Quel est votre style d’écoute?
L’écoute est très importante en entreprise. Elle occupe une grande place dans le leadership, et c’est une compétence communicationnelle très importante qui permet d’atteindre les objectifs de l’entreprise. Avoir une bonne capacité d’écoute, c’est d’abord connaître son style d’écoute. Harvard Business Review rapporte qu’il existe quatre styles d’écoute, notamment :
- l’écoute analytique, qui analyse le problème à partir d’un point de départ neutre;
- l’écoute rationnelle, qui vise à établir une connexion et à comprendre les émotions sous-jacentes au message;
- l’écoute critique, qui juge le contenu du message et la crédibilité de l’orateur;
- l’écoute axée sur les tâches, qui pousse la conversation vers un transfert efficace d’informations pertinentes.
Chaque personne a la capacité de basculer d’un style à l’autre afin de s’adapter aux besoins de l’orateur avec la technique d’écoute appropriée. Pour cela, l’article propose cinq façons d’améliorer son écoute.
- Déterminer la raison de l’écoute. Que ce soit pour attirer l’attention, pour résoudre ou éviter un conflit ou encore pour être efficace, lorsque les raisons sont priorisées, on néglige, souvent inconsciemment, d’autres objectifs d’écoute. Il est donc important de réfléchir brièvement aux objectifs de l’échange et à la meilleure façon d’écouter dès qu’on entre dans une conversation.
- Reconnaître sa façon habituelle d’écouter. Chaque personne a un style d’écoute qui lui est propre. Toutefois, cela peut l’empêcher d’adopter d’autres styles d’écoute et ainsi interférer avec l’atteinte d’autres objectifs. Par exemple, une personne qui pratique une écoute axée sur les tâches dans son quotidien professionnel devrait faire attention à ne pas adopter ce style à la maison ou avec ses amis. En utilisant par défaut le style habituel, on perd des occasions de mieux comprendre les valeurs et les préoccupations sous-jacentes ou même d’obtenir des informations utiles.
- Comprendre vers qui l’attention doit être dirigée. La façon dont on s’immisce dans une conversation peut déplacer l’attention de l’orateur. Il peut parfois être utile de promouvoir la connexion. Toutefois, cela risque d’éloigner la conversation de l’orateur et d’empêche d’entendre toute son histoire. Il faut donc être conscient de l’effet de l’intervention et rester curieux d’entendre le message de l’autre personne. Ainsi, on redirige l’attention vers elle.
- Adapter le style d’écoute pour atteindre les objectifs de la conversation. En situation de stress, il est souvent plus difficile de changer son style d’écoute. Il faut rester concentré sur l’orateur et les objectifs pour mieux s’adapter à la situation. On peut répondre avec une confirmation du message et démontrer de la curiosité pour recueillir plus d’informations.
- Prendre le temps de demander si on a manqué une information. Parfois, l’orateur lui-même ne sait pas ce qu’il espère retirer de la conversation. Dans ce cas, il faut poser des questions pour comprendre les objectifs de la conversation. L’ambiguïté à propos des objectifs, l’incertitude sur le partage de la vulnérabilité, les émotions non examinées et les pressions logistiques peuvent faire partie du processus de découverte.
L’écoute est très importante en entreprise. Elle occupe une grande place dans le leadership, et c’est une compétence communicationnelle très importante qui permet d’atteindre les objectifs de l’entreprise. Avoir une bonne capacité d’écoute, c’est d’abord connaître son style d’écoute. Harvard Business Review rapporte qu’il existe quatre styles d’écoute, notamment :
- l’écoute analytique, qui analyse le problème à partir d’un point de départ neutre;
- l’écoute rationnelle, qui vise à établir une connexion et à comprendre les émotions sous-jacentes au message;
- l’écoute critique, qui juge le contenu du message et la crédibilité de l’orateur;
- l’écoute axée sur les tâches, qui pousse la conversation vers un transfert efficace d’informations pertinentes.
Chaque personne a la capacité de basculer d’un style à l’autre afin de s’adapter aux besoins de l’orateur avec la technique d’écoute appropriée. Pour cela, l’article propose cinq façons d’améliorer son écoute.
- Déterminer la raison de l’écoute. Que ce soit pour attirer l’attention, pour résoudre ou éviter un conflit ou encore pour être efficace, lorsque les raisons sont priorisées, on néglige, souvent inconsciemment, d’autres objectifs d’écoute. Il est donc important de réfléchir brièvement aux objectifs de l’échange et à la meilleure façon d’écouter dès qu’on entre dans une conversation.
- Reconnaître sa façon habituelle d’écouter. Chaque personne a un style d’écoute qui lui est propre. Toutefois, cela peut l’empêcher d’adopter d’autres styles d’écoute et ainsi interférer avec l’atteinte d’autres objectifs. Par exemple, une personne qui pratique une écoute axée sur les tâches dans son quotidien professionnel devrait faire attention à ne pas adopter ce style à la maison ou avec ses amis. En utilisant par défaut le style habituel, on perd des occasions de mieux comprendre les valeurs et les préoccupations sous-jacentes ou même d’obtenir des informations utiles.
- Comprendre vers qui l’attention doit être dirigée. La façon dont on s’immisce dans une conversation peut déplacer l’attention de l’orateur. Il peut parfois être utile de promouvoir la connexion. Toutefois, cela risque d’éloigner la conversation de l’orateur et d’empêche d’entendre toute son histoire. Il faut donc être conscient de l’effet de l’intervention et rester curieux d’entendre le message de l’autre personne. Ainsi, on redirige l’attention vers elle.
- Adapter le style d’écoute pour atteindre les objectifs de la conversation. En situation de stress, il est souvent plus difficile de changer son style d’écoute. Il faut rester concentré sur l’orateur et les objectifs pour mieux s’adapter à la situation. On peut répondre avec une confirmation du message et démontrer de la curiosité pour recueillir plus d’informations.
- Prendre le temps de demander si on a manqué une information. Parfois, l’orateur lui-même ne sait pas ce qu’il espère retirer de la conversation. Dans ce cas, il faut poser des questions pour comprendre les objectifs de la conversation. L’ambiguïté à propos des objectifs, l’incertitude sur le partage de la vulnérabilité, les émotions non examinées et les pressions logistiques peuvent faire partie du processus de découverte.