L’indice transatlantique infranational de compétitivité de l’innovation
Selon le dernier rapport de l’Information Technology and Innovation Foundation (ITIF), le Canada devrait encourager plus intensivement la R-D, attirer les investissements directs étrangers (IDE) à forte intensité technologique et se concentrer sur le renforcement de ses niveaux de productivité.
Ce rapport s’appuie sur son prédécesseur, l’Indice nord-américain de compétitivité de l’innovation infranationale (NASICI), en utilisant 13 indicateurs couramment disponibles pour comparer la capacité d’innovation et la compétitivité mondiale des régions infranationales du Canada, de l’Allemagne, de l’Italie et des États-Unis. L’objectif du rapport est de fournir aux décideurs politiques un outil de comparaison et d’évaluation pour mieux comprendre où se situent leurs régions parmi leurs pairs en ce qui concerne leur capacité d’innovation ainsi que la manière dont elles peuvent s’améliorer.
Points clés à retenir
- Les gouvernements à tous les niveaux mettent en place des stratégies pour stimuler la capacité d’innovation nationale et régionale afin d’améliorer leur position concurrentielle dans la course au leadership dans l’économie mondiale axée sur la technologie et l’innovation.
- Sur la base de 13 indicateurs de connaissances, de mondialisation et de capacité d’innovation, les cinq États les mieux classés sont le Massachusetts, la Californie, le Bade-Wurtemberg, Berlin et Washington.
- Les États allemands obtiennent généralement de bien meilleurs résultats que ceux des États-Unis, du Canada et de l’Italie; cependant, trois des cinq premiers se trouvent aux États-Unis.
- Selon les indicateurs de l’économie du savoir, les États-Unis surpassent leurs pairs en ce qui concerne le niveau d’études supérieures et le Canada attire les travailleurs immigrés les plus qualifiés, tandis que l’Allemagne fait preuve de force en matière d’emploi scientifique, technique et professionnel.
- Dans la catégorie de la mondialisation, le Canada, suivi des États-Unis, est en tête des investissements étrangers directs entrants, tandis que l’Allemagne et l’Italie produisent des niveaux plus élevés d’exportations de haute technologie par rapport au produit intérieur brut (PIB) régional.
- Dans les mesures de la capacité d’innovation, l’Allemagne et les États-Unis sont bien en tête en matière d’intensité de recherche et développement (R-D) et de capital-risque, tandis que l’Italie obtient de bons résultats en matière de personnel de R-D et de création d’entreprises.
- Les gouvernements devraient tenir compte de ces forces, faiblesses, défis et possibilités uniques pour élaborer des politiques spécifiques à chaque région afin de renforcer la compétitivité de l’innovation.
Bien que la province la plus performante du Canada (l’Ontario, en 16e position – devant la Colombie-Britannique, 30e, et le Québec, 34e) obtienne un score supérieur à celui de la région d’Émilie-Romagne (17e position), en Italie, et que la province la moins performante du Canada (la Saskatchewan, en 87eposition) obtienne un meilleur score que la région de la Calabre (en 95e position), la région italienne médiane surpasse en fait la province canadienne médiane. Les faiblesses particulières du Canada résident dans les mesures de l’activité de R-D, l’efficacité carbone de la production, la création d’entreprises et les exportations de haute technologie par rapport au PIB.
Selon le dernier rapport de l’Information Technology and Innovation Foundation (ITIF), le Canada devrait encourager plus intensivement la R-D, attirer les investissements directs étrangers (IDE) à forte intensité technologique et se concentrer sur le renforcement de ses niveaux de productivité.
Ce rapport s’appuie sur son prédécesseur, l’Indice nord-américain de compétitivité de l’innovation infranationale (NASICI), en utilisant 13 indicateurs couramment disponibles pour comparer la capacité d’innovation et la compétitivité mondiale des régions infranationales du Canada, de l’Allemagne, de l’Italie et des États-Unis. L’objectif du rapport est de fournir aux décideurs politiques un outil de comparaison et d’évaluation pour mieux comprendre où se situent leurs régions parmi leurs pairs en ce qui concerne leur capacité d’innovation ainsi que la manière dont elles peuvent s’améliorer.
Points clés à retenir
- Les gouvernements à tous les niveaux mettent en place des stratégies pour stimuler la capacité d’innovation nationale et régionale afin d’améliorer leur position concurrentielle dans la course au leadership dans l’économie mondiale axée sur la technologie et l’innovation.
- Sur la base de 13 indicateurs de connaissances, de mondialisation et de capacité d’innovation, les cinq États les mieux classés sont le Massachusetts, la Californie, le Bade-Wurtemberg, Berlin et Washington.
- Les États allemands obtiennent généralement de bien meilleurs résultats que ceux des États-Unis, du Canada et de l’Italie; cependant, trois des cinq premiers se trouvent aux États-Unis.
- Selon les indicateurs de l’économie du savoir, les États-Unis surpassent leurs pairs en ce qui concerne le niveau d’études supérieures et le Canada attire les travailleurs immigrés les plus qualifiés, tandis que l’Allemagne fait preuve de force en matière d’emploi scientifique, technique et professionnel.
- Dans la catégorie de la mondialisation, le Canada, suivi des États-Unis, est en tête des investissements étrangers directs entrants, tandis que l’Allemagne et l’Italie produisent des niveaux plus élevés d’exportations de haute technologie par rapport au produit intérieur brut (PIB) régional.
- Dans les mesures de la capacité d’innovation, l’Allemagne et les États-Unis sont bien en tête en matière d’intensité de recherche et développement (R-D) et de capital-risque, tandis que l’Italie obtient de bons résultats en matière de personnel de R-D et de création d’entreprises.
- Les gouvernements devraient tenir compte de ces forces, faiblesses, défis et possibilités uniques pour élaborer des politiques spécifiques à chaque région afin de renforcer la compétitivité de l’innovation.
Bien que la province la plus performante du Canada (l’Ontario, en 16e position – devant la Colombie-Britannique, 30e, et le Québec, 34e) obtienne un score supérieur à celui de la région d’Émilie-Romagne (17e position), en Italie, et que la province la moins performante du Canada (la Saskatchewan, en 87eposition) obtienne un meilleur score que la région de la Calabre (en 95e position), la région italienne médiane surpasse en fait la province canadienne médiane. Les faiblesses particulières du Canada résident dans les mesures de l’activité de R-D, l’efficacité carbone de la production, la création d’entreprises et les exportations de haute technologie par rapport au PIB.