L’éventualité d’une crise économique pourrait renverser la transition vers le télétravail
ZDNet estime que l’accumulation d’indicateurs signalant une éventuelle récession économique pourrait renverser la tendance qui, depuis quelques années, favorise le télétravail. En effet, dans une période de difficultés, où les postes de travail pourraient se faire plus rares, le pouvoir de négociation pourrait revenir à l’employeur. Éventuellement, celui-ci pourrait privilégier le travail au bureau.
Certes, la possibilité de choisir l’endroit où l’on souhaite accomplir ses tâches professionnelles – au bureau, à la maison ou les deux – est devenue virtuellement une « nouvelle normalité » qui reflète le pouvoir des employés sur leurs employeurs. En effet, les gestionnaires se trouveraient dans une position de faiblesse dans un marché de l’emploi en effervescence où les travailleurs voient dans le télétravail la possibilité de réussir une meilleure conciliation travail-famille.
Toutefois, les perspectives économiques négatives seraient en train de recadrer l'équilibre du pouvoir. On assisterait en fait à une multiplication des indices. ZDNet mentionne que les employeurs offrent peut-être moins de possibilités de télétravail pour les développeurs d’applications informatiques, même dans un marché très serré. De plus, il se pourrait que certains gestionnaires aient lancé des ultimatums à leurs employés pour les faire revenir au bureau.
ZDNet précise que les développements à venir sont encore incertains. En effet, il se pourrait que la détérioration de l’économie oblige les entreprises à congédier une partie de leur personnel. Éventuellement, elles pourraient aussi choisir de se départir de leurs bureaux et d’imposer le télétravail en tout temps pour réduire leurs coûts.
Par contre, ce qui semble plus probable est que les gestionnaires, dans un contexte économique perçu comme instable, se retrouvent dans une position de force qui leur donnera les moyens d’exécuter leurs plans de retour au bureau qu’ils avaient mis au rancart. Il se pourrait même que quelques gestionnaires éprouvent la tentation d’imposer le retour impératif de leurs travailleurs.
ZDNet est d’avis qu’il s’agirait d’une très mauvaise idée, car la persuasion est un instrument bien plus efficace. D'ailleurs, les arguments à ce sujet sont convaincants. Après deux ans d’expérimentation, les analystes s'aperçoivent que le travail au bureau est préférable lorsqu’il s’agit de bâtir une culture organisationnelle et d'effectuer des activités liées à l’innovation. De plus, les employés, notamment les nouvelles recrues, peuvent profiter du mentorat et du réseautage que permet le travail en présentiel.
Enfin, ZDNet pense qu’avant d’attendre les chances offertes par un marché de l’emploi qui leur serait favorable, les gestionnaires devraient consacrer leurs efforts à expliquer, déjà maintenant et de façon convaincante, les avantages d’un retour au bureau. Cela leur permettrait de poursuivre leurs projets, quelles que soient les perspectives économiques.
ZDNet estime que l’accumulation d’indicateurs signalant une éventuelle récession économique pourrait renverser la tendance qui, depuis quelques années, favorise le télétravail. En effet, dans une période de difficultés, où les postes de travail pourraient se faire plus rares, le pouvoir de négociation pourrait revenir à l’employeur. Éventuellement, celui-ci pourrait privilégier le travail au bureau.
Certes, la possibilité de choisir l’endroit où l’on souhaite accomplir ses tâches professionnelles – au bureau, à la maison ou les deux – est devenue virtuellement une « nouvelle normalité » qui reflète le pouvoir des employés sur leurs employeurs. En effet, les gestionnaires se trouveraient dans une position de faiblesse dans un marché de l’emploi en effervescence où les travailleurs voient dans le télétravail la possibilité de réussir une meilleure conciliation travail-famille.
Toutefois, les perspectives économiques négatives seraient en train de recadrer l'équilibre du pouvoir. On assisterait en fait à une multiplication des indices. ZDNet mentionne que les employeurs offrent peut-être moins de possibilités de télétravail pour les développeurs d’applications informatiques, même dans un marché très serré. De plus, il se pourrait que certains gestionnaires aient lancé des ultimatums à leurs employés pour les faire revenir au bureau.
ZDNet précise que les développements à venir sont encore incertains. En effet, il se pourrait que la détérioration de l’économie oblige les entreprises à congédier une partie de leur personnel. Éventuellement, elles pourraient aussi choisir de se départir de leurs bureaux et d’imposer le télétravail en tout temps pour réduire leurs coûts.
Par contre, ce qui semble plus probable est que les gestionnaires, dans un contexte économique perçu comme instable, se retrouvent dans une position de force qui leur donnera les moyens d’exécuter leurs plans de retour au bureau qu’ils avaient mis au rancart. Il se pourrait même que quelques gestionnaires éprouvent la tentation d’imposer le retour impératif de leurs travailleurs.
ZDNet est d’avis qu’il s’agirait d’une très mauvaise idée, car la persuasion est un instrument bien plus efficace. D'ailleurs, les arguments à ce sujet sont convaincants. Après deux ans d’expérimentation, les analystes s'aperçoivent que le travail au bureau est préférable lorsqu’il s’agit de bâtir une culture organisationnelle et d'effectuer des activités liées à l’innovation. De plus, les employés, notamment les nouvelles recrues, peuvent profiter du mentorat et du réseautage que permet le travail en présentiel.
Enfin, ZDNet pense qu’avant d’attendre les chances offertes par un marché de l’emploi qui leur serait favorable, les gestionnaires devraient consacrer leurs efforts à expliquer, déjà maintenant et de façon convaincante, les avantages d’un retour au bureau. Cela leur permettrait de poursuivre leurs projets, quelles que soient les perspectives économiques.