Trois conseils aux gestionnaires pour amorcer la reconnaissance réfléchie
Dans le monde du travail hybride, les gestionnaires ont de plus en plus de défis pour définir les critères de reconnaissance des employés. En effet, la reconnaissance est souvent gage d’attraction et de rétention d’une main-d’œuvre compétente. Elle se base, la plupart du temps, sur l’observation, alors qu’avec le télétravail, cela est difficilement applicable. C’est ainsi que la Harvard Business Review a publié un article qui suggère d’utiliser une nouvelle approche appelée la reconnaissance réflexive. Celle-ci est basée sur une enquête où on invite une personne ou un groupe de personnes à indiquer de quoi elle ou il est fier.
Lorsqu’un employé fait l’exercice de réfléchir à ses propres réalisations, aux défis qu’il a relevés, à la manière dont il a progressé, cela renforce son engagement. Prendre conscience par soi-même de sa progression vers des objectifs qui comptent pour soi stimule la confiance en soi. En outre, prendre conscience à travers cet exercice de réflexion des gains réalisés, même minimes, renforce la motivation. L’article propose trois stratégies aux gestionnaires pour aborder la reconnaissance réflexive.
- Invitation à échanger. Il faut poser des questions ouvertes et laisser l’employé s’exprimer. Il n’est pas nécessaire que cela se produise lors d’une réunion officielle. L’exercice peut avoir lieu pendant les rencontres habituelles ou au détour d’un couloir, et même devant la machine à café. Le gestionnaire peut poser des questions comme : qu’est-ce qui vous passionne dans votre travail en ce moment? De quoi êtes-vous fier parmi vos réalisations récentes? Qu’est-ce qui a été difficile dans votre travail ces derniers temps, et comment avez-vous relevé les défis? Pour quoi voulez-vous être reconnu? Le gestionnaire peut également prendre le temps d’expliquer à l’employé qu’il aimerait savoir ce dont il est fier dans son emploi pour mieux l’accompagner.
- Sondage positif. Une fois la conversation engagée, il faut continuer à poser des questions, car certaines personnes sont avares d’informations. En effet, certaines personnes ont tendance à minimiser leurs réalisations et à maximiser leurs lacunes. Le gestionnaire ne doit donc pas hésiter à poser des questions comme : comment avez-vous fait pour accomplir ce que vous avez fait? Qu’a-t-il fallu pour que cela se produise? Qu’avez-vous appris dans le processus?
- Réflexion. Une fois l’information recueillie, le gestionnaire doit réfléchir à ce qu’il a entendu et à la manière de reconnaître son employé. Parfois, un simple « merci pour le travail accompli » peut être largement suffisant.
Dans le monde du travail hybride, les gestionnaires ont de plus en plus de défis pour définir les critères de reconnaissance des employés. En effet, la reconnaissance est souvent gage d’attraction et de rétention d’une main-d’œuvre compétente. Elle se base, la plupart du temps, sur l’observation, alors qu’avec le télétravail, cela est difficilement applicable. C’est ainsi que la Harvard Business Review a publié un article qui suggère d’utiliser une nouvelle approche appelée la reconnaissance réflexive. Celle-ci est basée sur une enquête où on invite une personne ou un groupe de personnes à indiquer de quoi elle ou il est fier.
Lorsqu’un employé fait l’exercice de réfléchir à ses propres réalisations, aux défis qu’il a relevés, à la manière dont il a progressé, cela renforce son engagement. Prendre conscience par soi-même de sa progression vers des objectifs qui comptent pour soi stimule la confiance en soi. En outre, prendre conscience à travers cet exercice de réflexion des gains réalisés, même minimes, renforce la motivation. L’article propose trois stratégies aux gestionnaires pour aborder la reconnaissance réflexive.
- Invitation à échanger. Il faut poser des questions ouvertes et laisser l’employé s’exprimer. Il n’est pas nécessaire que cela se produise lors d’une réunion officielle. L’exercice peut avoir lieu pendant les rencontres habituelles ou au détour d’un couloir, et même devant la machine à café. Le gestionnaire peut poser des questions comme : qu’est-ce qui vous passionne dans votre travail en ce moment? De quoi êtes-vous fier parmi vos réalisations récentes? Qu’est-ce qui a été difficile dans votre travail ces derniers temps, et comment avez-vous relevé les défis? Pour quoi voulez-vous être reconnu? Le gestionnaire peut également prendre le temps d’expliquer à l’employé qu’il aimerait savoir ce dont il est fier dans son emploi pour mieux l’accompagner.
- Sondage positif. Une fois la conversation engagée, il faut continuer à poser des questions, car certaines personnes sont avares d’informations. En effet, certaines personnes ont tendance à minimiser leurs réalisations et à maximiser leurs lacunes. Le gestionnaire ne doit donc pas hésiter à poser des questions comme : comment avez-vous fait pour accomplir ce que vous avez fait? Qu’a-t-il fallu pour que cela se produise? Qu’avez-vous appris dans le processus?
- Réflexion. Une fois l’information recueillie, le gestionnaire doit réfléchir à ce qu’il a entendu et à la manière de reconnaître son employé. Parfois, un simple « merci pour le travail accompli » peut être largement suffisant.