Les technologies immersives du métavers pourraient atténuer le désengagement croissant des employés en télétravail
À un moment où les entreprises font face à un désengagement sans précédent de leurs employés en télétravail, HRDive note que certains gestionnaires se tournent vers les possibilités offertes par le métavers pour tenter de retenir leurs talents.
En effet, certaines études menées aux États-Unis révèlent que plus de 80 % des responsables des ressources humaines craignent que les employés ne quittent leur organisation en raison, notamment, d’un manque d’engagement. Apparemment, le télétravail est ciblé comme l’un des facteurs principaux. La situation aurait de quoi inquiéter, car l’engagement est un élément crucial pour rendre viables les environnements flexibles qui se sont popularisés pendant la pandémie.
Dans la réflexion sur les meilleures stratégies à mettre en place pour améliorer la rétention des employés, certains pensent aux possibilités offertes par la conjugaison de technologies immersives – la réalité virtuelle (RV) ou augmentée (RA), entre autres – qui font partie du métavers. Apparemment, il y aurait déjà des initiatives en cours.
Une enquête menée récemment par Meta auprès de plus de 2 000 employés et 400 chefs d’entreprise au Royaume-Uni et aux États-Unis montre que 74 % des chefs d’entreprise déclaraient avoir un budget consacré à la RA, à la RV ou au métavers en 2022. De plus, 65 % des employés ont déclaré qu’ils étaient plus susceptibles de rester dans des emplois où ils pourraient avoir accès à ces technologies.
Bien que les employés valorisent les investissements technologiques qui facilitent le travail à distance et hybride, comme les appels vidéo, cela ne serait plus suffisant pour assurer leur engagement. En effet, il semble que désormais, la mise en place de communautés inclusives dans un environnement de travail de plus en plus virtuel fait partie des nouvelles attentes des travailleurs à l’égard de leurs employeurs.
Bref, les employés veulent une nouvelle expérience. À ce sujet, il est à noter que Meta offre déjà un aperçu de cas d’utilisation potentiels avec son produit Horizon Workrooms, qui simule une réunion présentielle dans laquelle les membres de l’équipe sont représentés par des avatars numériques.
Cependant, l’adoption massive des technologies immersives dans les lieux de travail doit encore surmonter plusieurs obstacles. Tout d’abord, la pertinence, car, selon les spécialistes, les entreprises ne sont pas généralement rendues au point où il serait logique de faire travailler les employés une partie substantielle de leur temps dans des espaces virtuels. Il y a aussi tous les aspects liés au coût et au temps nécessaire pour personnaliser les solutions afin de répondre aux besoins particuliers d’une organisation.
À un moment où les entreprises font face à un désengagement sans précédent de leurs employés en télétravail, HRDive note que certains gestionnaires se tournent vers les possibilités offertes par le métavers pour tenter de retenir leurs talents.
En effet, certaines études menées aux États-Unis révèlent que plus de 80 % des responsables des ressources humaines craignent que les employés ne quittent leur organisation en raison, notamment, d’un manque d’engagement. Apparemment, le télétravail est ciblé comme l’un des facteurs principaux. La situation aurait de quoi inquiéter, car l’engagement est un élément crucial pour rendre viables les environnements flexibles qui se sont popularisés pendant la pandémie.
Dans la réflexion sur les meilleures stratégies à mettre en place pour améliorer la rétention des employés, certains pensent aux possibilités offertes par la conjugaison de technologies immersives – la réalité virtuelle (RV) ou augmentée (RA), entre autres – qui font partie du métavers. Apparemment, il y aurait déjà des initiatives en cours.
Une enquête menée récemment par Meta auprès de plus de 2 000 employés et 400 chefs d’entreprise au Royaume-Uni et aux États-Unis montre que 74 % des chefs d’entreprise déclaraient avoir un budget consacré à la RA, à la RV ou au métavers en 2022. De plus, 65 % des employés ont déclaré qu’ils étaient plus susceptibles de rester dans des emplois où ils pourraient avoir accès à ces technologies.
Bien que les employés valorisent les investissements technologiques qui facilitent le travail à distance et hybride, comme les appels vidéo, cela ne serait plus suffisant pour assurer leur engagement. En effet, il semble que désormais, la mise en place de communautés inclusives dans un environnement de travail de plus en plus virtuel fait partie des nouvelles attentes des travailleurs à l’égard de leurs employeurs.
Bref, les employés veulent une nouvelle expérience. À ce sujet, il est à noter que Meta offre déjà un aperçu de cas d’utilisation potentiels avec son produit Horizon Workrooms, qui simule une réunion présentielle dans laquelle les membres de l’équipe sont représentés par des avatars numériques.
Cependant, l’adoption massive des technologies immersives dans les lieux de travail doit encore surmonter plusieurs obstacles. Tout d’abord, la pertinence, car, selon les spécialistes, les entreprises ne sont pas généralement rendues au point où il serait logique de faire travailler les employés une partie substantielle de leur temps dans des espaces virtuels. Il y a aussi tous les aspects liés au coût et au temps nécessaire pour personnaliser les solutions afin de répondre aux besoins particuliers d’une organisation.