La France lance une expérimentation de l’intelligence artificielle au sein des services publics
Le 5 octobre dernier, le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques du gouvernement français a donné le coup d’envoi d’une expérimentation de l’intelligence artificielle (IA) dans la fonction publique.
Sur le site du ministère de la Transformation et de la Fonction publiques, on explique que cette expérimentation s’inscrit dans la continuité de la stratégie nationale pour l’intelligence artificielle et du comité de l’intelligence artificielle générative lancé par la première ministre en septembre 2023.
Ainsi, 1000 agents volontaires vont être équipés d’un outil utilisant l’intelligence artificielle pour les accompagner dans la rédaction des réponses aux avis et commentaires formulés par les usagers lors de leurs démarches en ligne. Les agents superviseront et modifieront la réponse avant de l’envoyer à l’usager. Les données seront totalement anonymisées, et la confidentialité sera ainsi complètement préservée pour l’usager.
Ces outils doivent être mis au service des agents pour leur permettre d’être plus efficaces dans certaines tâches afin de gagner du temps et d’ainsi renforcer le contact humain entre les agents de services publics et les Français.
Selon un article du site zdnet.fr, la France avance sur deux fronts en matière d’IA générative avec le lancement de cette expérimentation auprès de 1000 agents équipés d’un outil Anthropic (source propriétaire) et le développement par la Direction interministérielle de la transformation publique (DITP) et la Direction interministérielle du numérique (DINUM) d’un modèle de logiciel en accès libre.
L’ambition de Mistral AI, une pépite française de l’IA générative, est de fournir aux entreprises européennes une option de rechange aux modèles fermés des géants américains en s’appuyant sur le logiciel libre.
La France fait à ce stade le choix du « en même temps » ou de l’hybride en combinant le logiciel propriétaire, pour agir concrètement dès à présent, et le logiciel d’accès libre pour la maîtrise à terme.
Selon le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, l’État reprend pleinement le contrôle de la transition numérique afin de réfléchir aux transformations induites et de profiter pleinement de ses apports.
Le 5 octobre dernier, le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques du gouvernement français a donné le coup d’envoi d’une expérimentation de l’intelligence artificielle (IA) dans la fonction publique.
Sur le site du ministère de la Transformation et de la Fonction publiques, on explique que cette expérimentation s’inscrit dans la continuité de la stratégie nationale pour l’intelligence artificielle et du comité de l’intelligence artificielle générative lancé par la première ministre en septembre 2023.
Ainsi, 1000 agents volontaires vont être équipés d’un outil utilisant l’intelligence artificielle pour les accompagner dans la rédaction des réponses aux avis et commentaires formulés par les usagers lors de leurs démarches en ligne. Les agents superviseront et modifieront la réponse avant de l’envoyer à l’usager. Les données seront totalement anonymisées, et la confidentialité sera ainsi complètement préservée pour l’usager.
Ces outils doivent être mis au service des agents pour leur permettre d’être plus efficaces dans certaines tâches afin de gagner du temps et d’ainsi renforcer le contact humain entre les agents de services publics et les Français.
Selon un article du site zdnet.fr, la France avance sur deux fronts en matière d’IA générative avec le lancement de cette expérimentation auprès de 1000 agents équipés d’un outil Anthropic (source propriétaire) et le développement par la Direction interministérielle de la transformation publique (DITP) et la Direction interministérielle du numérique (DINUM) d’un modèle de logiciel en accès libre.
L’ambition de Mistral AI, une pépite française de l’IA générative, est de fournir aux entreprises européennes une option de rechange aux modèles fermés des géants américains en s’appuyant sur le logiciel libre.
La France fait à ce stade le choix du « en même temps » ou de l’hybride en combinant le logiciel propriétaire, pour agir concrètement dès à présent, et le logiciel d’accès libre pour la maîtrise à terme.
Selon le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, l’État reprend pleinement le contrôle de la transition numérique afin de réfléchir aux transformations induites et de profiter pleinement de ses apports.