L’hydrogène bleu : un atout dans la lutte contre le changement climatique
Un article du Zurich Insurance Group commente le fait que l’hydrogène offre des avantages absolument non négligeables dans la lutte contre le changement climatique et l’amélioration de la sécurité énergétique. En effet, il n’émet que de l’eau lors de sa combustion et produit environ trois fois plus d’énergie par unité de poids que l’essence. Il représente donc une option de rechange écologique aux combustibles fossiles.
L’hydrogène est également flexible et peut être stocké, liquéfié et transporté par toute sorte de moyens, que ce soit par pipeline, camions ou bateaux. De plus, ce combustible pourrait résoudre le problème du transfert d’énergie pour les énergies renouvelables et être utilisé dans les piles à combustible pour la production d’électricité, dans les transports et le chauffage domestique. Enfin, on prévoit qu’éventuellement, l’hydrogène propre pourrait jouer un rôle majeur dans la carboneutralité de l’industrie lourde.
Malheureusement, certains procédés utilisés pour produire de l’hydrogène génèrent des émissions nocives. C’est pourquoi on parle souvent d’hydrogène gris, bleu ou vert, selon la quantité de CO2 créée lors de sa production. Le site National Grid nous apprend que :
- L’hydrogène gris, qui représente actuellement la forme la plus courante de production de ce combustible, est créé à partir de gaz naturel, ou méthane, en utilisant la reformation du méthane à la vapeur, mais sans capturer les gaz à effet de serre produits au cours du processus.
- L’hydrogène vert est produit grâce à l’électricité propre provenant de sources d’énergie renouvelable excédentaires, telles que l’énergie solaire ou éolienne. Cette énergie active des électrolyseurs qui en vertu d’une réaction électrochimique séparent l’eau en ses composants, hydrogène et oxygène. Il n’y a aucune émission de dioxyde de carbone au cours du processus. Cet hydrogène ne représente actuellement qu’un faible pourcentage de l’hydrogène total, car sa production est coûteuse.
- L’hydrogène bleu est produit principalement à partir de gaz naturel, à l’aide d’un procédé appelé reformage à la vapeur. Ce procédé consiste à associer du gaz naturel et de l’eau chauffée sous forme de vapeur. On obtient de l’hydrogène, mais aussi du dioxyde de carbone comme sous-produit. La définition de l’hydrogène bleu sous-entend l’utilisation du captage et du stockage du carbone ainsi produit.
Selon un article de CleanTrucking, les efforts pour réussir un système de transport de marchandises carboneutre ne réussiront pas, à moins que les autorités gouvernementales n’autorisent l’industrie à utiliser d’abord l’hydrogène bleu.
Aux dires de Arnd Franz – PDG du fabricant allemand d’équipement d’origine de moteurs à combustion interne Mahle GmbH –, il ne sera pas possible de réduire les émissions de CO2 si l’on utilise du gaz naturel ou d’autres sources fossiles pour produire de l’hydrogène. Apparemment, la production d’hydrogène bleu est le moyen le plus rapide d’étendre l’utilisation de l’hydrogène à l’échelle de l’industrie. Cela devrait réduire les prix et propulser une mise en œuvre encore plus large. À terme, cela devrait faciliter la production d’hydrogène vert.
Un article du Zurich Insurance Group commente le fait que l’hydrogène offre des avantages absolument non négligeables dans la lutte contre le changement climatique et l’amélioration de la sécurité énergétique. En effet, il n’émet que de l’eau lors de sa combustion et produit environ trois fois plus d’énergie par unité de poids que l’essence. Il représente donc une option de rechange écologique aux combustibles fossiles.
L’hydrogène est également flexible et peut être stocké, liquéfié et transporté par toute sorte de moyens, que ce soit par pipeline, camions ou bateaux. De plus, ce combustible pourrait résoudre le problème du transfert d’énergie pour les énergies renouvelables et être utilisé dans les piles à combustible pour la production d’électricité, dans les transports et le chauffage domestique. Enfin, on prévoit qu’éventuellement, l’hydrogène propre pourrait jouer un rôle majeur dans la carboneutralité de l’industrie lourde.
Malheureusement, certains procédés utilisés pour produire de l’hydrogène génèrent des émissions nocives. C’est pourquoi on parle souvent d’hydrogène gris, bleu ou vert, selon la quantité de CO2 créée lors de sa production. Le site National Grid nous apprend que :
- L’hydrogène gris, qui représente actuellement la forme la plus courante de production de ce combustible, est créé à partir de gaz naturel, ou méthane, en utilisant la reformation du méthane à la vapeur, mais sans capturer les gaz à effet de serre produits au cours du processus.
- L’hydrogène vert est produit grâce à l’électricité propre provenant de sources d’énergie renouvelable excédentaires, telles que l’énergie solaire ou éolienne. Cette énergie active des électrolyseurs qui en vertu d’une réaction électrochimique séparent l’eau en ses composants, hydrogène et oxygène. Il n’y a aucune émission de dioxyde de carbone au cours du processus. Cet hydrogène ne représente actuellement qu’un faible pourcentage de l’hydrogène total, car sa production est coûteuse.
- L’hydrogène bleu est produit principalement à partir de gaz naturel, à l’aide d’un procédé appelé reformage à la vapeur. Ce procédé consiste à associer du gaz naturel et de l’eau chauffée sous forme de vapeur. On obtient de l’hydrogène, mais aussi du dioxyde de carbone comme sous-produit. La définition de l’hydrogène bleu sous-entend l’utilisation du captage et du stockage du carbone ainsi produit.
Selon un article de CleanTrucking, les efforts pour réussir un système de transport de marchandises carboneutre ne réussiront pas, à moins que les autorités gouvernementales n’autorisent l’industrie à utiliser d’abord l’hydrogène bleu.
Aux dires de Arnd Franz – PDG du fabricant allemand d’équipement d’origine de moteurs à combustion interne Mahle GmbH –, il ne sera pas possible de réduire les émissions de CO2 si l’on utilise du gaz naturel ou d’autres sources fossiles pour produire de l’hydrogène. Apparemment, la production d’hydrogène bleu est le moyen le plus rapide d’étendre l’utilisation de l’hydrogène à l’échelle de l’industrie. Cela devrait réduire les prix et propulser une mise en œuvre encore plus large. À terme, cela devrait faciliter la production d’hydrogène vert.