La semaine de travail de quatre jours gagne en légitimité auprès des employeurs
Selon un article de MITSloan, les avantages associés à une semaine de travail de quatre jours méritent d’être analysés de près. Faisant référence à une étude de la Henley Business School, MITSloan mentionne que plus des deux tiers des entreprises pensent qu’il sera essentiel de proposer une semaine de quatre jours pour leur succès futur. D’ailleurs, les effets sur les employés semblent positifs. Dans une recherche effectuée par un groupe d’experts auprès de plus de 2 000 employés et de 500 dirigeants au Royaume-Uni (2021), 78 % des employeurs ont déclaré que leurs employés se sentaient moins stressés au travail. Il s’agit d’une augmentation de 5 % par rapport à l’étude précédente de l’année 2019.
MITSloan note que les avantages d’une semaine de travail abrégée sont devenus plus apparents durant la crise sanitaire. Apparemment, 70 % des travailleurs ont convenu qu’une semaine de travail plus courte avait un effet positif sur leur qualité de vie globale tandis qu’un pourcentage semblable était d’avis que leur santé mentale s’améliorerait grâce à un travail plus flexible. Enfin, 69 % des employés soulignaient la possibilité d’avoir une vie familiale plus riche avec moins de journées de travail.
D’ailleurs, les semaines de travail plus courtes pourraient être avantageuses pour le commerce de détail, car 54 % des personnes ont déclaré qu’elles utiliseraient la journée de congé supplémentaire pour faire des courses. Fait intéressant, puisqu’un quart des répondants ont exprimé leur intention de faire du bénévolat, les organismes de bienfaisance pourraient également profiter d’une plus grande flexibilité du travail.
En outre, il paraît que les entreprises analysent de près les études qui semblent prouver les effets positifs d’une semaine abrégée sur la productivité. Un exemple phare à ce sujet est l’initiative pionnière de Microsoft qu’en 2019 a implanté la semaine de travail de quatre jours dans ses bureaux au Japon. Ceci a entraîné une augmentation de 40 % de la productivité. Des résultats semblables ont été obtenus en Islande, où des chercheurs ont découvert qu’une semaine de travail de quatre jours sans pénalité sur le salaire améliorait le bien-être et la productivité des travailleurs.
Enfin, d’après MITSloan, une semaine écourtée pourrait améliorer l’embauche de nouveaux talents. C’est le cas de la banque britannique Atom Bank, qui fonctionne exclusivement en ligne, sans succursales. Après avoir annoncé une semaine de quatre jours pour les 430 employés, on a presque immédiatement constaté une augmentation de 500 % des demandes d’emploi. Les employés de la banque travailleront désormais 34 heures sur quatre jours (contre 37,5 heures auparavant), en prenant soit le lundi, soit le vendredi de congé.
Selon un article de MITSloan, les avantages associés à une semaine de travail de quatre jours méritent d’être analysés de près. Faisant référence à une étude de la Henley Business School, MITSloan mentionne que plus des deux tiers des entreprises pensent qu’il sera essentiel de proposer une semaine de quatre jours pour leur succès futur. D’ailleurs, les effets sur les employés semblent positifs. Dans une recherche effectuée par un groupe d’experts auprès de plus de 2 000 employés et de 500 dirigeants au Royaume-Uni (2021), 78 % des employeurs ont déclaré que leurs employés se sentaient moins stressés au travail. Il s’agit d’une augmentation de 5 % par rapport à l’étude précédente de l’année 2019.
MITSloan note que les avantages d’une semaine de travail abrégée sont devenus plus apparents durant la crise sanitaire. Apparemment, 70 % des travailleurs ont convenu qu’une semaine de travail plus courte avait un effet positif sur leur qualité de vie globale tandis qu’un pourcentage semblable était d’avis que leur santé mentale s’améliorerait grâce à un travail plus flexible. Enfin, 69 % des employés soulignaient la possibilité d’avoir une vie familiale plus riche avec moins de journées de travail.
D’ailleurs, les semaines de travail plus courtes pourraient être avantageuses pour le commerce de détail, car 54 % des personnes ont déclaré qu’elles utiliseraient la journée de congé supplémentaire pour faire des courses. Fait intéressant, puisqu’un quart des répondants ont exprimé leur intention de faire du bénévolat, les organismes de bienfaisance pourraient également profiter d’une plus grande flexibilité du travail.
En outre, il paraît que les entreprises analysent de près les études qui semblent prouver les effets positifs d’une semaine abrégée sur la productivité. Un exemple phare à ce sujet est l’initiative pionnière de Microsoft qu’en 2019 a implanté la semaine de travail de quatre jours dans ses bureaux au Japon. Ceci a entraîné une augmentation de 40 % de la productivité. Des résultats semblables ont été obtenus en Islande, où des chercheurs ont découvert qu’une semaine de travail de quatre jours sans pénalité sur le salaire améliorait le bien-être et la productivité des travailleurs.
Enfin, d’après MITSloan, une semaine écourtée pourrait améliorer l’embauche de nouveaux talents. C’est le cas de la banque britannique Atom Bank, qui fonctionne exclusivement en ligne, sans succursales. Après avoir annoncé une semaine de quatre jours pour les 430 employés, on a presque immédiatement constaté une augmentation de 500 % des demandes d’emploi. Les employés de la banque travailleront désormais 34 heures sur quatre jours (contre 37,5 heures auparavant), en prenant soit le lundi, soit le vendredi de congé.