L’écart de salaire entre les pays émergents et les pays riches se contracte
Un article publié sur Les Échos rapporte que l’Organisation internationale du travail (OIT) affirme que le salaire réel mensuel au niveau international a reculé de 0,9 % au premier semestre de l’année 2022. Les salaires des ménages ainsi que leur pouvoir d’achat ont été très affectés par l’inflation. C’est la première fois que l’on constate un recul depuis la crise financière de 2008. En Amérique du Nord, notamment au Canada et aux États-Unis, la baisse des salaires s’élève à 3,2 %. En Europe, elle est de 2,4 %. « Parmi les pays du G20, qui concentrent environ 60 % des salariés dans le monde, la diminution des salaires réels au cours du premier semestre 2022 est estimée à 2,2 % ». Cela montre que c’est dans les pays riches que la baisse des salaires est la plus forte.
Dans les pays émergents cependant, on remarque que les salaires mensuels réels ont augmenté. En effet, dans les pays développés, le salaire mensuel moyen est de 4 000 dollars, alors que dans les pays émergents, il est de 1 800 dollars. Toutefois, on remarque que dans certains pays développés, notamment l’Italie, le Japon, le Mexique et les États-Unis, les salaires réels étaient inférieurs à ceux de 2008 au cours de l’année 2022, tandis qu’en Chine, les salaires mensuels réels équivalent à 2,6 fois leur valeur réelle de 2008. Pour l’OIT, il y a un écart entre les salaires et la productivité dans les pays développés, alors qu’on assiste à une croissance de la productivité de 12,6 points de pourcentage par rapport à celle des salaires. Cela pour dire que la productivité a augmenté, tandis que les salaires ont diminué. Si l’inflation continue à croître au niveau mondial comme les prévisions le suggèrent, il se pourrait que cette tendance dure. Pour atténuer ce phénomène, l’OIT suggère une revalorisation du salaire minimum et une réduction de la fiscalité, dont une réduction de la TVA. Cela permettrait d’atténuer le poids de l’inflation sur les ménages et contribuerait du même coup à réduire l’inflation.
Un article publié sur Les Échos rapporte que l’Organisation internationale du travail (OIT) affirme que le salaire réel mensuel au niveau international a reculé de 0,9 % au premier semestre de l’année 2022. Les salaires des ménages ainsi que leur pouvoir d’achat ont été très affectés par l’inflation. C’est la première fois que l’on constate un recul depuis la crise financière de 2008. En Amérique du Nord, notamment au Canada et aux États-Unis, la baisse des salaires s’élève à 3,2 %. En Europe, elle est de 2,4 %. « Parmi les pays du G20, qui concentrent environ 60 % des salariés dans le monde, la diminution des salaires réels au cours du premier semestre 2022 est estimée à 2,2 % ». Cela montre que c’est dans les pays riches que la baisse des salaires est la plus forte.
Dans les pays émergents cependant, on remarque que les salaires mensuels réels ont augmenté. En effet, dans les pays développés, le salaire mensuel moyen est de 4 000 dollars, alors que dans les pays émergents, il est de 1 800 dollars. Toutefois, on remarque que dans certains pays développés, notamment l’Italie, le Japon, le Mexique et les États-Unis, les salaires réels étaient inférieurs à ceux de 2008 au cours de l’année 2022, tandis qu’en Chine, les salaires mensuels réels équivalent à 2,6 fois leur valeur réelle de 2008. Pour l’OIT, il y a un écart entre les salaires et la productivité dans les pays développés, alors qu’on assiste à une croissance de la productivité de 12,6 points de pourcentage par rapport à celle des salaires. Cela pour dire que la productivité a augmenté, tandis que les salaires ont diminué. Si l’inflation continue à croître au niveau mondial comme les prévisions le suggèrent, il se pourrait que cette tendance dure. Pour atténuer ce phénomène, l’OIT suggère une revalorisation du salaire minimum et une réduction de la fiscalité, dont une réduction de la TVA. Cela permettrait d’atténuer le poids de l’inflation sur les ménages et contribuerait du même coup à réduire l’inflation.