Les logiciels de mauvaise qualité et leur réparation peuvent coûter très cher aux organisations
CIO Dive met en relief la pertinence pour les organisations de reconfigurer leurs processus de développement afin de ne pas subir les coûts associés à l'entretien des mauvais logiciels. Les irritants d'un logiciel de mauvaise qualité sont, en effet, assez connus : des bogues, des erreurs et des clients insatisfaits qui se plaignent de ne pas être en mesure d'exécuter des projets à cause d'outils non performants.
Les coûts financiers sont énormes. Faisant référence à un rapport de Synopsys et du CISQ, CIO Dive souligne que la mauvaise qualité des logiciels a coûté aux entreprises américaines 2,41 billions de dollars en 2022, soit presque le double du déficit budgétaire de ce pays. Ces coûts s'expliquent par l'occurrence des cyberattaques qui ciblent les systèmes vulnérables, les problèmes dans la chaîne d'approvisionnement ainsi que l'accumulation des dettes techniques associées à la réparation des logiciels.
Ultimement, cela impose une réflexion concernant les problèmes entourant la réparation des logiciels. Ces coûts peuvent être très élevés à cause des ressources – du temps et des efforts – investies dans la résolution des problèmes, mais aussi à cause du fait que ces ressources auraient pu être consacrées à d'autres activités à valeur ajoutée pour l'organisation. Selon un rapport de Rollbar (2021) sur l'état du code logiciel, plus de 2 développeurs sur 5 ont déclaré que la correction des bogues était leur plus gros problème, qui consommait 25 % de leur temps. De surcroît, 88 % des personnes interrogées ont déclaré que les bogues et les erreurs étaient d'abord détectés par les clients.
CIO Dive estime que ces coûts peuvent être plus gérables si, lors du processus de développement, on s'attaque tout de suite aux problèmes entourant la vérification de la sécurité et à l'assurance qualité. Selon les spécialistes, ces deux critères, qui font partie de l'analyse architecturale et de la modélisation des menaces, doivent être pris en compte avant la conception et le développement du logiciel. En fait, il semble que la mauvaise qualité des logiciels puisse être une conséquence du fait de reléguer ces étapes critiques aux derniers stades du développement.
CIO Dive signale que la mise en place d'une telle approche nécessiterait un véritable changement de paradigme, car la priorité est donnée au codage, à l'efficacité, aux performances et à l'évolutivité. Apparemment, selon les spécialistes, la qualité et la sécurité des logiciels ne sont pas des matières obligatoires à l'université. Par conséquent, des problèmes de qualité logicielle peuvent devenir évidents lorsqu'un produit est lancé sans avoir été testé dans l'environnement réel d'utilisation.
CIO Dive met en relief la pertinence pour les organisations de reconfigurer leurs processus de développement afin de ne pas subir les coûts associés à l'entretien des mauvais logiciels. Les irritants d'un logiciel de mauvaise qualité sont, en effet, assez connus : des bogues, des erreurs et des clients insatisfaits qui se plaignent de ne pas être en mesure d'exécuter des projets à cause d'outils non performants.
Les coûts financiers sont énormes. Faisant référence à un rapport de Synopsys et du CISQ, CIO Dive souligne que la mauvaise qualité des logiciels a coûté aux entreprises américaines 2,41 billions de dollars en 2022, soit presque le double du déficit budgétaire de ce pays. Ces coûts s'expliquent par l'occurrence des cyberattaques qui ciblent les systèmes vulnérables, les problèmes dans la chaîne d'approvisionnement ainsi que l'accumulation des dettes techniques associées à la réparation des logiciels.
Ultimement, cela impose une réflexion concernant les problèmes entourant la réparation des logiciels. Ces coûts peuvent être très élevés à cause des ressources – du temps et des efforts – investies dans la résolution des problèmes, mais aussi à cause du fait que ces ressources auraient pu être consacrées à d'autres activités à valeur ajoutée pour l'organisation. Selon un rapport de Rollbar (2021) sur l'état du code logiciel, plus de 2 développeurs sur 5 ont déclaré que la correction des bogues était leur plus gros problème, qui consommait 25 % de leur temps. De surcroît, 88 % des personnes interrogées ont déclaré que les bogues et les erreurs étaient d'abord détectés par les clients.
CIO Dive estime que ces coûts peuvent être plus gérables si, lors du processus de développement, on s'attaque tout de suite aux problèmes entourant la vérification de la sécurité et à l'assurance qualité. Selon les spécialistes, ces deux critères, qui font partie de l'analyse architecturale et de la modélisation des menaces, doivent être pris en compte avant la conception et le développement du logiciel. En fait, il semble que la mauvaise qualité des logiciels puisse être une conséquence du fait de reléguer ces étapes critiques aux derniers stades du développement.
CIO Dive signale que la mise en place d'une telle approche nécessiterait un véritable changement de paradigme, car la priorité est donnée au codage, à l'efficacité, aux performances et à l'évolutivité. Apparemment, selon les spécialistes, la qualité et la sécurité des logiciels ne sont pas des matières obligatoires à l'université. Par conséquent, des problèmes de qualité logicielle peuvent devenir évidents lorsqu'un produit est lancé sans avoir été testé dans l'environnement réel d'utilisation.