l’achat local et la production locale, car l’environnement économique actuel remet fortement en cause les choix économiques des dernières années. Nous subissons les répercussions de la pandémie, une pénurie de main‑d’œuvre, une inflation galopante, des problèmes de chaîne d’approvisionnement, une guerre dont on ne perçoit pas la fin… bref, un cocktail qui rend l’avenir incertain et qui provoque des réflexes protectionnistes. On peut donc dire que la mondialisation est arrivée à un point où elle doit se reconstruire. La mondialisation semble muter pour prendre en compte les problèmes actuels.