Ralentissement économique des pays asiatiques
En 2021, le journal Le Monde publiait un article sur le probable ralentissement économique de Chine, qui pourrait porter atteinte à la croissance de plusieurs pays asiatiques et d'autres pays dans le monde. Les causes de ce ralentissement sont multiples. D'abord, il y a la politique de désendettement, qui a eu un effet sur les investissements des collectivités locales. En effet, ces investissements ont ralenti. De plus, les conditions d'octroi des crédits par les banques ont été resserrées. Cela a eu un effet sur l'investissement immobilier, qui contribue indirectement, mais fortement au produit intérieur brut du pays (environ 30 %). En outre, on assiste à un vieillissement de la population chinoise et à une baisse de la productivité.
La Corée du Sud, le Japon, Taiwan ainsi que d'autres pays asiatiques affichent un ralentissement marqué de leur économie. La chute de l'indice d'activité des directeurs d'achat (PMI) en témoigne. Selon Aljazeera, le PMI de Taiwan est passé de 50,0 en mai à 49,8 en juin, le Vietnam, de 54,7 à 54,0, la Corée du Sud, de 51,8 à 51,3 et le Japon, de 53,3 à 52,7. La Chine, qui avait semblé se démarquer avec 48,1 en mai et 51,7 en juin, est retombée à 50,4 en juillet selon Le Figaro. Un PMI inférieur à 50 traduit une contraction de l'activité. La politique zéro COVID de la Chine a longtemps ralenti les activités dans le pays, mais le nombre de cas est désormais faible, et la plupart des restrictions sont levées. De ce fait, l'offre et la demande se sont améliorées, mais les entreprises sont restées prudentes en matière de recrutement. La hausse des prix des matières premières, des métaux et du pétrole ainsi que la pénurie de semi-conducteurs contribuent largement à la contraction du PMI dans ces pays. Par ailleurs, la demande extérieure s'est effondrée en raison des restrictions liées à la pandémie en Chine et des perturbations de la chaîne d'approvisionnement causées par la guerre en Ukraine.
En 2021, le journal Le Monde publiait un article sur le probable ralentissement économique de Chine, qui pourrait porter atteinte à la croissance de plusieurs pays asiatiques et d'autres pays dans le monde. Les causes de ce ralentissement sont multiples. D'abord, il y a la politique de désendettement, qui a eu un effet sur les investissements des collectivités locales. En effet, ces investissements ont ralenti. De plus, les conditions d'octroi des crédits par les banques ont été resserrées. Cela a eu un effet sur l'investissement immobilier, qui contribue indirectement, mais fortement au produit intérieur brut du pays (environ 30 %). En outre, on assiste à un vieillissement de la population chinoise et à une baisse de la productivité.
La Corée du Sud, le Japon, Taiwan ainsi que d'autres pays asiatiques affichent un ralentissement marqué de leur économie. La chute de l'indice d'activité des directeurs d'achat (PMI) en témoigne. Selon Aljazeera, le PMI de Taiwan est passé de 50,0 en mai à 49,8 en juin, le Vietnam, de 54,7 à 54,0, la Corée du Sud, de 51,8 à 51,3 et le Japon, de 53,3 à 52,7. La Chine, qui avait semblé se démarquer avec 48,1 en mai et 51,7 en juin, est retombée à 50,4 en juillet selon Le Figaro. Un PMI inférieur à 50 traduit une contraction de l'activité. La politique zéro COVID de la Chine a longtemps ralenti les activités dans le pays, mais le nombre de cas est désormais faible, et la plupart des restrictions sont levées. De ce fait, l'offre et la demande se sont améliorées, mais les entreprises sont restées prudentes en matière de recrutement. La hausse des prix des matières premières, des métaux et du pétrole ainsi que la pénurie de semi-conducteurs contribuent largement à la contraction du PMI dans ces pays. Par ailleurs, la demande extérieure s'est effondrée en raison des restrictions liées à la pandémie en Chine et des perturbations de la chaîne d'approvisionnement causées par la guerre en Ukraine.