La numérisation du secteur de la construction comme levier pour augmenter la productivité et la résilience
Selon le concepteur de logiciels Cascades, avec 13 % du PIB mondial total, l’industrie de l’ingénierie et de la construction est un moteur majeur de l’économie mondiale. Malgré sa prépondérance, il s’agit d’un secteur qui subit la pression d’innover en permanence pour augmenter l’efficacité et réduire les coûts dans un environnement qui peut être incertain.
Dans cet ordre d’idées, mentionnons les contraintes imposées par la crise de la COVID-19, qui ont créé des défis sans précédent pour cette industrie. En effet, Eweek indique qu’après la chute de 3,1 % du secteur mondial de la construction en 2020, cette industrie est en ce moment aux prises avec des perturbations de la chaîne d’approvisionnement mondiale, la pénurie de main-d’œuvre et la flambée des prix des matériaux, notamment le bois et l’acier.
De son côté, DigitalCXO souligne que malgré sa prépondérance économique, au fil des années, l’industrie de la construction a fait face à de nombreux obstacles qui se sont répercutés sur la croissance de sa productivité, qui n’a atteint qu’un pour cent par an au cours des deux dernières décennies. Cette faible performance devrait continuer à se détériorer étant donné la hausse croissante des coûts, les réglementations plus strictes en matière de sécurité et de durabilité et la pression des consommateurs, qui exigent une plus grande utilisation de matériaux durables.
Il semble que la conjugaison de l’ensemble de ces facteurs met en relief l’urgence de tirer parti du potentiel de nouvelles technologies de rupture pour numériser des systèmes et processus de travail obsolètes. Il s’agit d’un processus en plein développement. Selon ENR, 84 % des travailleurs sur le terrain pensent que la stratégie de transformation numérique de leur entreprise a eu un impact sur leur façon de travailler. Parmi les travailleurs de bureau, 47 % pensent que la numérisation a déjà transformé le secteur de la construction.
DigitalCXO mentionne, par exemple, l’utilisation accrue de plates-formes vidéo basées sur l’infonuagique pour surveiller les chantiers de construction et pour faciliter la communication entre les ingénieurs et les responsables du contrôle des bâtiments. Une adoption croissante des drones pour améliorer les processus de cartographie et d’arpentage est également observable. Ceux-ci permettent de documenter avec précision l’avancement d’un projet et permettent aux parties prenantes de surveiller et de planifier en toute sécurité n’importe où et à tout moment, améliorant ainsi l’efficacité et la réalisation d’un projet.
Enfin, en ce qui concerne la durabilité, DigitalCXO mentionne que la technologie numérique permettrait aux entreprises de tirer parti des données capturées par des réseaux intégrés de capteurs de l’Internet des objets (IdO). Plus précisément, il serait possible d’améliorer la gestion des cycles de vie des bâtiments, et de réduire les empreintes carbone et les déchets. De plus, grâce à l’IdO on pourrait mieux suivre et surveiller l’efficacité énergétique et les besoins d’entretien des bâtiments.
Selon le concepteur de logiciels Cascades, avec 13 % du PIB mondial total, l’industrie de l’ingénierie et de la construction est un moteur majeur de l’économie mondiale. Malgré sa prépondérance, il s’agit d’un secteur qui subit la pression d’innover en permanence pour augmenter l’efficacité et réduire les coûts dans un environnement qui peut être incertain.
Dans cet ordre d’idées, mentionnons les contraintes imposées par la crise de la COVID-19, qui ont créé des défis sans précédent pour cette industrie. En effet, Eweek indique qu’après la chute de 3,1 % du secteur mondial de la construction en 2020, cette industrie est en ce moment aux prises avec des perturbations de la chaîne d’approvisionnement mondiale, la pénurie de main-d’œuvre et la flambée des prix des matériaux, notamment le bois et l’acier.
De son côté, DigitalCXO souligne que malgré sa prépondérance économique, au fil des années, l’industrie de la construction a fait face à de nombreux obstacles qui se sont répercutés sur la croissance de sa productivité, qui n’a atteint qu’un pour cent par an au cours des deux dernières décennies. Cette faible performance devrait continuer à se détériorer étant donné la hausse croissante des coûts, les réglementations plus strictes en matière de sécurité et de durabilité et la pression des consommateurs, qui exigent une plus grande utilisation de matériaux durables.
Il semble que la conjugaison de l’ensemble de ces facteurs met en relief l’urgence de tirer parti du potentiel de nouvelles technologies de rupture pour numériser des systèmes et processus de travail obsolètes. Il s’agit d’un processus en plein développement. Selon ENR, 84 % des travailleurs sur le terrain pensent que la stratégie de transformation numérique de leur entreprise a eu un impact sur leur façon de travailler. Parmi les travailleurs de bureau, 47 % pensent que la numérisation a déjà transformé le secteur de la construction.
DigitalCXO mentionne, par exemple, l’utilisation accrue de plates-formes vidéo basées sur l’infonuagique pour surveiller les chantiers de construction et pour faciliter la communication entre les ingénieurs et les responsables du contrôle des bâtiments. Une adoption croissante des drones pour améliorer les processus de cartographie et d’arpentage est également observable. Ceux-ci permettent de documenter avec précision l’avancement d’un projet et permettent aux parties prenantes de surveiller et de planifier en toute sécurité n’importe où et à tout moment, améliorant ainsi l’efficacité et la réalisation d’un projet.
Enfin, en ce qui concerne la durabilité, DigitalCXO mentionne que la technologie numérique permettrait aux entreprises de tirer parti des données capturées par des réseaux intégrés de capteurs de l’Internet des objets (IdO). Plus précisément, il serait possible d’améliorer la gestion des cycles de vie des bâtiments, et de réduire les empreintes carbone et les déchets. De plus, grâce à l’IdO on pourrait mieux suivre et surveiller l’efficacité énergétique et les besoins d’entretien des bâtiments.