La réduflation et le suremballage
Selon un article publié sur Radio-Canada, la réduflation a un effet environnemental négatif. En effet, les entreprises qui ont recours à cette pratique choisissent soit de garder le même emballage, mais de réduire le contenu, soit d’ajuster légèrement l’emballage, comme en ajoutant un renflement au bas du contenant, soit de changer complètement l’emballage pour faire croire qu’il contient un nouveau produit. Chaque stratégie a un impact environnemental différent. Lorsqu’on garde l’emballage tel quel et qu’on change uniquement l’information sur la quantité, le contenant devient trop gros pour le contenu. On dit dans ce cas que l’emballage est surdimensionné. C’est généralement l’option la plus économique pour l’entreprise, mais à long terme, elle pourrait créer un problème écologique.
Le changement d’emballage entraîne des coûts, notamment pour la forme et les moules. De ce fait, les entreprises préfèrent se lancer dans un jeu d’illusion en modifiant légèrement l’emballage et son design. Au Canada, il est interdit de vendre des produits emballés de façon fausse ou trompeuse susceptible de créer une impression erronée sur la quantité. Toutefois, l’emballage de certains produits selon une méthode de production reconnue, comme les sacs de croustilles remplis d’air, est accepté. Cependant, le fait de mettre un contenu de 200 ml dans un contenant de 250 ml est perçu comme trompeur. Si le produit nécessite de l’espace supplémentaire dans le contenant, cela peut être accepté. En revanche, il faudrait ajouter un énoncé sur l’étiquette expliquant à quoi sert l’espace vide. En somme, la loi canadienne ne dispose pas d’un règlement clair interdisant la réduflation. Même chose pour la loi sur les produits alimentaires au Québec, où « aucune disposition spécifique n’encadre le remplissage d’air ou les contenants trompeurs, au-delà de la concordance requise entre le poids d’un produit et le chiffre inscrit sur son emballage ». En outre, aucune disposition de la loi n’encadre la taille des emballages par rapport à leur contenu.
Selon un article publié sur Radio-Canada, la réduflation a un effet environnemental négatif. En effet, les entreprises qui ont recours à cette pratique choisissent soit de garder le même emballage, mais de réduire le contenu, soit d’ajuster légèrement l’emballage, comme en ajoutant un renflement au bas du contenant, soit de changer complètement l’emballage pour faire croire qu’il contient un nouveau produit. Chaque stratégie a un impact environnemental différent. Lorsqu’on garde l’emballage tel quel et qu’on change uniquement l’information sur la quantité, le contenant devient trop gros pour le contenu. On dit dans ce cas que l’emballage est surdimensionné. C’est généralement l’option la plus économique pour l’entreprise, mais à long terme, elle pourrait créer un problème écologique.
Le changement d’emballage entraîne des coûts, notamment pour la forme et les moules. De ce fait, les entreprises préfèrent se lancer dans un jeu d’illusion en modifiant légèrement l’emballage et son design. Au Canada, il est interdit de vendre des produits emballés de façon fausse ou trompeuse susceptible de créer une impression erronée sur la quantité. Toutefois, l’emballage de certains produits selon une méthode de production reconnue, comme les sacs de croustilles remplis d’air, est accepté. Cependant, le fait de mettre un contenu de 200 ml dans un contenant de 250 ml est perçu comme trompeur. Si le produit nécessite de l’espace supplémentaire dans le contenant, cela peut être accepté. En revanche, il faudrait ajouter un énoncé sur l’étiquette expliquant à quoi sert l’espace vide. En somme, la loi canadienne ne dispose pas d’un règlement clair interdisant la réduflation. Même chose pour la loi sur les produits alimentaires au Québec, où « aucune disposition spécifique n’encadre le remplissage d’air ou les contenants trompeurs, au-delà de la concordance requise entre le poids d’un produit et le chiffre inscrit sur son emballage ». En outre, aucune disposition de la loi n’encadre la taille des emballages par rapport à leur contenu.