Les « fintechs climatiques » pourraient jouer un rôle décisif dans le financement des initiatives écoresponsables
MarshMcLenann et Brink signalent que les technologies financières (fintech) climatiques pourraient jouer un rôle décisif dans la région de l’Asie-Pacifique, qui est, semble-t-il, la plus vulnérable au réchauffement climatique. En effet, la combinaison des services financiers et de la technologie numérique pourrait, dit-on, contribuer à la transition vers une économie plus durable.
L’utilisation des technologies numériques et des innovations en matière de produits financiers permettrait de connecter les banques, les assureurs, les institutions non bancaires, les jeunes pousses, les grandes entreprises technologiques, les fournisseurs technologiques, les instances régulatrices et les consommateurs. Grâce à l’interaction des acteurs de cet écosystème, il serait possible d’offrir un financement dit « climatique », qui soutiendrait les objectifs de l’Accord de Paris en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre et d’amélioration de la résilience au changement climatique.
Il est à noter que de nombreux modèles d’affaires commencent à émerger pour les technologies financières climatiques, encouragés par des politiques de soutien et des initiatives gouvernementales. Celles-ci seraient déjà à l’œuvre dans certains domaines clés comme l’évaluation des risques climatiques. Dans ce cas particulier, les technologies disruptives – les mégadonnées, l’intelligence artificielle (IA), l’apprentissage automatique et les capteurs associés à la technologie de télédétection – permettent d’avoir un aperçu plus précis des risques financiers et d’offrir un financement adapté à des risques climatiques particuliers.
De plus, les technologies permettent d’obtenir des informations critiques pour les compagnies d’assurance, comme des données sur l’agriculture, les bâtiments et les inspections des limites de propriété, les risques d’inondation, d’élévation du niveau de la mer, de déforestation et d’incendie de forêt, etc. Ces données peuvent être intégrées rapidement dans des modèles climatiques et d’analyse des risques associés des projets et des investissements, ce qui a une répercussion sur l’allocation et le coût du capital-risque.
En outre, en ce qui concerne le déploiement du capital, les technologies disruptives offriraient une analyse exhaustive des données structurées et non structurées afin de faire des profilages environnementaux, sociaux et de gouvernance. Cette information se répercuterait dans une plus grande certitude à long terme, des évaluations des entreprises plus transparentes et une meilleure tarification pour les institutions financières et d’autres investisseurs.
Enfin, les solutions de technologie financière faciliteraient la structuration des accords de financement par emprunt pour les investissements climatiques, tels que les prêts entre pairs pour l’accessibilité des capitaux. De leur côté, les banques tirent profit de l’intelligence artificielle et utilisent des données alternatives pour concevoir des modèles de prêt respectueux de l’environnement et émettre des obligations vertes.
MarshMcLenann et Brink signalent que les technologies financières (fintech) climatiques pourraient jouer un rôle décisif dans la région de l’Asie-Pacifique, qui est, semble-t-il, la plus vulnérable au réchauffement climatique. En effet, la combinaison des services financiers et de la technologie numérique pourrait, dit-on, contribuer à la transition vers une économie plus durable.
L’utilisation des technologies numériques et des innovations en matière de produits financiers permettrait de connecter les banques, les assureurs, les institutions non bancaires, les jeunes pousses, les grandes entreprises technologiques, les fournisseurs technologiques, les instances régulatrices et les consommateurs. Grâce à l’interaction des acteurs de cet écosystème, il serait possible d’offrir un financement dit « climatique », qui soutiendrait les objectifs de l’Accord de Paris en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre et d’amélioration de la résilience au changement climatique.
Il est à noter que de nombreux modèles d’affaires commencent à émerger pour les technologies financières climatiques, encouragés par des politiques de soutien et des initiatives gouvernementales. Celles-ci seraient déjà à l’œuvre dans certains domaines clés comme l’évaluation des risques climatiques. Dans ce cas particulier, les technologies disruptives – les mégadonnées, l’intelligence artificielle (IA), l’apprentissage automatique et les capteurs associés à la technologie de télédétection – permettent d’avoir un aperçu plus précis des risques financiers et d’offrir un financement adapté à des risques climatiques particuliers.
De plus, les technologies permettent d’obtenir des informations critiques pour les compagnies d’assurance, comme des données sur l’agriculture, les bâtiments et les inspections des limites de propriété, les risques d’inondation, d’élévation du niveau de la mer, de déforestation et d’incendie de forêt, etc. Ces données peuvent être intégrées rapidement dans des modèles climatiques et d’analyse des risques associés des projets et des investissements, ce qui a une répercussion sur l’allocation et le coût du capital-risque.
En outre, en ce qui concerne le déploiement du capital, les technologies disruptives offriraient une analyse exhaustive des données structurées et non structurées afin de faire des profilages environnementaux, sociaux et de gouvernance. Cette information se répercuterait dans une plus grande certitude à long terme, des évaluations des entreprises plus transparentes et une meilleure tarification pour les institutions financières et d’autres investisseurs.
Enfin, les solutions de technologie financière faciliteraient la structuration des accords de financement par emprunt pour les investissements climatiques, tels que les prêts entre pairs pour l’accessibilité des capitaux. De leur côté, les banques tirent profit de l’intelligence artificielle et utilisent des données alternatives pour concevoir des modèles de prêt respectueux de l’environnement et émettre des obligations vertes.