Le penchant des jeunes de la génération Z pour l’apprentissage sur place offrirait des perspectives positives pour certaines catégories d’emplois
Un article de MH&L commente le penchant des jeunes de la génération Z pour la formation en face à face et leur disposition pour le travail collaboratif, un modèle qu’ils semblent apprécier particulièrement. C’est ce qu’a découvert Roberta Katz, chercheuse principale au Centre d’études avancées sur les sciences du comportement de l’Université Stanford, qui indique que, parmi toutes les formes de communication qui leur sont proposées, ses jeunes répondants préfèrent invariablement la communication en personne.
Même son de cloche du côté d’une étude de la société de recrutement de talents Bridgeworks, qui a révélé que 40 % des membres de la génération Z voulaient avoir des interactions quotidiennes avec leur patron. En fait, l’absence de ce type d’interactions pourrait être vue par ces jeunes comme le signe qu’ils ont fait quelque chose de mal. Selon Roberta Katz, ce trait comportemental pourrait comporter un avantage pour certaines catégories d’emplois, notamment les professionnels de la sécurité.
En effet, un travail plus collaboratif pourrait être valorisé par les responsables de la sécurité, qui ont tendance à être plus âgés que leurs employés et sont plus à l’aise avec les interactions en personne. En fait, Katz estime qu’il pourrait se développer un cercle vertueux d’interactions où le collègue le plus âgé pourrait apprendre de nouvelles façons de faire un travail, tandis que le collègue plus jeune pourrait arriver à comprendre les avantages d’appliquer une méthode qui a fait ses preuves dans le temps.
D’ailleurs, la portée de ces interactions bidirectionnelles serait particulièrement appréciée à un moment où les responsables de la sécurité utilisent la vidéo et la réalité augmentée, pour améliorer l’efficacité des formations et assurer un transfert intergénérationnel des compétences efficace. En effet, la génération Z affectionnerait davantage l’apprentissage basé sur l’expérience que les cours magistraux. Il est à noter que selon une étude menée par le Barnes and Noble College, 51 % des répondants de la génération Z ont déclaré qu’ils apprenaient mieux en travaillant sur des exemples.
Il n’est donc pas surprenant d’apprendre que ces jeunes favorisent également l’apprentissage qui est obtenu directement sur place. Une étude réalisée par le groupe ECMC auprès de 5 000 élèves du secondaire entre février 2020 et janvier 2022 a révélé que le parcours traditionnel – travailler après avoir obtenu un diplôme universitaire – n’était pas très attirant pour eux. Au lieu de cela, ils préféraient souvent suivre une formation moins exigeante en temps ou une formation en cours d’emploi. Fait intéressant, la plupart de ces adolescents comprennent l’importance d’acquérir des compétences monnayables et d’apprendre tout au long de leur vie.
Un article de MH&L commente le penchant des jeunes de la génération Z pour la formation en face à face et leur disposition pour le travail collaboratif, un modèle qu’ils semblent apprécier particulièrement. C’est ce qu’a découvert Roberta Katz, chercheuse principale au Centre d’études avancées sur les sciences du comportement de l’Université Stanford, qui indique que, parmi toutes les formes de communication qui leur sont proposées, ses jeunes répondants préfèrent invariablement la communication en personne.
Même son de cloche du côté d’une étude de la société de recrutement de talents Bridgeworks, qui a révélé que 40 % des membres de la génération Z voulaient avoir des interactions quotidiennes avec leur patron. En fait, l’absence de ce type d’interactions pourrait être vue par ces jeunes comme le signe qu’ils ont fait quelque chose de mal. Selon Roberta Katz, ce trait comportemental pourrait comporter un avantage pour certaines catégories d’emplois, notamment les professionnels de la sécurité.
En effet, un travail plus collaboratif pourrait être valorisé par les responsables de la sécurité, qui ont tendance à être plus âgés que leurs employés et sont plus à l’aise avec les interactions en personne. En fait, Katz estime qu’il pourrait se développer un cercle vertueux d’interactions où le collègue le plus âgé pourrait apprendre de nouvelles façons de faire un travail, tandis que le collègue plus jeune pourrait arriver à comprendre les avantages d’appliquer une méthode qui a fait ses preuves dans le temps.
D’ailleurs, la portée de ces interactions bidirectionnelles serait particulièrement appréciée à un moment où les responsables de la sécurité utilisent la vidéo et la réalité augmentée, pour améliorer l’efficacité des formations et assurer un transfert intergénérationnel des compétences efficace. En effet, la génération Z affectionnerait davantage l’apprentissage basé sur l’expérience que les cours magistraux. Il est à noter que selon une étude menée par le Barnes and Noble College, 51 % des répondants de la génération Z ont déclaré qu’ils apprenaient mieux en travaillant sur des exemples.
Il n’est donc pas surprenant d’apprendre que ces jeunes favorisent également l’apprentissage qui est obtenu directement sur place. Une étude réalisée par le groupe ECMC auprès de 5 000 élèves du secondaire entre février 2020 et janvier 2022 a révélé que le parcours traditionnel – travailler après avoir obtenu un diplôme universitaire – n’était pas très attirant pour eux. Au lieu de cela, ils préféraient souvent suivre une formation moins exigeante en temps ou une formation en cours d’emploi. Fait intéressant, la plupart de ces adolescents comprennent l’importance d’acquérir des compétences monnayables et d’apprendre tout au long de leur vie.