Les entreprises renouent avec les dépenses technologiques, et celles-ci sont largement monopolisées par l’infonuagique
CIODive relève deux tendances apparemment contradictoires dans le développement de l’infonuagique. D’un côté, le ralentissement de l’économie, la poussée inflationniste et les hausses de taux d’intérêt sont des facteurs qui encouragent la réduction des dépenses et des effectifs des entreprises. En même temps, celles-ci semblent déterminées à persévérer dans la transformation numérique de leurs activités, ce qui nécessite davantage d’investissements en ressources et en capital afin de réussir à obtenir ou maintenir un avantage concurrentiel.
Malgré les frictions entre ces deux tendances, CIODive estime qu’ultimement, elles ne sont pas mutuellement exclusives. En effet, malgré l’effet des contraintes économiques sur les investissements technologiques, les entreprises estiment, semble-t-il, que l’argent dépensé dans l’infonuagique est pleinement justifié, car ce serait la voie vers l’efficacité et la croissance des revenus.
Selon les spécialistes consultés par CIODive, les organisations, après une période de crise, sont ouvertes à reprendre, voire augmenter, leurs investissements dans les technologies numériques en 2023. Dans cette lancée, Gartner note que les directeurs financiers encouragent la transition vers l’infonuagique comme moyen d’obtenir un avantage concurrentiel et de contourner les conditions macroéconomiques actuelles.
Dans le détail, Gartner mentionne que les dépenses dans les technologies informatiques devraient augmenter de 5,1 % dans le monde en 2023, avec une grande partie des nouveaux investissements consacrés aux technologies infonuagiques. Qui plus est, les dépenses dans l’infonuagique publique devraient atteindre à elles seules 591 milliards de dollars cette année, soit une augmentation de 20,7 % par rapport aux 490 milliards de dollars de 2022. Bref, on constate que les entreprises consolident leurs dépenses et que les investissements dans l’infonuagique continueront à augmenter, peu importe si les dépenses globales en informatique diminuent éventuellement.
Dans ce contexte, CIODive note que la transition vers l’infonuagique semble facilitée par la stratégie de contrôle de coûts offerte par l’approche « FinOps ». Celle-ci propose des stratégies et des technologies qui permettent aux entreprises de suivre et d’optimiser les dépenses dans des écosystèmes multi-infonuagiques hybrides et complexes. À ce sujet, Talend explique que la transition vers l’infonuagique – quoique souhaitable, voire incontournable – est également très coûteuse. L’approche FinOps permettrait à une organisation de comprendre les coûts liés à l’infonuagique et de trouver comment les réduire.
Enfin, l’approche FinOps peut encourager les efforts organisationnels en matière d’écoresponsabilité, car elle permettrait aux organisations de travailler sur l’optimisation de leur consommation des ressources pour éviter au maximum le gaspillage. Cela étant dit, l’adoption de cette stratégie exige une certaine maturité et il est prévisible que les entreprises ne parviendront pas tout de suite au développement d’une stratégie FinOps optimale.
CIODive relève deux tendances apparemment contradictoires dans le développement de l’infonuagique. D’un côté, le ralentissement de l’économie, la poussée inflationniste et les hausses de taux d’intérêt sont des facteurs qui encouragent la réduction des dépenses et des effectifs des entreprises. En même temps, celles-ci semblent déterminées à persévérer dans la transformation numérique de leurs activités, ce qui nécessite davantage d’investissements en ressources et en capital afin de réussir à obtenir ou maintenir un avantage concurrentiel.
Malgré les frictions entre ces deux tendances, CIODive estime qu’ultimement, elles ne sont pas mutuellement exclusives. En effet, malgré l’effet des contraintes économiques sur les investissements technologiques, les entreprises estiment, semble-t-il, que l’argent dépensé dans l’infonuagique est pleinement justifié, car ce serait la voie vers l’efficacité et la croissance des revenus.
Selon les spécialistes consultés par CIODive, les organisations, après une période de crise, sont ouvertes à reprendre, voire augmenter, leurs investissements dans les technologies numériques en 2023. Dans cette lancée, Gartner note que les directeurs financiers encouragent la transition vers l’infonuagique comme moyen d’obtenir un avantage concurrentiel et de contourner les conditions macroéconomiques actuelles.
Dans le détail, Gartner mentionne que les dépenses dans les technologies informatiques devraient augmenter de 5,1 % dans le monde en 2023, avec une grande partie des nouveaux investissements consacrés aux technologies infonuagiques. Qui plus est, les dépenses dans l’infonuagique publique devraient atteindre à elles seules 591 milliards de dollars cette année, soit une augmentation de 20,7 % par rapport aux 490 milliards de dollars de 2022. Bref, on constate que les entreprises consolident leurs dépenses et que les investissements dans l’infonuagique continueront à augmenter, peu importe si les dépenses globales en informatique diminuent éventuellement.
Dans ce contexte, CIODive note que la transition vers l’infonuagique semble facilitée par la stratégie de contrôle de coûts offerte par l’approche « FinOps ». Celle-ci propose des stratégies et des technologies qui permettent aux entreprises de suivre et d’optimiser les dépenses dans des écosystèmes multi-infonuagiques hybrides et complexes. À ce sujet, Talend explique que la transition vers l’infonuagique – quoique souhaitable, voire incontournable – est également très coûteuse. L’approche FinOps permettrait à une organisation de comprendre les coûts liés à l’infonuagique et de trouver comment les réduire.
Enfin, l’approche FinOps peut encourager les efforts organisationnels en matière d’écoresponsabilité, car elle permettrait aux organisations de travailler sur l’optimisation de leur consommation des ressources pour éviter au maximum le gaspillage. Cela étant dit, l’adoption de cette stratégie exige une certaine maturité et il est prévisible que les entreprises ne parviendront pas tout de suite au développement d’une stratégie FinOps optimale.