Les bâtiments commerciaux en bois massif ont la cote au Canada
Selon un article du journal The Globe and Mail, la construction de bâtiments en bois massif au Canada, et particulièrement en Ontario, se transforme en un mouvement de masse. Autrefois principalement considérée comme une technologie de construction expérimentale, l’utilisation de poutres en bois lamellé-collé s’impose désormais dans la conception et la construction de grands bâtiments commerciaux, industriels et institutionnels.
Le président du syndicat des charpentiers de l’Ontario estime qu’à l’heure actuelle, pas moins de 12 projets de construction en bois massif sont en cours à Toronto, et qu’il y en a d’autres dans la région du Grand Toronto et d’autres villes : « Le bois massif n’est pas seulement bon pour les charpentiers, il est également bon pour l’environnement et pour la réduction des émissions de carbone ».
À la fin de l’année dernière, le rapport du gouvernement fédéral intitulé La situation du bois massif au Canada indiquait qu’il y avait déjà près de 500 projets de construction en bois massif à travers le Canada, dont 412 achevés, 52 en cours et 12 autres prévus.
Parmi eux se trouvent les immeubles de bureaux T3 Sterling Road et T3 Bayside, un projet de 251 000 pieds carrés construit sur le secteur riverain de Toronto. Selon son promoteur, les gens aiment travailler dans ces bâtiments en briques et poutres avec beaucoup de bois. De plus, le bois massif est neutre en carbone, tandis que le béton produit jusqu’à 8 % des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine. Chacun des deux bâtiments T3 compense l’équivalent de 17 200 tonnes d’émissions de carbone qui seraient produites par un immeuble de bureaux conventionnel en béton et en acier
Le bois massif a également l’avantage de soutenir l’industrie forestière canadienne, y compris les usines appartenant à des Autochtones. Le Code national du bâtiment du Canada approuve maintenant les bâtiments à poutres en bois lamellé-collé jusqu’à 12 étages. Et oui, les édifices en bois massif ont fait l’objet de nombreux essais d’inflammabilité.
Le bois massif ne fonctionne pas seulement pour les immeubles de bureaux à plusieurs étages; il peut également être employé dans des projets de renom tels que des stades. Toutefois, l’un des principaux défis liés à une utilisation plus soutenue du bois massif consiste à éduquer et à former davantage de concepteurs et de gens de métier dans ce domaine. La technologie progresse rapidement et, bien que de nombreuses compétences en menuiserie soient transférables au bois massif, d’autres nécessitent une formation spécialisée. Un partenariat avec des ingénieurs et des fournisseurs a permis de mettre en place un programme de formation en bois massif de quatre semaines.
Selon un article du journal The Globe and Mail, la construction de bâtiments en bois massif au Canada, et particulièrement en Ontario, se transforme en un mouvement de masse. Autrefois principalement considérée comme une technologie de construction expérimentale, l’utilisation de poutres en bois lamellé-collé s’impose désormais dans la conception et la construction de grands bâtiments commerciaux, industriels et institutionnels.
Le président du syndicat des charpentiers de l’Ontario estime qu’à l’heure actuelle, pas moins de 12 projets de construction en bois massif sont en cours à Toronto, et qu’il y en a d’autres dans la région du Grand Toronto et d’autres villes : « Le bois massif n’est pas seulement bon pour les charpentiers, il est également bon pour l’environnement et pour la réduction des émissions de carbone ».
À la fin de l’année dernière, le rapport du gouvernement fédéral intitulé La situation du bois massif au Canada indiquait qu’il y avait déjà près de 500 projets de construction en bois massif à travers le Canada, dont 412 achevés, 52 en cours et 12 autres prévus.
Parmi eux se trouvent les immeubles de bureaux T3 Sterling Road et T3 Bayside, un projet de 251 000 pieds carrés construit sur le secteur riverain de Toronto. Selon son promoteur, les gens aiment travailler dans ces bâtiments en briques et poutres avec beaucoup de bois. De plus, le bois massif est neutre en carbone, tandis que le béton produit jusqu’à 8 % des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine. Chacun des deux bâtiments T3 compense l’équivalent de 17 200 tonnes d’émissions de carbone qui seraient produites par un immeuble de bureaux conventionnel en béton et en acier
Le bois massif a également l’avantage de soutenir l’industrie forestière canadienne, y compris les usines appartenant à des Autochtones. Le Code national du bâtiment du Canada approuve maintenant les bâtiments à poutres en bois lamellé-collé jusqu’à 12 étages. Et oui, les édifices en bois massif ont fait l’objet de nombreux essais d’inflammabilité.
Le bois massif ne fonctionne pas seulement pour les immeubles de bureaux à plusieurs étages; il peut également être employé dans des projets de renom tels que des stades. Toutefois, l’un des principaux défis liés à une utilisation plus soutenue du bois massif consiste à éduquer et à former davantage de concepteurs et de gens de métier dans ce domaine. La technologie progresse rapidement et, bien que de nombreuses compétences en menuiserie soient transférables au bois massif, d’autres nécessitent une formation spécialisée. Un partenariat avec des ingénieurs et des fournisseurs a permis de mettre en place un programme de formation en bois massif de quatre semaines.