L’automatisation souligne le besoin urgent d’une main-d’œuvre très compétente
Selon Skill Work Forum, une des tendances ayant le plus grand effet potentiel sur la main-d’œuvre est la quatrième révolution industrielle. En effet, on prévoit que l’automatisation, l’intelligence artificielle (IA), les systèmes interconnectés et l’infonuagique auront des répercussions majeures sur l’évolution des métiers.
Cette nouvelle révolution industrielle s’explique en bonne partie par la pénurie sévère de main-d’œuvre. En effet, face à l’impossibilité d’embaucher assez de travailleurs de première ligne, l’automatisation permet aux entreprises de rester compétitives. En revanche, l’introduction de nouvelles technologies sophistiquées exige que les travailleurs maîtrisent de nouvelles compétences pour les faire fonctionner et les entretenir.
Même son de cloche du côté de Manufacturing America, qui considère la maîtrise de nouvelles compétences comme une condition incontournable pour tirer profit des technologies d’automatisation et augmenter la productivité du secteur manufacturier américain, qui semble reprendre ses forces. Bref, ces compétences permettront la survie d’entreprises manufacturières, en particulier les PME. Il n’est pas surprenant que les candidats possédant ces aptitudes soient très convoités. Le problème est que la recherche de ces nouveaux talents s’avère de plus en plus pénible.
Bloomberg signale que le modèle de gestion des talents américain – c’est-à-dire les institutions, les pratiques et l’état d’esprit qui ont créé une main-d’œuvre capable de bâtir l’économie la plus grande et la plus dynamique du monde – s’effondre. Les talents exceptionnels que l’on croyait disponibles en abondance, au pays ou à l’étranger, se font de plus en plus rares en raison d’un système éducatif qui n’en produit pas assez et des efforts accrus d’autres pays pour retenir leurs meilleurs professionnels. Dans ce contexte, Bloomberg souligne l’urgence de réformer le système, non seulement pour améliorer la performance des élèves qui présentent des lacunes, mais aussi pour trouver et apprivoiser les talents exceptionnels qui aideront les États-Unis à repousser le défi de la Chine.
Dans le cas des travailleurs de première ligne, la pénurie se complexifie davantage, selon Skill Work Forum, en raison du départ des baby-boomers. À vrai dire, ils quittent leur travail depuis un temps déjà, mais la COVID-19 semble avoir accéléré cette tendance. Apparemment, en ce moment, un tiers des travailleurs (trade workers) ont plus de 50 ans, et lorsqu’ils partiront à la retraite, il n’y aura pas assez de jeunes prêts à prendre leur place.
Dans cet esprit, il faut donc noter le modèle de formation proposé par les instituts de Manufacturing USA et leurs partenaires. Ce modèle repose sur la création de liens entre l’industrie et les systèmes d’éducation et de formation de la main-d’œuvre manufacturière, y compris ceux situés dans des communautés défavorisées. On prévoit que ces efforts renforceront les compétences dans la fabrication de pointe en plus d’offrir aux travailleurs des emplois épanouissants et bien payés.
Selon Skill Work Forum, une des tendances ayant le plus grand effet potentiel sur la main-d’œuvre est la quatrième révolution industrielle. En effet, on prévoit que l’automatisation, l’intelligence artificielle (IA), les systèmes interconnectés et l’infonuagique auront des répercussions majeures sur l’évolution des métiers.
Cette nouvelle révolution industrielle s’explique en bonne partie par la pénurie sévère de main-d’œuvre. En effet, face à l’impossibilité d’embaucher assez de travailleurs de première ligne, l’automatisation permet aux entreprises de rester compétitives. En revanche, l’introduction de nouvelles technologies sophistiquées exige que les travailleurs maîtrisent de nouvelles compétences pour les faire fonctionner et les entretenir.
Même son de cloche du côté de Manufacturing America, qui considère la maîtrise de nouvelles compétences comme une condition incontournable pour tirer profit des technologies d’automatisation et augmenter la productivité du secteur manufacturier américain, qui semble reprendre ses forces. Bref, ces compétences permettront la survie d’entreprises manufacturières, en particulier les PME. Il n’est pas surprenant que les candidats possédant ces aptitudes soient très convoités. Le problème est que la recherche de ces nouveaux talents s’avère de plus en plus pénible.
Bloomberg signale que le modèle de gestion des talents américain – c’est-à-dire les institutions, les pratiques et l’état d’esprit qui ont créé une main-d’œuvre capable de bâtir l’économie la plus grande et la plus dynamique du monde – s’effondre. Les talents exceptionnels que l’on croyait disponibles en abondance, au pays ou à l’étranger, se font de plus en plus rares en raison d’un système éducatif qui n’en produit pas assez et des efforts accrus d’autres pays pour retenir leurs meilleurs professionnels. Dans ce contexte, Bloomberg souligne l’urgence de réformer le système, non seulement pour améliorer la performance des élèves qui présentent des lacunes, mais aussi pour trouver et apprivoiser les talents exceptionnels qui aideront les États-Unis à repousser le défi de la Chine.
Dans le cas des travailleurs de première ligne, la pénurie se complexifie davantage, selon Skill Work Forum, en raison du départ des baby-boomers. À vrai dire, ils quittent leur travail depuis un temps déjà, mais la COVID-19 semble avoir accéléré cette tendance. Apparemment, en ce moment, un tiers des travailleurs (trade workers) ont plus de 50 ans, et lorsqu’ils partiront à la retraite, il n’y aura pas assez de jeunes prêts à prendre leur place.
Dans cet esprit, il faut donc noter le modèle de formation proposé par les instituts de Manufacturing USA et leurs partenaires. Ce modèle repose sur la création de liens entre l’industrie et les systèmes d’éducation et de formation de la main-d’œuvre manufacturière, y compris ceux situés dans des communautés défavorisées. On prévoit que ces efforts renforceront les compétences dans la fabrication de pointe en plus d’offrir aux travailleurs des emplois épanouissants et bien payés.