L’industrie manufacturière s’engage dans la décarbonation pour rester efficace et compétitive
Commentant les résultats d’une enquête commandée par Google Cloud, IndustryWeek constate les efforts remarquables de l’industrie manufacturière pour compenser son empreinte carbone, c’est-à-dire l’impact de ses activités sur l’environnement.
À ce qu’on dit, les efforts de décarbonation prouveraient l’esprit d’innovation et d’amélioration qui caractérise l’industrie manufacturière, des atouts qui sont désormais mobilisés pour préserver son efficacité. Les résultats de l’enquête démontrent en effet l’enthousiasme des entreprises quant à leur engagement dans la durabilité.
- Une proportion de 56 % des manufacturiers déclarent prendre des mesures pour fonctionner de manière plus durable. Il s’agit du pourcentage le plus élevé parmi tous les secteurs interrogés.
- Une proportion de 57 % met en œuvre des politiques de bureaux durables : des éclairages automatiques, des stations de bouteilles d’eau, des ustensiles réutilisables et des transactions sans papier, entre autres choses.
- Une proportion de 55 % porte attention à la durabilité dans la conception de leurs produits et de leurs offres. C’est le pourcentage le plus élevé de tous les secteurs interrogés.
De plus, selon IndustryWeek, les manufacturiers sont optimistes quant à la contribution des nouvelles technologies à l’atteinte de la durabilité. Plus précisément :
- Une proportion de 55 % déclare que la technologie permet le développement de nouveaux produits et services qui s’appuie sur des méthodes plus durables.
- Une proportion de 55 % affirme que la technologie permet l’automatisation ou l’externalisation des opérations commerciales pour améliorer la durabilité.
- Une proportion de 52 % des répondants déclare que la technologie leur permet de mesurer et de signaler l’effet de leurs efforts à l’aide de la collecte de données automatisée.
Vraisemblablement, la durabilité met en évidence la valeur critique des données. En effet, les manufacturiers s’affairent à mesurer chaque aspect des processus industriels et chaque interaction afin de mieux comprendre le fonctionnement global des systèmes, de saisir les éléments déficients et de lancer des initiatives d’amélioration. Bref, la tâche semble être désormais la modélisation des différentes interactions afin d’évaluer l’efficacité systémique. Cela permettrait de réduire la consommation d’énergie et de minimiser les déchets.
Charlie Sheridan, directeur technique à Google Cloud, mentionne la mise en place dans cette entreprise d’un moteur de données qui capture les intrants en provenance d’une multitude de sources telles que les images, la télémétrie et les performances des machines. Ce dispositif offrirait un aperçu non seulement des parties individuelles d’un processus de fabrication, mais aussi des interactions entre les différentes parties.
De plus, Google Cloud a introduit un jumeau numérique de la chaîne d’approvisionnement qui peut capturer, modéliser et affecter des systèmes complexes. Il est donc possible pour les utilisateurs de faire des prototypes et de planifier de nouvelles chaînes d’approvisionnement plus efficaces.
Commentant les résultats d’une enquête commandée par Google Cloud, IndustryWeek constate les efforts remarquables de l’industrie manufacturière pour compenser son empreinte carbone, c’est-à-dire l’impact de ses activités sur l’environnement.
À ce qu’on dit, les efforts de décarbonation prouveraient l’esprit d’innovation et d’amélioration qui caractérise l’industrie manufacturière, des atouts qui sont désormais mobilisés pour préserver son efficacité. Les résultats de l’enquête démontrent en effet l’enthousiasme des entreprises quant à leur engagement dans la durabilité.
- Une proportion de 56 % des manufacturiers déclarent prendre des mesures pour fonctionner de manière plus durable. Il s’agit du pourcentage le plus élevé parmi tous les secteurs interrogés.
- Une proportion de 57 % met en œuvre des politiques de bureaux durables : des éclairages automatiques, des stations de bouteilles d’eau, des ustensiles réutilisables et des transactions sans papier, entre autres choses.
- Une proportion de 55 % porte attention à la durabilité dans la conception de leurs produits et de leurs offres. C’est le pourcentage le plus élevé de tous les secteurs interrogés.
De plus, selon IndustryWeek, les manufacturiers sont optimistes quant à la contribution des nouvelles technologies à l’atteinte de la durabilité. Plus précisément :
- Une proportion de 55 % déclare que la technologie permet le développement de nouveaux produits et services qui s’appuie sur des méthodes plus durables.
- Une proportion de 55 % affirme que la technologie permet l’automatisation ou l’externalisation des opérations commerciales pour améliorer la durabilité.
- Une proportion de 52 % des répondants déclare que la technologie leur permet de mesurer et de signaler l’effet de leurs efforts à l’aide de la collecte de données automatisée.
Vraisemblablement, la durabilité met en évidence la valeur critique des données. En effet, les manufacturiers s’affairent à mesurer chaque aspect des processus industriels et chaque interaction afin de mieux comprendre le fonctionnement global des systèmes, de saisir les éléments déficients et de lancer des initiatives d’amélioration. Bref, la tâche semble être désormais la modélisation des différentes interactions afin d’évaluer l’efficacité systémique. Cela permettrait de réduire la consommation d’énergie et de minimiser les déchets.
Charlie Sheridan, directeur technique à Google Cloud, mentionne la mise en place dans cette entreprise d’un moteur de données qui capture les intrants en provenance d’une multitude de sources telles que les images, la télémétrie et les performances des machines. Ce dispositif offrirait un aperçu non seulement des parties individuelles d’un processus de fabrication, mais aussi des interactions entre les différentes parties.
De plus, Google Cloud a introduit un jumeau numérique de la chaîne d’approvisionnement qui peut capturer, modéliser et affecter des systèmes complexes. Il est donc possible pour les utilisateurs de faire des prototypes et de planifier de nouvelles chaînes d’approvisionnement plus efficaces.