Trois façons dont l’expérience de travail surpasse l’éducation formelle pour le perfectionnement professionnel
Le McKinsey Global Institute a utilisé les mégadonnées pour examiner l’historique de 4 millions d’emplois réels de travailleurs aux États-Unis, en Allemagne, au Royaume-Uni et en Inde, en accordant une attention particulière aux ensembles spécifiques de compétences requises pour chaque rôle occupé au fil du temps et en considérant la manière dont les changements d’emploi affectaient les revenus. Un résumé de l’étude fait l’objet d’une discussion sur le site du Forum économique mondial.
Le développement personnel se poursuit longtemps après la fin de l’éducation formelle, à mesure que les gens acquièrent de nouvelles compétences sur le lieu de travail et des capacités qu’ils conserveront pour le reste de leur carrière. Il s’agit d’une dynamique critique, puisque le capital humain représente les deux tiers de la richesse d’une personne moyenne. Une étude récente du McKinsey Global Institute révèle que la moitié de cette valeur – et souvent beaucoup plus pour les personnes moins instruites – est liée à l’expérience de travail.
L’expérience de travail est un facteur de revenu plus important pour les travailleurs moins scolarisés
Pour ceux qui débutent sans l’avantage des titres de compétences qui signaleraient leur valeur aux yeux d’employeurs potentiels, l’ajout d’une formation et de compétences grâce à l’expérience de travail demeure la principale stratégie pour progresser sur le marché du travail. Les gens peuvent ne pas avoir de contrôle sur des facteurs tels que leur éducation familiale ou la qualité de leurs écoles locales, mais ils peuvent exercer un certain choix sur les professions qu’ils pratiquent et les organisations qu’ils rejoignent. Ces choix s’avèrent particulièrement importants pour les personnes qui commencent au bas de l’échelle.
L’expérience professionnelle représente de 40 à 43 % des revenus moyens gagnés au cours d’une vie aux États-Unis, en Allemagne et au Royaume-Uni. La proportion atteint toutefois 58 % en Inde, où moins de personnes ont fait des études supérieures.
Le changement de rôle peut être payant, en particulier lorsque les gens posent des gestes audacieux
Dans l’échantillon, environ un tiers des travailleurs américains, allemands et britanniques, et près d’un quart des travailleurs indiens sont sur la bonne voie pour progresser d’un ou de plusieurs quintiles dans les revenus à vie estimés depuis le début de leur carrière. Les compétences acquises grâce à l’expérience représentent de 60 à 80 % des revenus perçus au cours de toute une vie pour les personnes qui progressent, mais seulement de 35 à 55 % pour celles qui ne bougent pas ou qui décrochent.
Les personnes profitent davantage d’une expérience antérieure dans des organisations efficaces
Les employeurs qui obtiennent de bons résultats pour les paramètres liés à la santé organisationnelle, à la formation et à l’avancement interne semblent propulser les gens vers l’avant. Leurs employés sont plus susceptibles de gravir les échelons. Après le contrôle des différences liées à la profession, le temps passé au début d’une carrière dans une organisation qui donne la priorité à l’apprentissage et au développement est l’un des facteurs les plus influents pour déterminer les perspectives professionnelles d’une personne.
Le McKinsey Global Institute a utilisé les mégadonnées pour examiner l’historique de 4 millions d’emplois réels de travailleurs aux États-Unis, en Allemagne, au Royaume-Uni et en Inde, en accordant une attention particulière aux ensembles spécifiques de compétences requises pour chaque rôle occupé au fil du temps et en considérant la manière dont les changements d’emploi affectaient les revenus. Un résumé de l’étude fait l’objet d’une discussion sur le site du Forum économique mondial.
Le développement personnel se poursuit longtemps après la fin de l’éducation formelle, à mesure que les gens acquièrent de nouvelles compétences sur le lieu de travail et des capacités qu’ils conserveront pour le reste de leur carrière. Il s’agit d’une dynamique critique, puisque le capital humain représente les deux tiers de la richesse d’une personne moyenne. Une étude récente du McKinsey Global Institute révèle que la moitié de cette valeur – et souvent beaucoup plus pour les personnes moins instruites – est liée à l’expérience de travail.
L’expérience de travail est un facteur de revenu plus important pour les travailleurs moins scolarisés
Pour ceux qui débutent sans l’avantage des titres de compétences qui signaleraient leur valeur aux yeux d’employeurs potentiels, l’ajout d’une formation et de compétences grâce à l’expérience de travail demeure la principale stratégie pour progresser sur le marché du travail. Les gens peuvent ne pas avoir de contrôle sur des facteurs tels que leur éducation familiale ou la qualité de leurs écoles locales, mais ils peuvent exercer un certain choix sur les professions qu’ils pratiquent et les organisations qu’ils rejoignent. Ces choix s’avèrent particulièrement importants pour les personnes qui commencent au bas de l’échelle.
L’expérience professionnelle représente de 40 à 43 % des revenus moyens gagnés au cours d’une vie aux États-Unis, en Allemagne et au Royaume-Uni. La proportion atteint toutefois 58 % en Inde, où moins de personnes ont fait des études supérieures.
Le changement de rôle peut être payant, en particulier lorsque les gens posent des gestes audacieux
Dans l’échantillon, environ un tiers des travailleurs américains, allemands et britanniques, et près d’un quart des travailleurs indiens sont sur la bonne voie pour progresser d’un ou de plusieurs quintiles dans les revenus à vie estimés depuis le début de leur carrière. Les compétences acquises grâce à l’expérience représentent de 60 à 80 % des revenus perçus au cours de toute une vie pour les personnes qui progressent, mais seulement de 35 à 55 % pour celles qui ne bougent pas ou qui décrochent.
Les personnes profitent davantage d’une expérience antérieure dans des organisations efficaces
Les employeurs qui obtiennent de bons résultats pour les paramètres liés à la santé organisationnelle, à la formation et à l’avancement interne semblent propulser les gens vers l’avant. Leurs employés sont plus susceptibles de gravir les échelons. Après le contrôle des différences liées à la profession, le temps passé au début d’une carrière dans une organisation qui donne la priorité à l’apprentissage et au développement est l’un des facteurs les plus influents pour déterminer les perspectives professionnelles d’une personne.