La semaine de travail allégée gagne en popularité, et il y a des expériences en cours pour vérifier sa faisabilité
Selon ZDNET, les entreprises sont de plus en plus enthousiastes quant à l’adoption de la semaine de quatre jours en raison, notamment, de l’accroissement important de la productivité que l’on pourrait réussir avec ce modèle de travail. On estime que la productivité accrue d’une semaine de travail allégée pourrait offrir des pistes pour résoudre deux défis qui hantent les entreprises depuis des années : une meilleure conciliation entre le travail et la vie personnelle, en plus de la résolution de l’énigme de la productivité.
En effet, la recherche universitaire note que des entreprises un peu partout dans le monde abandonnent le modèle traditionnel du lundi au vendredi et que, semble-t-il, il y aurait des réussites en Islande, au Japon et en Nouvelle-Zélande, entre autres. Par exemple, en novembre 2021, l’Atom Bank, au Royaume-Uni, a introduit une semaine de travail de quatre jours, soit 32 heures sans réduction de salaire pour le personnel. Apparemment, presque immédiatement, on a enregistré une augmentation de 500 % des candidatures aux postes vacants. De plus, un an plus tard, cette banque signalait une augmentation de 92 % de sa productivité.
Il est à noter que 70 entreprises au Royaume-Uni, comprenant 3 300 employeurs, se sont lancées en juin 2022 dans une expérience pilote à grande échelle visant à vérifier les effets positifs potentiels d’une semaine de travail allégée. Les essais pilotes de six mois, dirigés par 4 Day Week Global, sont basés sur le principe 100/80/100 : les employés reçoivent 100 % de leur salaire pour 80 % de leurs heures habituelles, en échange d’un engagement à maintenir 100 % de productivité. ZDNET signale que des projets pilotes similaires sont menés conjointement aux États-Unis et ailleurs.
Selon les analystes, ces expériences devraient apporter des résultats précis quant aux effets de la semaine allégée sur des aspects multiples – la productivité, le bien-être, l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée –, tout en s’attaquant à des défis socio-économiques plus larges tels que l’équité en matière d’emploi et les émissions de carbone. ZDNET est d’avis qu’en cas de succès, ces expériences pourraient propulser les réformes les plus importantes par rapport aux modèles de travail traditionnels depuis près de 100 ans.
Les analystes mentionnent les cas du Danemark, de l’Allemagne et de la Norvège pour établir un lien entre la productivité et les heures travaillées. À ce qu’il paraît, ces pays, qui ont la charge horaire annuelle la plus basse de l’Union européenne (UE), figurent parmi les pays les plus productifs de l’UE. Par contre, la Grèce, l’Espagne et le Royaume-Uni travaillent en moyenne plus d’heures et sont pourtant à la traîne en matière de productivité.
Selon ZDNET, les entreprises sont de plus en plus enthousiastes quant à l’adoption de la semaine de quatre jours en raison, notamment, de l’accroissement important de la productivité que l’on pourrait réussir avec ce modèle de travail. On estime que la productivité accrue d’une semaine de travail allégée pourrait offrir des pistes pour résoudre deux défis qui hantent les entreprises depuis des années : une meilleure conciliation entre le travail et la vie personnelle, en plus de la résolution de l’énigme de la productivité.
En effet, la recherche universitaire note que des entreprises un peu partout dans le monde abandonnent le modèle traditionnel du lundi au vendredi et que, semble-t-il, il y aurait des réussites en Islande, au Japon et en Nouvelle-Zélande, entre autres. Par exemple, en novembre 2021, l’Atom Bank, au Royaume-Uni, a introduit une semaine de travail de quatre jours, soit 32 heures sans réduction de salaire pour le personnel. Apparemment, presque immédiatement, on a enregistré une augmentation de 500 % des candidatures aux postes vacants. De plus, un an plus tard, cette banque signalait une augmentation de 92 % de sa productivité.
Il est à noter que 70 entreprises au Royaume-Uni, comprenant 3 300 employeurs, se sont lancées en juin 2022 dans une expérience pilote à grande échelle visant à vérifier les effets positifs potentiels d’une semaine de travail allégée. Les essais pilotes de six mois, dirigés par 4 Day Week Global, sont basés sur le principe 100/80/100 : les employés reçoivent 100 % de leur salaire pour 80 % de leurs heures habituelles, en échange d’un engagement à maintenir 100 % de productivité. ZDNET signale que des projets pilotes similaires sont menés conjointement aux États-Unis et ailleurs.
Selon les analystes, ces expériences devraient apporter des résultats précis quant aux effets de la semaine allégée sur des aspects multiples – la productivité, le bien-être, l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée –, tout en s’attaquant à des défis socio-économiques plus larges tels que l’équité en matière d’emploi et les émissions de carbone. ZDNET est d’avis qu’en cas de succès, ces expériences pourraient propulser les réformes les plus importantes par rapport aux modèles de travail traditionnels depuis près de 100 ans.
Les analystes mentionnent les cas du Danemark, de l’Allemagne et de la Norvège pour établir un lien entre la productivité et les heures travaillées. À ce qu’il paraît, ces pays, qui ont la charge horaire annuelle la plus basse de l’Union européenne (UE), figurent parmi les pays les plus productifs de l’UE. Par contre, la Grèce, l’Espagne et le Royaume-Uni travaillent en moyenne plus d’heures et sont pourtant à la traîne en matière de productivité.