La modernisation de la fabrication pourrait aider à lutter contre l’inflation
Selon IndustryWeek, la modernisation du secteur manufacturier peut contribuer à la lutte contre l’inflation. Cette idée peut paraître surprenante étant donné que le contrôle de l’inflation est souvent associé aux politiques décidées par les banques centrales. Il semble, cependant, que lorsque l’industrie augmente sa productivité et que les fabricants réussissent à faire mieux en utilisant moins de ressources, les prix diminuent et le pouvoir d’achat des consommateurs augmente.
Cette modernisation est largement tributaire des percées d’un ensemble de technologies qui commencent à révolutionner l’économie physique, comme la fabrication de pointe, les imprimantes industrielles 3D et les réseaux de micro-usines en infonuagique qui permettent une production sur mesure selon les besoins des clients. C’est cette personnalisation qui représente apparemment le fer de lance de la modernisation manufacturière.
En effet, contrairement aux méthodes de fabrication industrielle traditionnelles – dont la complexité exige des coûts initiaux très élevés et une surproduction inutile pour assurer la rentabilité –, les nouveaux outils numériques allègent massivement ce processus. Puisqu’il suffit d’un ordinateur et d’une connexion Wi-Fi, la production coûte beaucoup moins cher, se déplace plus rapidement et fonctionne entièrement à la demande.
L’extension à grande échelle de ce modèle de fabrication aux biens de consommation, aux appareils médicaux et à la machinerie lourde pourrait, suggère-t-on, avoir des effets positifs sur l’inflation. Apparemment, elle permettrait aux entrepreneurs de tous les secteurs de réduire leurs coûts de production et leur quantité de déchets industriels. Éventuellement, les prix pour les consommateurs pourraient baisser, et l’économie mondiale éviterait une récession.
D’ailleurs, IndustryWeek précise les avantages découlant d’une transparence accrue des chaînes d’approvisionnement. En effet, puisque les outils numériques permettent aux fabricants de partager des informations sur les stocks, la production, la logistique et les perturbations, ils pourraient aider les entreprises du monde entier à mieux gérer ensemble la volatilité de l’économie.
Bien que cette révolution industrielle soit imminente, IndustryWeek note que l’industrie américaine utilise encore des méthodes désuètes et des machines obsolètes pour la fabrication de certains biens. De plus, les usines nationales ne semblent pas capables de satisfaire la demande de puces à semi-conducteurs et de composants de base pour la construction, l’agriculture et l’automobile.
Enfin, pour ce qui est de la fabrication de pointe, IndustryWeek signale que les États-Unis perdent leur leadership par rapport à la Chine, à l’Allemagne et à d’autres pays. L’article note que sur les 21 sites de fabrication les plus innovants au monde récemment reconnus par le Forum économique mondial, moins d’un quart se trouvent aux États-Unis.
Selon IndustryWeek, la modernisation du secteur manufacturier peut contribuer à la lutte contre l’inflation. Cette idée peut paraître surprenante étant donné que le contrôle de l’inflation est souvent associé aux politiques décidées par les banques centrales. Il semble, cependant, que lorsque l’industrie augmente sa productivité et que les fabricants réussissent à faire mieux en utilisant moins de ressources, les prix diminuent et le pouvoir d’achat des consommateurs augmente.
Cette modernisation est largement tributaire des percées d’un ensemble de technologies qui commencent à révolutionner l’économie physique, comme la fabrication de pointe, les imprimantes industrielles 3D et les réseaux de micro-usines en infonuagique qui permettent une production sur mesure selon les besoins des clients. C’est cette personnalisation qui représente apparemment le fer de lance de la modernisation manufacturière.
En effet, contrairement aux méthodes de fabrication industrielle traditionnelles – dont la complexité exige des coûts initiaux très élevés et une surproduction inutile pour assurer la rentabilité –, les nouveaux outils numériques allègent massivement ce processus. Puisqu’il suffit d’un ordinateur et d’une connexion Wi-Fi, la production coûte beaucoup moins cher, se déplace plus rapidement et fonctionne entièrement à la demande.
L’extension à grande échelle de ce modèle de fabrication aux biens de consommation, aux appareils médicaux et à la machinerie lourde pourrait, suggère-t-on, avoir des effets positifs sur l’inflation. Apparemment, elle permettrait aux entrepreneurs de tous les secteurs de réduire leurs coûts de production et leur quantité de déchets industriels. Éventuellement, les prix pour les consommateurs pourraient baisser, et l’économie mondiale éviterait une récession.
D’ailleurs, IndustryWeek précise les avantages découlant d’une transparence accrue des chaînes d’approvisionnement. En effet, puisque les outils numériques permettent aux fabricants de partager des informations sur les stocks, la production, la logistique et les perturbations, ils pourraient aider les entreprises du monde entier à mieux gérer ensemble la volatilité de l’économie.
Bien que cette révolution industrielle soit imminente, IndustryWeek note que l’industrie américaine utilise encore des méthodes désuètes et des machines obsolètes pour la fabrication de certains biens. De plus, les usines nationales ne semblent pas capables de satisfaire la demande de puces à semi-conducteurs et de composants de base pour la construction, l’agriculture et l’automobile.
Enfin, pour ce qui est de la fabrication de pointe, IndustryWeek signale que les États-Unis perdent leur leadership par rapport à la Chine, à l’Allemagne et à d’autres pays. L’article note que sur les 21 sites de fabrication les plus innovants au monde récemment reconnus par le Forum économique mondial, moins d’un quart se trouvent aux États-Unis.