La recrudescence de l’inflation aux États-Unis encourage la croissance des entreprises de commerce électronique du secteur de l’épicerie
Selon ZDNet, la recrudescence de l’inflation aux États-Unis encourage la transformation numérique des entreprises du secteur de l’épicerie. Apparemment, le commerce électronique permettrait à ces entreprises de proposer à leurs clients non seulement une rapidité et une efficacité accrues, mais aussi des prix bien plus convenables, comparativement aux magasins traditionnels.
D’après les spécialistes, nous serions témoins d’un changement de paradigme s’étant amorcé avec la crise de la COVID-19, lorsqu’un nombre massif d’acheteurs se sont laissé séduire par la convivialité et la sécurité des achats en ligne. En ce moment, c’est la sensibilité aux prix qui est en train de modifier profondément les comportements d’achat. En effet, les tendances inflationnistes et la recherche de meilleurs prix par les consommateurs font ressortir encore une fois le potentiel du commerce électronique.
NoahDigital précise qu’au plus fort de la pandémie, de 20 à 30 % des épiceries aux États-Unis ont pris le virage numérique, et la préférence pour les achats en ligne est restée forte malgré la reprise des activités de nombreux magasins physiques. En effet, aux États-Unis, 46,9 % des personnes interrogées ont déclaré qu’elles prévoyaient d’acheter des produits alimentaires en ligne au cours des 12 prochains mois, contre seulement 25,8 % en 2018. De plus, il est à noter que selon Graphical Research, l’intelligence artificielle (IA) – qui est une tendance clé du marketing numérique – devrait augmenter sa valeur sur le marché de détail pour atteindre plus de 10 milliards de dollars d’ici 2027. Les activités de livraison de l’épicerie représenteraient une partie substantielle de ce chiffre.
Au Canada, Loblaw Companies Ltd. représente, selon NoahDigital, un pionnier dans l’adoption de l’épicerie en ligne. Depuis 2019, l’entreprise offre par voie numérique des produits qui ne sont plus offerts sur les rayons physiques. Apparemment, les clients bénéficieraient ainsi d’un meilleur accès aux produits qu’ils cherchent, tout en ayant la chance de faire de nouveaux achats. D’autres joueurs du marché de l’épicerie au Canada (Sobeys, Metro et Costco Canada) seraient sur la même longueur d’onde. Dans l’ensemble, les ventes d’épicerie numériques auraient atteint 99,64 milliards de dollars au Canada en 2021.
Toutefois, il ne faut pas miser sur la disparition imminente des magasins physiques. À ce qu’il paraît, ils ne sont pas en reste et adoptent activement l’IA et l’apprentissage automatique. L’objectif est d’offrir une expérience d’achat exceptionnelle, notamment en ce qui concerne deux dimensions clés : la personnalisation et l’interactivité. En effet, ThinkML signale que, selon les projections d’IBM, l’introduction de l’IA dans le commerce de détail grimpera d’un pourcentage actuel de 40 % à plus de 80 % au cours des trois prochaines années. En outre, Juniper indiquait que l’investissement dans l’IA par les détaillants mondiaux devait approcher les 7,3 milliards de dollars par an en 2022 (2 milliards de dollars étaient attendus en 2018).
Selon ZDNet, la recrudescence de l’inflation aux États-Unis encourage la transformation numérique des entreprises du secteur de l’épicerie. Apparemment, le commerce électronique permettrait à ces entreprises de proposer à leurs clients non seulement une rapidité et une efficacité accrues, mais aussi des prix bien plus convenables, comparativement aux magasins traditionnels.
D’après les spécialistes, nous serions témoins d’un changement de paradigme s’étant amorcé avec la crise de la COVID-19, lorsqu’un nombre massif d’acheteurs se sont laissé séduire par la convivialité et la sécurité des achats en ligne. En ce moment, c’est la sensibilité aux prix qui est en train de modifier profondément les comportements d’achat. En effet, les tendances inflationnistes et la recherche de meilleurs prix par les consommateurs font ressortir encore une fois le potentiel du commerce électronique.
NoahDigital précise qu’au plus fort de la pandémie, de 20 à 30 % des épiceries aux États-Unis ont pris le virage numérique, et la préférence pour les achats en ligne est restée forte malgré la reprise des activités de nombreux magasins physiques. En effet, aux États-Unis, 46,9 % des personnes interrogées ont déclaré qu’elles prévoyaient d’acheter des produits alimentaires en ligne au cours des 12 prochains mois, contre seulement 25,8 % en 2018. De plus, il est à noter que selon Graphical Research, l’intelligence artificielle (IA) – qui est une tendance clé du marketing numérique – devrait augmenter sa valeur sur le marché de détail pour atteindre plus de 10 milliards de dollars d’ici 2027. Les activités de livraison de l’épicerie représenteraient une partie substantielle de ce chiffre.
Au Canada, Loblaw Companies Ltd. représente, selon NoahDigital, un pionnier dans l’adoption de l’épicerie en ligne. Depuis 2019, l’entreprise offre par voie numérique des produits qui ne sont plus offerts sur les rayons physiques. Apparemment, les clients bénéficieraient ainsi d’un meilleur accès aux produits qu’ils cherchent, tout en ayant la chance de faire de nouveaux achats. D’autres joueurs du marché de l’épicerie au Canada (Sobeys, Metro et Costco Canada) seraient sur la même longueur d’onde. Dans l’ensemble, les ventes d’épicerie numériques auraient atteint 99,64 milliards de dollars au Canada en 2021.
Toutefois, il ne faut pas miser sur la disparition imminente des magasins physiques. À ce qu’il paraît, ils ne sont pas en reste et adoptent activement l’IA et l’apprentissage automatique. L’objectif est d’offrir une expérience d’achat exceptionnelle, notamment en ce qui concerne deux dimensions clés : la personnalisation et l’interactivité. En effet, ThinkML signale que, selon les projections d’IBM, l’introduction de l’IA dans le commerce de détail grimpera d’un pourcentage actuel de 40 % à plus de 80 % au cours des trois prochaines années. En outre, Juniper indiquait que l’investissement dans l’IA par les détaillants mondiaux devait approcher les 7,3 milliards de dollars par an en 2022 (2 milliards de dollars étaient attendus en 2018).