La protection des données émerge comme le plus grand défi de l’industrie manufacturière
Selon IndustryWeek, le prochain grand défi de l’industrie manufacturière sera d’assurer la libre circulation des informations tout au long des processus opérationnels tout en protégeant les droits sur les données et la propriété intellectuelle (PI) liée à l’intelligence artificielle (IA).
En effet, les opérations de fabrication propulsées par l’IA sont d’une complexité ahurissante et bénéficient de la disponibilité d’un nombre inimaginable de données qui sont ramassées par les objets connectés grâce à la technologie de l’Internet des objets (IdO). Il est à noter que ces architectures s’appuient sur les mégadonnées, qui peuvent représenter une source de revenus précieuse pour les entreprises grâce à l’octroi de licences et pour la génération de technologies basées sur l’IA.
Il semblerait cependant que de nombreuses entreprises ne parviennent pas à tirer de la valeur des données et de la technologie à cause de difficultés à sécuriser ou à faire respecter leurs droits de propriété intellectuelle. Essentiellement, la multiplicité de modèles générés par l’IA pour traiter les données rendrait difficile la conception d’une stratégie de propriété intellectuelle unique conforme aux paradigmes traditionnels de protection de la propriété intellectuelle.
IndustryWeek signale que le « secret commercial » est généralement l’une des protections de propriété intellectuelle les plus fortes lorsqu’il s’agit de protéger l’IA et les mégadonnées, qui ont des cycles de développement notoirement courts. Il est suggéré que cette exigence de secret peut se révéler difficile pour les industries manufacturières, étant donné le grand nombre d’entités impliquées dans toute opération de fabrication. Conséquemment, il serait souhaitable pour les entreprises d’établir de manière proactive des mesures de sécurité particulières – par exemple, la sécurité physique, le contrôle d’accès, les marquages exclusifs et les accords de non-divulgation signés – avant d’accorder un accès aux informations commerciales secrètes.
Toutefois, bien que le maintien de l’IA en tant que secret commercial puisse assurer une protection très solide, contrairement aux brevets, les secrets commerciaux sont susceptibles de faire l’objet d’une ingénierie inverse et ne confèrent aucun droit exclusif. C’est pourquoi les brevets restent un élément essentiel pour la protection de certains composants de l’architecture de l’IA. Étant donné que les demandes de brevets liées à l’IA peuvent être contestées – lorsqu’il est question, par exemple, des idées abstraites –, IndustryWeek suggère que les entreprises devraient se concentrer sur l’obtention d’une protection par brevet pour les nouvelles fonctionnalités techniques d’une architecture ou d’un flux de travail d’IA.
Selon IndustryWeek, le prochain grand défi de l’industrie manufacturière sera d’assurer la libre circulation des informations tout au long des processus opérationnels tout en protégeant les droits sur les données et la propriété intellectuelle (PI) liée à l’intelligence artificielle (IA).
En effet, les opérations de fabrication propulsées par l’IA sont d’une complexité ahurissante et bénéficient de la disponibilité d’un nombre inimaginable de données qui sont ramassées par les objets connectés grâce à la technologie de l’Internet des objets (IdO). Il est à noter que ces architectures s’appuient sur les mégadonnées, qui peuvent représenter une source de revenus précieuse pour les entreprises grâce à l’octroi de licences et pour la génération de technologies basées sur l’IA.
Il semblerait cependant que de nombreuses entreprises ne parviennent pas à tirer de la valeur des données et de la technologie à cause de difficultés à sécuriser ou à faire respecter leurs droits de propriété intellectuelle. Essentiellement, la multiplicité de modèles générés par l’IA pour traiter les données rendrait difficile la conception d’une stratégie de propriété intellectuelle unique conforme aux paradigmes traditionnels de protection de la propriété intellectuelle.
IndustryWeek signale que le « secret commercial » est généralement l’une des protections de propriété intellectuelle les plus fortes lorsqu’il s’agit de protéger l’IA et les mégadonnées, qui ont des cycles de développement notoirement courts. Il est suggéré que cette exigence de secret peut se révéler difficile pour les industries manufacturières, étant donné le grand nombre d’entités impliquées dans toute opération de fabrication. Conséquemment, il serait souhaitable pour les entreprises d’établir de manière proactive des mesures de sécurité particulières – par exemple, la sécurité physique, le contrôle d’accès, les marquages exclusifs et les accords de non-divulgation signés – avant d’accorder un accès aux informations commerciales secrètes.
Toutefois, bien que le maintien de l’IA en tant que secret commercial puisse assurer une protection très solide, contrairement aux brevets, les secrets commerciaux sont susceptibles de faire l’objet d’une ingénierie inverse et ne confèrent aucun droit exclusif. C’est pourquoi les brevets restent un élément essentiel pour la protection de certains composants de l’architecture de l’IA. Étant donné que les demandes de brevets liées à l’IA peuvent être contestées – lorsqu’il est question, par exemple, des idées abstraites –, IndustryWeek suggère que les entreprises devraient se concentrer sur l’obtention d’une protection par brevet pour les nouvelles fonctionnalités techniques d’une architecture ou d’un flux de travail d’IA.