Les retombées économiques de l’Université de Cambridge valent 50 milliards $ CAN par an, selon une analyse
Un rapport mentionné dans un article du Financial Times souligne le rôle que jouent les établissements d'enseignement supérieur dans l'accélération de l'innovation. En effet, le cabinet de conseil London Economics a calculé les retombées économiques de l'une des universités les plus prestigieuses du Royaume-Uni à près de 50 milliards $ CAN par an, et a estimé que celle-ci soutenait 86 000 emplois. Chaque livre sterling dépensée par Cambridge a créé 11,70 livres sterling de valeur économique.
Ce constat survient alors que le gouvernement du Royaume-Uni se tourne vers le secteur de l'enseignement supérieur pour aider à stimuler la croissance économique en renforçant la recherche et le développement. Le chancelier a annoncé 12 zones d'investissement à faible taux d'imposition dans le dernier budget, réparties sur tout le territoire et axées sur les universités et les instituts de recherche dans les secteurs « prioritaires » du numérique et de la technologie, des sciences de la vie, de la fabrication de pointe, et des industries vertes et créatives.
« Cela montre ce qui est possible pour les universités agissant en tant qu'institutions d'ancrage », a déclaré le directeur général de Cambridge Enterprise, qui est chargé d'aider à convertir la recherche en occasions commerciales. L'université, qui a commandé le rapport, dit-il, s'est assurée que les fondateurs et les départements bénéficiaient financièrement de leurs retombées et étaient soutenus par l'accès à l'expertise commerciale, à l'infrastructure et au capital de démarrage ou de mise à l'échelle.
Les zones viseront à créer de nouvelles grappes d'entreprises, centrées autour des universités et des instituts de recherche dans les secteurs prioritaires ciblés. Chaque zone recevra 134 millions $ CAN de soutien financier « flexible » du gouvernement sur cinq ans, répartis entre des incitations fiscales et des investissements, notamment dans les compétences et les infrastructures, visant à attirer les entreprises.
Le gouvernement a déclaré que son approche était alignée sur son engagement de « nivellement vers le haut » pour rééquilibrer les dépenses de R-D en dehors du Sud-Est. Les zones sont censées créer des partenariats entre les dirigeants locaux et les universités ou les instituts de recherche.
Les incitations fiscales appliquées aux zones comprennent un allégement intégral de l'impôt foncier sur le droit de timbre, un allégement de 100 % des taxes professionnelles, une déduction pour amortissement de 100 % la première année, une augmentation de l'abattement pour les structures et les bâtiments et un allégement des cotisations patronales à l'assurance nationale. Cette dernière mesure réduirait les cotisations fiscales des employeurs pour les employés passant 60 % de leur temps à travailler sur le site, sur des revenus allant jusqu'à 42 000 $ CAN par an.
Un rapport mentionné dans un article du Financial Times souligne le rôle que jouent les établissements d'enseignement supérieur dans l'accélération de l'innovation. En effet, le cabinet de conseil London Economics a calculé les retombées économiques de l'une des universités les plus prestigieuses du Royaume-Uni à près de 50 milliards $ CAN par an, et a estimé que celle-ci soutenait 86 000 emplois. Chaque livre sterling dépensée par Cambridge a créé 11,70 livres sterling de valeur économique.
Ce constat survient alors que le gouvernement du Royaume-Uni se tourne vers le secteur de l'enseignement supérieur pour aider à stimuler la croissance économique en renforçant la recherche et le développement. Le chancelier a annoncé 12 zones d'investissement à faible taux d'imposition dans le dernier budget, réparties sur tout le territoire et axées sur les universités et les instituts de recherche dans les secteurs « prioritaires » du numérique et de la technologie, des sciences de la vie, de la fabrication de pointe, et des industries vertes et créatives.
« Cela montre ce qui est possible pour les universités agissant en tant qu'institutions d'ancrage », a déclaré le directeur général de Cambridge Enterprise, qui est chargé d'aider à convertir la recherche en occasions commerciales. L'université, qui a commandé le rapport, dit-il, s'est assurée que les fondateurs et les départements bénéficiaient financièrement de leurs retombées et étaient soutenus par l'accès à l'expertise commerciale, à l'infrastructure et au capital de démarrage ou de mise à l'échelle.
Les zones viseront à créer de nouvelles grappes d'entreprises, centrées autour des universités et des instituts de recherche dans les secteurs prioritaires ciblés. Chaque zone recevra 134 millions $ CAN de soutien financier « flexible » du gouvernement sur cinq ans, répartis entre des incitations fiscales et des investissements, notamment dans les compétences et les infrastructures, visant à attirer les entreprises.
Le gouvernement a déclaré que son approche était alignée sur son engagement de « nivellement vers le haut » pour rééquilibrer les dépenses de R-D en dehors du Sud-Est. Les zones sont censées créer des partenariats entre les dirigeants locaux et les universités ou les instituts de recherche.
Les incitations fiscales appliquées aux zones comprennent un allégement intégral de l'impôt foncier sur le droit de timbre, un allégement de 100 % des taxes professionnelles, une déduction pour amortissement de 100 % la première année, une augmentation de l'abattement pour les structures et les bâtiments et un allégement des cotisations patronales à l'assurance nationale. Cette dernière mesure réduirait les cotisations fiscales des employeurs pour les employés passant 60 % de leur temps à travailler sur le site, sur des revenus allant jusqu'à 42 000 $ CAN par an.