Les employés veulent plus d’occasions de développement professionnel de la part de leurs employeurs, sinon ils s’en vont
Les attentes croissantes des employés en matière de développement professionnel font partie de la complexité qui semble entourer la gestion de la main-d’œuvre aujourd’hui. En effet, faisant référence à une enquête menée par Amazon et Workplace Intelligence auprès de 3 000 professionnels, ZDNET nous apprend que 74 % d’entre eux déclarent qu’ils pourraient quitter leur emploi au cours de la prochaine année en raison d’un manque d’occasions de développement.
Apparemment, selon les répondants, les employeurs seraient à blâmer, car ils n’offriraient pas assez de possibilités aux employés pour qu’ils puissent atteindre leurs objectifs. Par exemple, seulement 51 % des répondants ont déclaré que leurs employeurs prenaient en charge leurs droits de scolarité, tandis que seulement 55 % ont déclaré avoir accès à des occasions de réseautage. Dans un tel contexte, les employés, dit-on, seraient prêts à quitter leur emploi.
Dans le détail, l’enquête révèle que les employés ne se sentent pas préparés pour faire face aux nouvelles exigences du travail. En effet, 64 % d’entre eux craignent de perdre leur emploi en raison de nouvelles exigences en matière de compétences pour lesquelles ils ne se sentent pas outillés; 58 % pensent que leurs compétences sont peut-être désuètes dans le contexte postpandémique et 70 % déclarent ne pas se sentir préparés pour faire face à l’avenir du travail.
Par conséquent, environ les deux tiers des employés, notamment ceux de la génération Y et de la génération Z, ont dit qu’ils étaient « extrêmement » ou « plutôt » susceptibles de quitter leur employeur au cours de la prochaine année. Parmi les raisons évoquées, ils parlent principalement d’un manque d’occasions de développement des compétences (64 %) ou d’avancement professionnel (66 %), ou même de l’impossibilité d’évoluer vers un autre emploi ou d’entamer un nouveau cheminement de carrière (65 %).
Dans l’ensemble, l’enquête montre, selon ZDNET, que le développement et l’acquisition de nouvelles compétences sont devenus une priorité pour les employés au cours des deux années qui ont suivi la pandémie. À ce qu’il paraît, à l’horizon 2023, 89 % des employés manifestent leur intérêt à peaufiner leurs compétences, tandis que 80 % d’entre eux attribuent cette volonté aux perturbations créées par la pandémie. Enfin, il semble que 88 % des travailleurs aient déjà trouvé des moyens pour améliorer leurs compétences.
En outre, en ce qui concerne les motivations pour perfectionner leurs compétences, les employés mentionnent principalement la possibilité d’améliorer leur revenu (59 %), d’atteindre un meilleur équilibre entre le travail et la vie personnelle (48 %), ainsi que l’envie d’avoir un but (41 %).
Les attentes croissantes des employés en matière de développement professionnel font partie de la complexité qui semble entourer la gestion de la main-d’œuvre aujourd’hui. En effet, faisant référence à une enquête menée par Amazon et Workplace Intelligence auprès de 3 000 professionnels, ZDNET nous apprend que 74 % d’entre eux déclarent qu’ils pourraient quitter leur emploi au cours de la prochaine année en raison d’un manque d’occasions de développement.
Apparemment, selon les répondants, les employeurs seraient à blâmer, car ils n’offriraient pas assez de possibilités aux employés pour qu’ils puissent atteindre leurs objectifs. Par exemple, seulement 51 % des répondants ont déclaré que leurs employeurs prenaient en charge leurs droits de scolarité, tandis que seulement 55 % ont déclaré avoir accès à des occasions de réseautage. Dans un tel contexte, les employés, dit-on, seraient prêts à quitter leur emploi.
Dans le détail, l’enquête révèle que les employés ne se sentent pas préparés pour faire face aux nouvelles exigences du travail. En effet, 64 % d’entre eux craignent de perdre leur emploi en raison de nouvelles exigences en matière de compétences pour lesquelles ils ne se sentent pas outillés; 58 % pensent que leurs compétences sont peut-être désuètes dans le contexte postpandémique et 70 % déclarent ne pas se sentir préparés pour faire face à l’avenir du travail.
Par conséquent, environ les deux tiers des employés, notamment ceux de la génération Y et de la génération Z, ont dit qu’ils étaient « extrêmement » ou « plutôt » susceptibles de quitter leur employeur au cours de la prochaine année. Parmi les raisons évoquées, ils parlent principalement d’un manque d’occasions de développement des compétences (64 %) ou d’avancement professionnel (66 %), ou même de l’impossibilité d’évoluer vers un autre emploi ou d’entamer un nouveau cheminement de carrière (65 %).
Dans l’ensemble, l’enquête montre, selon ZDNET, que le développement et l’acquisition de nouvelles compétences sont devenus une priorité pour les employés au cours des deux années qui ont suivi la pandémie. À ce qu’il paraît, à l’horizon 2023, 89 % des employés manifestent leur intérêt à peaufiner leurs compétences, tandis que 80 % d’entre eux attribuent cette volonté aux perturbations créées par la pandémie. Enfin, il semble que 88 % des travailleurs aient déjà trouvé des moyens pour améliorer leurs compétences.
En outre, en ce qui concerne les motivations pour perfectionner leurs compétences, les employés mentionnent principalement la possibilité d’améliorer leur revenu (59 %), d’atteindre un meilleur équilibre entre le travail et la vie personnelle (48 %), ainsi que l’envie d’avoir un but (41 %).