L'informatique quantique pourrait rendre obsolète le cryptage actuel des données
Selon MarshMcLennan et Brink, les progrès que l'informatique quantique accomplira d'ici quelques années représentent la plus grande menace pour la sécurité des données. En effet, on prévoit que cette technologie sera en mesure de déjouer les clés de chiffrement qui sécurisent les données actuellement. Bref, les algorithmes quantiques pourraient rendre les attaques contre la sécurisation cryptographique encore plus redoutables.
À l'heure actuelle, expliquent MarshMcLennan et Brink, la sécurité est assurée par une clé de chiffrement de 128 bits. Selon l'Advanced Encryption Standard, ce chiffrement représente une exigence minimale pour les clés symétriques, qui sont actuellement le chiffrement symétrique par défaut utilisé à des fins publiques et commerciales. D'ailleurs, la plupart des experts considèrent que les clés de chiffrement 128 bits et 256 bits actuelles sont généralement sécurisées.
Toutefois, le développement de l'informatique quantique pourrait ébranler cette certitude. Il faut comprendre que malgré leur robustesse, les algorithmes de chiffrement suivent des règles logiques. Donc, ils peuvent être vulnérables à certains types d'attaques si toutes les combinaisons possibles de la clé de chiffrement sont essayées. Bref, un ordinateur quantique serait capable de briser facilement les clés cryptographiques existantes, une tâche qui est considérée comme virtuellement impossible pour les architectures informatiques traditionnelles.
Bref, d'ici 20 ans, dit-on, les ordinateurs quantiques pourraient briser en quelques secondes les clés publiques utilisées actuellement. Cela représente une menace sans précédent étant donné les ravages que provoque déjà la cybercriminalité. Selon le rapport 2021 de Verizon sur les violations de données, la cybercriminalité coûte 100 milliards de dollars par an à l'économie américaine. Ce chiffre monte à 450 milliards de dollars par an lorsqu'il est question de l'économie mondiale.
MarshMcLennan et Brink mentionnent que deux algorithmes pour ordinateurs quantiques – le Shor et l'algorithme de recherche Grover – mettent au défi les systèmes de cryptographie actuels parce qu'ils accélèrent grandement la vitesse des clés de déchiffrement. Le développement d'ordinateurs quantiques à grande échelle (plus de 7000 qubits) risquerait de rendre obsolètes les systèmes de chiffrement basés sur le système de cryptage RSA.
Bref, les possibilités de l'informatique quantique ne sont plus limitées au domaine de l'exploration universitaire, et l'on entrevoit de réelles occasions d'affaires. Par conséquent, il semblerait qu'il est temps d'anticiper les répercussions sur le plan de la cybersécurité. Plus précisément, il serait question d'agir rapidement pour sécuriser, par exemple, les réseaux électriques, des infrastructures d'objets connectés en passant par les plates-formes de partage d'informations basées sur l'infonuagique, qui connaissent une croissance rapide et dont la société dépend de plus en plus.
Selon MarshMcLennan et Brink, les progrès que l'informatique quantique accomplira d'ici quelques années représentent la plus grande menace pour la sécurité des données. En effet, on prévoit que cette technologie sera en mesure de déjouer les clés de chiffrement qui sécurisent les données actuellement. Bref, les algorithmes quantiques pourraient rendre les attaques contre la sécurisation cryptographique encore plus redoutables.
À l'heure actuelle, expliquent MarshMcLennan et Brink, la sécurité est assurée par une clé de chiffrement de 128 bits. Selon l'Advanced Encryption Standard, ce chiffrement représente une exigence minimale pour les clés symétriques, qui sont actuellement le chiffrement symétrique par défaut utilisé à des fins publiques et commerciales. D'ailleurs, la plupart des experts considèrent que les clés de chiffrement 128 bits et 256 bits actuelles sont généralement sécurisées.
Toutefois, le développement de l'informatique quantique pourrait ébranler cette certitude. Il faut comprendre que malgré leur robustesse, les algorithmes de chiffrement suivent des règles logiques. Donc, ils peuvent être vulnérables à certains types d'attaques si toutes les combinaisons possibles de la clé de chiffrement sont essayées. Bref, un ordinateur quantique serait capable de briser facilement les clés cryptographiques existantes, une tâche qui est considérée comme virtuellement impossible pour les architectures informatiques traditionnelles.
Bref, d'ici 20 ans, dit-on, les ordinateurs quantiques pourraient briser en quelques secondes les clés publiques utilisées actuellement. Cela représente une menace sans précédent étant donné les ravages que provoque déjà la cybercriminalité. Selon le rapport 2021 de Verizon sur les violations de données, la cybercriminalité coûte 100 milliards de dollars par an à l'économie américaine. Ce chiffre monte à 450 milliards de dollars par an lorsqu'il est question de l'économie mondiale.
MarshMcLennan et Brink mentionnent que deux algorithmes pour ordinateurs quantiques – le Shor et l'algorithme de recherche Grover – mettent au défi les systèmes de cryptographie actuels parce qu'ils accélèrent grandement la vitesse des clés de déchiffrement. Le développement d'ordinateurs quantiques à grande échelle (plus de 7000 qubits) risquerait de rendre obsolètes les systèmes de chiffrement basés sur le système de cryptage RSA.
Bref, les possibilités de l'informatique quantique ne sont plus limitées au domaine de l'exploration universitaire, et l'on entrevoit de réelles occasions d'affaires. Par conséquent, il semblerait qu'il est temps d'anticiper les répercussions sur le plan de la cybersécurité. Plus précisément, il serait question d'agir rapidement pour sécuriser, par exemple, les réseaux électriques, des infrastructures d'objets connectés en passant par les plates-formes de partage d'informations basées sur l'infonuagique, qui connaissent une croissance rapide et dont la société dépend de plus en plus.