L’utilisation de robots industriels générerait une croissance économique plus verte
Une étude récente a révélé que l’utilisation de robots industriels (URI) peut réduire l’empreinte écologique globale d’un pays tout en favorisant la croissance économique. Cela s’explique par le gain de temps, l’emploi écologique et les effets de l’amélioration de l’efficacité énergétique qui s’accroissent à mesure que le niveau de développement économique et le capital humain dans le pays augmentent. Les chercheurs ont également observé que l’effet de l’URI sur la réduction de l’empreinte écologique est plus évident dans les pays membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), qui comprend certains des pays produisant le plus de dioxyde de carbone au monde. Par conséquent, les robots industriels peuvent être utilisés simultanément pour favoriser la croissance économique et augmenter la protection de l’environnement.
Pour cette étude, une équipe de chercheurs de l’Université des sciences et technologies de Qingdao et de l’Université de Nanchang a évalué les données des robots industriels de 72 pays entre les années 1993 et 2019. Les chercheurs ont développé un modèle de régression qui utilise l’empreinte écologique par habitant pour mesurer l’environnement écologique. La densité d’installation des robots industriels et la densité de leur fonctionnement sont utilisées comme principales variables explicatives. La densité d’installation est le nombre de robots industriels installés pour 1 000 employés, tandis que la densité de leur fonctionnement correspond au nombre de robots industriels qui sont à l’œuvre pour 1 000 employés.
Grâce à l’utilisation d’un modèle rigoureux qui tient compte du niveau d’industrialisation, des rentes provenant des ressources naturelles, de la structure électrique, du niveau de mondialisation et du niveau commercial – en considérant des variables telles que le produit intérieur brut (PIB) par habitant, l’indice du capital humain et les heures de travail annuelles moyennes par personne dans chaque pays – l’étude montre que l’URI peut réduire l’empreinte écologique. Pour la densité d’installation et la densité de fonctionnement des robots, elle a confirmé que l’URI réduit davantage l’empreinte écologique qu’elle ne l’augmente (avantages nets respectifs de 10 et 7 %).
L’étude indique cependant que cette relation est la plus forte dans les pays très développés de l’OCDE; les réductions les plus importantes de l’empreinte écologique sont plus évidentes dans les pays qui ont à la fois un PIB par habitant élevé et un capital humain plus important.
Les auteurs de cette étude soutiennent que l’URI peut réduire l’empreinte écologique en permettant d’économiser du temps dans les processus industriels, d’embaucher plus de personnes pour occuper des emplois respectueux de l’environnement et d’améliorer l’efficacité énergétique. Dans le même temps, l’URI augmente l’empreinte écologique en favorisant l’industrialisation. Quoi qu’il en soit, l’étude confirme que les effets nets de l’URI conduisent à une réduction de cette empreinte. Par conséquent, les auteurs suggèrent que les pays prennent des initiatives pour accroître la recherche et développement en intelligence artificielle, favoriser les compétences de leur capital humain lors du développement de robots industriels et moderniser leur infrastructure industrielle.
Une étude récente a révélé que l’utilisation de robots industriels (URI) peut réduire l’empreinte écologique globale d’un pays tout en favorisant la croissance économique. Cela s’explique par le gain de temps, l’emploi écologique et les effets de l’amélioration de l’efficacité énergétique qui s’accroissent à mesure que le niveau de développement économique et le capital humain dans le pays augmentent. Les chercheurs ont également observé que l’effet de l’URI sur la réduction de l’empreinte écologique est plus évident dans les pays membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), qui comprend certains des pays produisant le plus de dioxyde de carbone au monde. Par conséquent, les robots industriels peuvent être utilisés simultanément pour favoriser la croissance économique et augmenter la protection de l’environnement.
Pour cette étude, une équipe de chercheurs de l’Université des sciences et technologies de Qingdao et de l’Université de Nanchang a évalué les données des robots industriels de 72 pays entre les années 1993 et 2019. Les chercheurs ont développé un modèle de régression qui utilise l’empreinte écologique par habitant pour mesurer l’environnement écologique. La densité d’installation des robots industriels et la densité de leur fonctionnement sont utilisées comme principales variables explicatives. La densité d’installation est le nombre de robots industriels installés pour 1 000 employés, tandis que la densité de leur fonctionnement correspond au nombre de robots industriels qui sont à l’œuvre pour 1 000 employés.
Grâce à l’utilisation d’un modèle rigoureux qui tient compte du niveau d’industrialisation, des rentes provenant des ressources naturelles, de la structure électrique, du niveau de mondialisation et du niveau commercial – en considérant des variables telles que le produit intérieur brut (PIB) par habitant, l’indice du capital humain et les heures de travail annuelles moyennes par personne dans chaque pays – l’étude montre que l’URI peut réduire l’empreinte écologique. Pour la densité d’installation et la densité de fonctionnement des robots, elle a confirmé que l’URI réduit davantage l’empreinte écologique qu’elle ne l’augmente (avantages nets respectifs de 10 et 7 %).
L’étude indique cependant que cette relation est la plus forte dans les pays très développés de l’OCDE; les réductions les plus importantes de l’empreinte écologique sont plus évidentes dans les pays qui ont à la fois un PIB par habitant élevé et un capital humain plus important.
Les auteurs de cette étude soutiennent que l’URI peut réduire l’empreinte écologique en permettant d’économiser du temps dans les processus industriels, d’embaucher plus de personnes pour occuper des emplois respectueux de l’environnement et d’améliorer l’efficacité énergétique. Dans le même temps, l’URI augmente l’empreinte écologique en favorisant l’industrialisation. Quoi qu’il en soit, l’étude confirme que les effets nets de l’URI conduisent à une réduction de cette empreinte. Par conséquent, les auteurs suggèrent que les pays prennent des initiatives pour accroître la recherche et développement en intelligence artificielle, favoriser les compétences de leur capital humain lors du développement de robots industriels et moderniser leur infrastructure industrielle.