Les multiples atouts de l'infonuagique façonnent l'avenir numérique des entreprises
Dans sa série sur l'avenir de la numérisation, Siemens se penche sur les bénéfices majeurs de l'architecture infonuagique par rapport à l'architecture locale. Apparemment, malgré les défis techniques et l'ampleur des investissements nécessaires, cette architecture offrirait une meilleure option aux entreprises pour la conception et la fabrication de leurs produits. Les effets sur la compétitivité sont donc incontestables.
Siemens explique que l'architecture locale propose un modèle centré sur les applications plutôt que sur les données. Cela veut dire que typiquement, l'utilisateur se sert d'une application installée sur son bureau pour récupérer les données, où qu'il soit, pour travailler sur ces données, puis pour les renvoyer. À ce qu'il paraît, cette vision fragmentaire des données crée des problèmes massifs de gestion, car les données sont verrouillées dans des applications installées localement à partir d'où elles sont importées et renvoyées.
En revanche, l'architecture infonuagique propose un environnement centré sur les données elles-mêmes, qui sont gérées de façon centralisée. Les utilisateurs peuvent ainsi accéder à des bases de données non structurées à partir de n'importe quel appareil. La connectivité est donc plus naturelle que celle offerte par l'architecture locale, qui privilégie plutôt le travail sur des fichiers.
En outre, Siemens estime que les entreprises manufacturières qui choisissent de placer leurs données et fichiers dans le nuage créent une source unique et contrôlée de données sans avoir à modifier fondamentalement leur architecture. De plus, les entreprises ont la possibilité d'avoir plusieurs domaines différents avec divers schémas qui interagissent et fonctionnent ensemble. Bref, une structuration efficace des données dans le nuage, en plus d'offrir une bonne gestion de l'accès, devrait simplifier considérablement leur gestion.
D'ailleurs, les avantages de l'accès centralisé pourraient faciliter la gestion du partage bidirectionnel des données qui a lieu sur la chaîne d'approvisionnement. En général, ces données sont protégées par des pare-feu, ce qui oblige les entreprises à choisir les employés qui auront les autorisations d'accès. Siemens indique qu'il s'agit d'une évaluation épineuse étant donné les conséquences potentielles sur la conception et l'ingénierie des produits.
Ultimement, l'enjeu est qu'un déplacement et une exposition excessive des données pourraient compromettre leur sécurité. En revanche, Siemens souligne que sur l'infonuagique, les données ne se déplacent nulle part. Ce sont plutôt les utilisateurs qui les parcourent selon leurs besoins, et cette activité peut de plus être surveillée. Enfin, l'infonuagique pourrait faciliter la fluidité des échanges de données entre les multiples équipes qui travaillent sur un même projet à un moment où le télétravail et le modèle de main-d'œuvre contractuelle à la demande gagnent en popularité.
Dans sa série sur l'avenir de la numérisation, Siemens se penche sur les bénéfices majeurs de l'architecture infonuagique par rapport à l'architecture locale. Apparemment, malgré les défis techniques et l'ampleur des investissements nécessaires, cette architecture offrirait une meilleure option aux entreprises pour la conception et la fabrication de leurs produits. Les effets sur la compétitivité sont donc incontestables.
Siemens explique que l'architecture locale propose un modèle centré sur les applications plutôt que sur les données. Cela veut dire que typiquement, l'utilisateur se sert d'une application installée sur son bureau pour récupérer les données, où qu'il soit, pour travailler sur ces données, puis pour les renvoyer. À ce qu'il paraît, cette vision fragmentaire des données crée des problèmes massifs de gestion, car les données sont verrouillées dans des applications installées localement à partir d'où elles sont importées et renvoyées.
En revanche, l'architecture infonuagique propose un environnement centré sur les données elles-mêmes, qui sont gérées de façon centralisée. Les utilisateurs peuvent ainsi accéder à des bases de données non structurées à partir de n'importe quel appareil. La connectivité est donc plus naturelle que celle offerte par l'architecture locale, qui privilégie plutôt le travail sur des fichiers.
En outre, Siemens estime que les entreprises manufacturières qui choisissent de placer leurs données et fichiers dans le nuage créent une source unique et contrôlée de données sans avoir à modifier fondamentalement leur architecture. De plus, les entreprises ont la possibilité d'avoir plusieurs domaines différents avec divers schémas qui interagissent et fonctionnent ensemble. Bref, une structuration efficace des données dans le nuage, en plus d'offrir une bonne gestion de l'accès, devrait simplifier considérablement leur gestion.
D'ailleurs, les avantages de l'accès centralisé pourraient faciliter la gestion du partage bidirectionnel des données qui a lieu sur la chaîne d'approvisionnement. En général, ces données sont protégées par des pare-feu, ce qui oblige les entreprises à choisir les employés qui auront les autorisations d'accès. Siemens indique qu'il s'agit d'une évaluation épineuse étant donné les conséquences potentielles sur la conception et l'ingénierie des produits.
Ultimement, l'enjeu est qu'un déplacement et une exposition excessive des données pourraient compromettre leur sécurité. En revanche, Siemens souligne que sur l'infonuagique, les données ne se déplacent nulle part. Ce sont plutôt les utilisateurs qui les parcourent selon leurs besoins, et cette activité peut de plus être surveillée. Enfin, l'infonuagique pourrait faciliter la fluidité des échanges de données entre les multiples équipes qui travaillent sur un même projet à un moment où le télétravail et le modèle de main-d'œuvre contractuelle à la demande gagnent en popularité.