La réussite de la transformation numérique exige de s’attarder à trois axes stratégiques
Selon le Journal du Net (JDN), il y aurait trois axes majeurs à prioriser dans les initiatives de transformation numérique afin d’assurer la bonne continuité des projets en 2023. L’hypothèse de base est qu’il ne suffit pas d’identifier la numérisation comme un objectif d’affaires stratégique à atteindre. Il faut aussi prendre des mesures pour y parvenir.
Conséquemment, il faut tout d’abord développer des stratégies de continuité pour mieux gérer un contexte instable où les crises sont devenues plus fréquentes et imprévisibles. Par exemple, JDN signale que les entreprises qui ont été prévoyantes et qui ont accéléré le passage des solutions de gestion de contenu d’entreprise – fondées dans un référentiel centralisé – vers les services de contenu – plus flexibles et agiles – ont réussi à mieux contourner les contraintes de la pandémie et à rebondir par la suite. C’est d’ailleurs l’avis de 89 % de répondants consultés dans une étude de Forrester. En revanche, seulement 57 % de ceux qui avaient des services de contenu vieillissants ont affirmé la même chose.
Le deuxième axe est le renforcement de l’expérience client, qui concerne autant les simples échanges informels que les stratégies globales d’interaction des entreprises avec leurs clients. Un élément clé est la proposition d’interfaces numériques intuitives et transparentes qui facilitent l’adoption de solutions en libre-service permettant aux clients de résoudre un large éventail de problèmes par eux-mêmes. L’expérience client s’étend également aux clients à l’interne, et elle est conditionnelle à l’offre d’un milieu de travail stimulant et collaboratif. Au vu de la pénurie de main-d’œuvre, de la guerre pour les talents et du phénomène de « désengagement discret », les entreprises toxiques verront la perte de leurs meilleurs talents et une érosion massive de l’expérience offerte à leurs clients.
Enfin, le troisième axe est l’innovation continue. Pour éviter le piège de l’uniformisation et la perte d’identité compétitive, il faut réfléchir aux manières de faire les choses autrement afin de maximiser l’impact de l’entreprise. L’innovation est un concept compliqué, car il n’est pas toujours évident de mesurer son importance en ce qui concerne le rendement du capital investi. En fait, le souci de l’innovation est rapidement mis à l’écart en temps de crise. Il semblerait toutefois que cela ne soit plus une option dans le contexte de la transformation numérique. Il faudrait donc que les entreprises réfléchissent à la meilleure stratégie d’évolution à suivre. Une piste est de faire le bilan des forces et faiblesses des processus et des outils pour les intégrer dans une dynamique créatrice qui doit améliorer les activités de l’entreprise.
Selon le Journal du Net (JDN), il y aurait trois axes majeurs à prioriser dans les initiatives de transformation numérique afin d’assurer la bonne continuité des projets en 2023. L’hypothèse de base est qu’il ne suffit pas d’identifier la numérisation comme un objectif d’affaires stratégique à atteindre. Il faut aussi prendre des mesures pour y parvenir.
Conséquemment, il faut tout d’abord développer des stratégies de continuité pour mieux gérer un contexte instable où les crises sont devenues plus fréquentes et imprévisibles. Par exemple, JDN signale que les entreprises qui ont été prévoyantes et qui ont accéléré le passage des solutions de gestion de contenu d’entreprise – fondées dans un référentiel centralisé – vers les services de contenu – plus flexibles et agiles – ont réussi à mieux contourner les contraintes de la pandémie et à rebondir par la suite. C’est d’ailleurs l’avis de 89 % de répondants consultés dans une étude de Forrester. En revanche, seulement 57 % de ceux qui avaient des services de contenu vieillissants ont affirmé la même chose.
Le deuxième axe est le renforcement de l’expérience client, qui concerne autant les simples échanges informels que les stratégies globales d’interaction des entreprises avec leurs clients. Un élément clé est la proposition d’interfaces numériques intuitives et transparentes qui facilitent l’adoption de solutions en libre-service permettant aux clients de résoudre un large éventail de problèmes par eux-mêmes. L’expérience client s’étend également aux clients à l’interne, et elle est conditionnelle à l’offre d’un milieu de travail stimulant et collaboratif. Au vu de la pénurie de main-d’œuvre, de la guerre pour les talents et du phénomène de « désengagement discret », les entreprises toxiques verront la perte de leurs meilleurs talents et une érosion massive de l’expérience offerte à leurs clients.
Enfin, le troisième axe est l’innovation continue. Pour éviter le piège de l’uniformisation et la perte d’identité compétitive, il faut réfléchir aux manières de faire les choses autrement afin de maximiser l’impact de l’entreprise. L’innovation est un concept compliqué, car il n’est pas toujours évident de mesurer son importance en ce qui concerne le rendement du capital investi. En fait, le souci de l’innovation est rapidement mis à l’écart en temps de crise. Il semblerait toutefois que cela ne soit plus une option dans le contexte de la transformation numérique. Il faudrait donc que les entreprises réfléchissent à la meilleure stratégie d’évolution à suivre. Une piste est de faire le bilan des forces et faiblesses des processus et des outils pour les intégrer dans une dynamique créatrice qui doit améliorer les activités de l’entreprise.