Les terminaux pétroliers et gaziers pourraient jouer un rôle clé dans la gestion des nouveaux biocarburants
Selon MarshMcLennan et Brink, la transition énergétique pourrait profiter de la position privilégiée des terminaux pétroliers et gaziers pour le transport et la logistique de toute une panoplie de nouveaux combustibles tels que l’hydrogène, le diesel renouvelable, le carburant d’aviation durable et les matières premières associées.
Conséquemment, ces installations de raffinage – qui, il va sans dire, jouent un rôle absolument essentiel dans le commerce des carburants liquides traditionnels – pourraient acquérir une nouvelle valeur dans la transition énergétique. Elles pourraient devenir, en effet, de grands facilitateurs dans la transition vers de nouveaux produits et services à faible teneur en carbone.
MarshMcLennan et Brink indiquent que ce sont précisément les gestionnaires des principales installations de raffinage qui prennent l’initiative de se reconvertir face à l’intérêt croissant des investisseurs pour les carburants de substitution à faibles émissions de carbone. Un exemple intéressant est celui du Stargate Terminal à Rotterdam, aux Pays-Bas, qui a annoncé son intention de créer des infrastructures pour la gestion de produits à faibles émissions de carbone tels que l’hydrogène vert et bleu.
Parmi d’autres ports dotés d’une capacité de production de biocarburants, on compte ceux de Göteborg, en Suède, Klaipeda, en Lituanie, et Singapour, entre autres. Apparemment, il y aurait d’autres infrastructures en cours de reconversion, comme le terminal de Slagen, en Norvège, ainsi que celui de Marsden Point, en Nouvelle-Zélande. On note cependant qu’à l’heure actuelle, seulement 10 %, approximativement, de la capacité mondiale permet de traiter et stocker des biocarburants.
MarshMcLennan et Brink soulignent que, certes, il y a des occasions d’affaires très alléchantes pour ces terminaux dans la gestion des carburants de substitution. Cependant, une analyse de rentabilisation s’avère incontournable, car il faut évaluer les possibilités offertes par des types particuliers de matières premières renouvelables, et les investissements dans l’infrastructure que cela exigera. De plus, il faut considérer également l’influence des facteurs de risque, puisqu’il s’agit d’un marché naissant avec une capacité de production limitée.
Bref, les terminaux pétroliers et gaziers désireux de profiter des possibilités d’affaires associées à la transition vers la carboneutralité doivent avoir une vision précise de l’évolution des combustibles fossiles au cours des prochaines décennies, ainsi que du rythme d’adoption des nouvelles solutions hybrides. Cela permettra de déterminer la capacité que les terminaux devront consacrer aux carburants de substitution par rapport aux carburants traditionnels.
Enfin, MarshMcLennan et Brink soulignent la pertinence d’inclure dans les analyses de rentabilisation la gamme de produits qui peuvent être obtenus par les synergies entre le gaz naturel et l’hydrogène. En effet, il semble que le mélange de ces deux gaz ne présente pas de grandes difficultés sur le plan technique. De plus, il serait possible de profiter des infrastructures existantes de gaz naturel et de gaz naturel liquéfié, ce qui faciliterait la transition vers une énergie plus propre.
Selon MarshMcLennan et Brink, la transition énergétique pourrait profiter de la position privilégiée des terminaux pétroliers et gaziers pour le transport et la logistique de toute une panoplie de nouveaux combustibles tels que l’hydrogène, le diesel renouvelable, le carburant d’aviation durable et les matières premières associées.
Conséquemment, ces installations de raffinage – qui, il va sans dire, jouent un rôle absolument essentiel dans le commerce des carburants liquides traditionnels – pourraient acquérir une nouvelle valeur dans la transition énergétique. Elles pourraient devenir, en effet, de grands facilitateurs dans la transition vers de nouveaux produits et services à faible teneur en carbone.
MarshMcLennan et Brink indiquent que ce sont précisément les gestionnaires des principales installations de raffinage qui prennent l’initiative de se reconvertir face à l’intérêt croissant des investisseurs pour les carburants de substitution à faibles émissions de carbone. Un exemple intéressant est celui du Stargate Terminal à Rotterdam, aux Pays-Bas, qui a annoncé son intention de créer des infrastructures pour la gestion de produits à faibles émissions de carbone tels que l’hydrogène vert et bleu.
Parmi d’autres ports dotés d’une capacité de production de biocarburants, on compte ceux de Göteborg, en Suède, Klaipeda, en Lituanie, et Singapour, entre autres. Apparemment, il y aurait d’autres infrastructures en cours de reconversion, comme le terminal de Slagen, en Norvège, ainsi que celui de Marsden Point, en Nouvelle-Zélande. On note cependant qu’à l’heure actuelle, seulement 10 %, approximativement, de la capacité mondiale permet de traiter et stocker des biocarburants.
MarshMcLennan et Brink soulignent que, certes, il y a des occasions d’affaires très alléchantes pour ces terminaux dans la gestion des carburants de substitution. Cependant, une analyse de rentabilisation s’avère incontournable, car il faut évaluer les possibilités offertes par des types particuliers de matières premières renouvelables, et les investissements dans l’infrastructure que cela exigera. De plus, il faut considérer également l’influence des facteurs de risque, puisqu’il s’agit d’un marché naissant avec une capacité de production limitée.
Bref, les terminaux pétroliers et gaziers désireux de profiter des possibilités d’affaires associées à la transition vers la carboneutralité doivent avoir une vision précise de l’évolution des combustibles fossiles au cours des prochaines décennies, ainsi que du rythme d’adoption des nouvelles solutions hybrides. Cela permettra de déterminer la capacité que les terminaux devront consacrer aux carburants de substitution par rapport aux carburants traditionnels.
Enfin, MarshMcLennan et Brink soulignent la pertinence d’inclure dans les analyses de rentabilisation la gamme de produits qui peuvent être obtenus par les synergies entre le gaz naturel et l’hydrogène. En effet, il semble que le mélange de ces deux gaz ne présente pas de grandes difficultés sur le plan technique. De plus, il serait possible de profiter des infrastructures existantes de gaz naturel et de gaz naturel liquéfié, ce qui faciliterait la transition vers une énergie plus propre.