Malgré un ralentissement, les fusions et acquisitions se sont poursuivies en 2022, notamment dans les secteurs des technologies et de la santé
En ce qui concerne les fusions et acquisitions, le Harvard Law School Forum on Corporate Governance note que l’année 2022 offre un bilan partagé. Le premier semestre a été très actif, alors qu’on a enregistré des transactions mondiales de l’ordre de 2,2 billions de dollars US, après un record d’environ 2,7 billions de dollars US de transactions annoncées au cours de la même période l’année précédente.
Apparemment, après le premier semestre de 2022, les transactions ont ralenti en raison d’une panoplie de facteurs qui ont ébranlé la confiance des entreprises et des consommateurs : le bouleversement des marchés financiers, un marché boursier de plus en plus volatil, la baisse des cours des actions, les inquiétudes concernant l’inflation, la hausse rapide des taux d’intérêt, la guerre en Europe, la perturbation de la chaîne d’approvisionnement et la possibilité d’une récession mondiale. Bref, l’année s’est terminée avec un volume total de transactions de 3,6 billions de dollars dans le monde, contre 5,7 billions de dollars en 2021.
Selon le Harvard Law School Forum on Corporate Governance, les facteurs qui ont stimulé les fusions et acquisitions en 2022 sont multiples et soulignent le rôle des institutions financières, des tendances du capital-investissement, de la dynamique transfrontalière, du contrôle réglementaire des investissements étrangers, et du phénomène des sociétés d’acquisition à vocation spécifique (SAVS), entre autres. Les facteurs suivants méritent un regard plus attentif :
- Les transactions technologiques : Après l’accélération technologique provoquée par la COVID-19, la croissance de l’industrie technologique a ralenti, alors que les transformations poussées par la crise sanitaire s’atténuaient en même temps que la hausse des taux d’intérêt érodait les bénéfices. Tout de même, les fusions et acquisitions dans le secteur technologique ont représenté en 2022 environ 20 % et 32 % du volume global des transactions mondiales et du volume des transactions aux États-Unis, respectivement. En fait, quatre des six transactions de plus de 20 milliards de dollars annoncées en 2022 ont eu lieu dans des secteurs liés à la technologie. Malgré cela, ces transactions ont diminué d’environ 36 % d’une année sur l’autre, étant passées de plus de 1,1 billion de dollars en 2021 à environ 720 milliards de dollars en 2022.
- Le secteur de la santé : Malgré un certain ralentissement, les grands acteurs de l’industrie pharmaceutique, de l’assurance maladie et d’ailleurs dans le secteur se sont tournés vers les acquisitions pour stimuler la croissance. Deux transactions de plus de 15 milliards de dollars sont à noter, soit l’acquisition d’Abiomed par Johnson & Johnson pour 16,6 milliards de dollars et l’acquisition d’Horizon Therapeutics par Amgen pour 27,8 milliards de dollars.
En ce qui concerne les fusions et acquisitions, le Harvard Law School Forum on Corporate Governance note que l’année 2022 offre un bilan partagé. Le premier semestre a été très actif, alors qu’on a enregistré des transactions mondiales de l’ordre de 2,2 billions de dollars US, après un record d’environ 2,7 billions de dollars US de transactions annoncées au cours de la même période l’année précédente.
Apparemment, après le premier semestre de 2022, les transactions ont ralenti en raison d’une panoplie de facteurs qui ont ébranlé la confiance des entreprises et des consommateurs : le bouleversement des marchés financiers, un marché boursier de plus en plus volatil, la baisse des cours des actions, les inquiétudes concernant l’inflation, la hausse rapide des taux d’intérêt, la guerre en Europe, la perturbation de la chaîne d’approvisionnement et la possibilité d’une récession mondiale. Bref, l’année s’est terminée avec un volume total de transactions de 3,6 billions de dollars dans le monde, contre 5,7 billions de dollars en 2021.
Selon le Harvard Law School Forum on Corporate Governance, les facteurs qui ont stimulé les fusions et acquisitions en 2022 sont multiples et soulignent le rôle des institutions financières, des tendances du capital-investissement, de la dynamique transfrontalière, du contrôle réglementaire des investissements étrangers, et du phénomène des sociétés d’acquisition à vocation spécifique (SAVS), entre autres. Les facteurs suivants méritent un regard plus attentif :
- Les transactions technologiques : Après l’accélération technologique provoquée par la COVID-19, la croissance de l’industrie technologique a ralenti, alors que les transformations poussées par la crise sanitaire s’atténuaient en même temps que la hausse des taux d’intérêt érodait les bénéfices. Tout de même, les fusions et acquisitions dans le secteur technologique ont représenté en 2022 environ 20 % et 32 % du volume global des transactions mondiales et du volume des transactions aux États-Unis, respectivement. En fait, quatre des six transactions de plus de 20 milliards de dollars annoncées en 2022 ont eu lieu dans des secteurs liés à la technologie. Malgré cela, ces transactions ont diminué d’environ 36 % d’une année sur l’autre, étant passées de plus de 1,1 billion de dollars en 2021 à environ 720 milliards de dollars en 2022.
- Le secteur de la santé : Malgré un certain ralentissement, les grands acteurs de l’industrie pharmaceutique, de l’assurance maladie et d’ailleurs dans le secteur se sont tournés vers les acquisitions pour stimuler la croissance. Deux transactions de plus de 15 milliards de dollars sont à noter, soit l’acquisition d’Abiomed par Johnson & Johnson pour 16,6 milliards de dollars et l’acquisition d’Horizon Therapeutics par Amgen pour 27,8 milliards de dollars.