Pourquoi les entreprises ont-elles du mal à recruter ?
Un article publié sur BBC explique pourquoi les entreprises ont du mal à recruter. Tout est parti de la pandémie de COVID-19, qui a créé un mouvement appelé la « grande démission ». Maintenant que les choses commencent à fonctionner normalement, on aurait pu penser que le monde de l’emploi allait également se stabiliser. Cependant, il se trouve que les entreprises ont du mal à trouver du personnel pour pourvoir les postes vacants. Les postes à combler se situent surtout dans les industries de l’hôtellerie et des services, principalement au niveau des emplois de plongeurs, chauffeurs de camion, préposés au service à la clientèle, serveurs, agents d’aéroport, aide-soignants à domicile et bien d’autres. En fait, les gens recherchent de la stabilité, ce qui est difficile à trouver dans un emploi à bas salaire. Une étude effectuée en 2019 a révélé que les emplois au salaire minimum ont un taux de roulement deux fois supérieur à la moyenne nationale aux États-Unis. Compte tenu de la vague de licenciements survenue pendant la COVID-19, la sécurité de l’emploi devient primordiale, au-dessus même de tous les autres avantages, comme avoir un horaire de travail flexible.
Pour comprendre pourquoi les entreprises n’arrivent pas à pourvoir ces postes, il faut d’abord comprendre pourquoi les gens ont délaissé ces emplois. L’article rapporte que les bas salaires, le manque de possibilités d’avancement ainsi que le sentiment de ne pas être respecté constituent les raisons principales. Les travailleurs n’ont en effet pas l’impression d’être suffisamment valorisés, d’être suffisamment bien traités. Par conséquent, avec un marché de l’emploi en pleine effervescence inondé de meilleures occasions, les personnes qui ont l’impression de stagner ou d’être mal traitées dans leur travail ont le choix. Un autre facteur est que de nombreux baby-boomers sont allés à la retraite, laissant ainsi un vide. À cela s’ajoute la diminution du taux d’immigration ces dernières années.
Nombreuses sont les entreprises qui offrent des incitatifs financiers pour attirer les travailleurs, mais cela ne fonctionne pas toujours. La compensation financière à elle seule ne suffit plus pour répondre aux principaux besoins des travailleurs. Les entreprises doivent faire preuve de créativité et offrir des avantages comme la flexibilité. Il faut non seulement que les emplois soient financièrement intéressants, mais aussi qu’ils apportent une certaine flexibilité, une certaine garantie de sécurité pour permettre aux entreprises de trouver et fidéliser les employés.
Un article publié sur BBC explique pourquoi les entreprises ont du mal à recruter. Tout est parti de la pandémie de COVID-19, qui a créé un mouvement appelé la « grande démission ». Maintenant que les choses commencent à fonctionner normalement, on aurait pu penser que le monde de l’emploi allait également se stabiliser. Cependant, il se trouve que les entreprises ont du mal à trouver du personnel pour pourvoir les postes vacants. Les postes à combler se situent surtout dans les industries de l’hôtellerie et des services, principalement au niveau des emplois de plongeurs, chauffeurs de camion, préposés au service à la clientèle, serveurs, agents d’aéroport, aide-soignants à domicile et bien d’autres. En fait, les gens recherchent de la stabilité, ce qui est difficile à trouver dans un emploi à bas salaire. Une étude effectuée en 2019 a révélé que les emplois au salaire minimum ont un taux de roulement deux fois supérieur à la moyenne nationale aux États-Unis. Compte tenu de la vague de licenciements survenue pendant la COVID-19, la sécurité de l’emploi devient primordiale, au-dessus même de tous les autres avantages, comme avoir un horaire de travail flexible.
Pour comprendre pourquoi les entreprises n’arrivent pas à pourvoir ces postes, il faut d’abord comprendre pourquoi les gens ont délaissé ces emplois. L’article rapporte que les bas salaires, le manque de possibilités d’avancement ainsi que le sentiment de ne pas être respecté constituent les raisons principales. Les travailleurs n’ont en effet pas l’impression d’être suffisamment valorisés, d’être suffisamment bien traités. Par conséquent, avec un marché de l’emploi en pleine effervescence inondé de meilleures occasions, les personnes qui ont l’impression de stagner ou d’être mal traitées dans leur travail ont le choix. Un autre facteur est que de nombreux baby-boomers sont allés à la retraite, laissant ainsi un vide. À cela s’ajoute la diminution du taux d’immigration ces dernières années.
Nombreuses sont les entreprises qui offrent des incitatifs financiers pour attirer les travailleurs, mais cela ne fonctionne pas toujours. La compensation financière à elle seule ne suffit plus pour répondre aux principaux besoins des travailleurs. Les entreprises doivent faire preuve de créativité et offrir des avantages comme la flexibilité. Il faut non seulement que les emplois soient financièrement intéressants, mais aussi qu’ils apportent une certaine flexibilité, une certaine garantie de sécurité pour permettre aux entreprises de trouver et fidéliser les employés.