Le modèle des paiements sans contact est de plus en plus populaire, surtout auprès des marchands américains
Selon TechTarget, le paiement sans contact comprend un ensemble de technologies et de processus censés rendre les transactions d’achat plus rapides, simples et conviviales pour les consommateurs. On prévoit que les magasins de détail, physiques et en ligne, devraient augmenter leurs transactions grâce à la mise en place d’un système de paiement sans contact, qui peut supprimer un bon nombre d’irritants pour les clients.
D’ailleurs, il s’agit d’un modèle qui semble s’imposer. PaymentDive signale que la pandémie de COVID-19 a déclenché un engouement sans précédent pour de nouveaux systèmes de paiement plus sécuritaires. On prévoit qu’en 2022, la demande de paiements sans contact, déjà très forte, ne fera qu’augmenter.
Les marchands américains semblent bien avoir saisi les implications financières, très alléchantes, de la révolution des systèmes de paiement. Faisant référence au Global Digital Shopping Playbook (2022) — basé sur une enquête auprès de 3 100 entreprises et de 13 114 consommateurs dans 6 pays — PYMNTS signale que la performance des Américains dans l’adoption de ce système de paiement est supérieure à la moyenne de leurs concurrents de six autres pays.
Enfin, Microsoft Industry Blogs apporte des précisions pertinentes pour les marchands qui veulent faire vivre des expériences d’achat sans contact aux consommateurs :
- Les magasins sans contact doivent faire partie d’une stratégie d’affaires plus vaste dans laquelle on doit approcher la technologie comme un moyen d’obtenir un avantage concurrentiel et non comme une fin en soi.
- La stratégie d’affaire relative à l’implantation d’un magasin sans contact doit considérer chaque étape de l’expérience d’achat comme un point générateur de données susceptibles d’être monétisées. Ces informations peuvent être utilisées pour créer des modèles prédictifs afin de prévoir la demande, de tirer le meilleur parti de la main-d’œuvre et d’optimiser l’énergie pour améliorer l’aménagement des magasins, etc.
- La création d’expériences d’achat plus fluides pour les consommateurs au magasin doit être équivalente à la fluidité des processus d’affaires d’arrière-guichet des employés. En effet, la valeur d’affaires des nouvelles expériences d’achat semblerait conditionnelle à la connectivité des processus d’affaires, à l’activation des flux de données et à l’intégration continuelle de nouvelles informations dans les flux de travail (la gestion des stocks, des retours, des médias de vente au détail, du marketing, de la planification et de l’agencement des magasins, etc.).
- Les modèles d’implantation des expériences sans contact sont multiples, et leur adoption variera selon plusieurs facteurs, par exemple le format du magasin, l’emplacement physique ou la zone géographique qu’il dessert.
- Le rendement dépendra de la capacité des entreprises à intégrer les nouvelles solutions — qui proposent des expériences unifiées, omnicanaux et omniprésentes — dans le reste de l’écosystème d’affaires. Vraisemblablement, le magasin « sans contact » de l’avenir ne reposera assurément pas sur des solutions ponctuelles.
Selon TechTarget, le paiement sans contact comprend un ensemble de technologies et de processus censés rendre les transactions d’achat plus rapides, simples et conviviales pour les consommateurs. On prévoit que les magasins de détail, physiques et en ligne, devraient augmenter leurs transactions grâce à la mise en place d’un système de paiement sans contact, qui peut supprimer un bon nombre d’irritants pour les clients.
D’ailleurs, il s’agit d’un modèle qui semble s’imposer. PaymentDive signale que la pandémie de COVID-19 a déclenché un engouement sans précédent pour de nouveaux systèmes de paiement plus sécuritaires. On prévoit qu’en 2022, la demande de paiements sans contact, déjà très forte, ne fera qu’augmenter.
Les marchands américains semblent bien avoir saisi les implications financières, très alléchantes, de la révolution des systèmes de paiement. Faisant référence au Global Digital Shopping Playbook (2022) — basé sur une enquête auprès de 3 100 entreprises et de 13 114 consommateurs dans 6 pays — PYMNTS signale que la performance des Américains dans l’adoption de ce système de paiement est supérieure à la moyenne de leurs concurrents de six autres pays.
Enfin, Microsoft Industry Blogs apporte des précisions pertinentes pour les marchands qui veulent faire vivre des expériences d’achat sans contact aux consommateurs :
- Les magasins sans contact doivent faire partie d’une stratégie d’affaires plus vaste dans laquelle on doit approcher la technologie comme un moyen d’obtenir un avantage concurrentiel et non comme une fin en soi.
- La stratégie d’affaire relative à l’implantation d’un magasin sans contact doit considérer chaque étape de l’expérience d’achat comme un point générateur de données susceptibles d’être monétisées. Ces informations peuvent être utilisées pour créer des modèles prédictifs afin de prévoir la demande, de tirer le meilleur parti de la main-d’œuvre et d’optimiser l’énergie pour améliorer l’aménagement des magasins, etc.
- La création d’expériences d’achat plus fluides pour les consommateurs au magasin doit être équivalente à la fluidité des processus d’affaires d’arrière-guichet des employés. En effet, la valeur d’affaires des nouvelles expériences d’achat semblerait conditionnelle à la connectivité des processus d’affaires, à l’activation des flux de données et à l’intégration continuelle de nouvelles informations dans les flux de travail (la gestion des stocks, des retours, des médias de vente au détail, du marketing, de la planification et de l’agencement des magasins, etc.).
- Les modèles d’implantation des expériences sans contact sont multiples, et leur adoption variera selon plusieurs facteurs, par exemple le format du magasin, l’emplacement physique ou la zone géographique qu’il dessert.
- Le rendement dépendra de la capacité des entreprises à intégrer les nouvelles solutions — qui proposent des expériences unifiées, omnicanaux et omniprésentes — dans le reste de l’écosystème d’affaires. Vraisemblablement, le magasin « sans contact » de l’avenir ne reposera assurément pas sur des solutions ponctuelles.