La falsification sophistiquée de documents pourrait entraver la numérisation du secteur financier
Un article de The PayPers note que la transformation numérique du monde financier avance rapidement. Cependant, cette évolution pourrait être entravée par des fraudeurs qui utilisent des technologies avancées – comme les hypertrucages et les documents générés par l’intelligence artificielle (IA) – pour la falsification de documents. Il serait donc urgent de comprendre la nature de la falsification de documents et de la fraude, et de prendre les mesures nécessaires pour lutter contre ce fléau.
Les conséquences sur l’intégrité opérationnelle, la conformité et la sécurité globale des institutions financières ne seraient pas du tout à négliger. L’article indique que, selon Deloitte, en 2023, 12,3 milliards de dollars de pertes ont été signalés en raison des hypertrucages, et l’on pense que ce chiffre devrait atteindre 40 milliards de dollars d’ici la fin de 2027. De leur côté, les données de Bloomberg montrent que les banques, les commerçants et d’autres parties ont perdu au moins 9 milliards de dollars à cause de documents falsifiés dans le seul secteur des matières premières au cours de la dernière décennie.
C’est une menace qui prendrait de l’ampleur dans les institutions financières, qui sont spécialement ciblées en raison de leur volume élevé de transactions et de la nature très sensible des informations qu’elles traitent. De plus, l’utilisation croissante des documents numériques pour les services bancaires à distance et en ligne ne ferait qu’augmenter le risque de falsification de documents.
D’ailleurs, cette pratique frauduleuse devient de plus en plus sophistiquée. En effet, contrairement aux méthodes de fraude traditionnelles, qui peuvent impliquer de simples modifications ou falsifications, les fraudeurs utilisent désormais les documents générés par l’IA et les hypertrucages. Cela leur permet de produire des copies qui sont très difficiles de distinguer des documents authentiques, tels que les cartes d’identité et les dossiers financiers.
Ces faux documents seraient si convaincants qu’ils peuvent contourner sans problème les contrôles de sécurité et permettre d’obtenir un accès non autorisé aux services financiers. Bref, les systèmes de vérification conventionnels ont de la difficulté à suivre le rythme, surtout lorsqu’on utilise l’IA pour générer de faux documents. L’article note l’augmentation vertigineuse des services de fraude, qui permettraient aux criminels non professionnels de se lancer plus facilement dans la falsification de documents. Par exemple, les modèles de faux documents uniques auraient augmenté de près de 20 % au cours de l’année écoulée.
Pour enrayer cette menace très sérieuse, l’article souligne la nécessité pour les institutions financières d’adopter des technologies et des méthodes plus sophistiquées, comme des systèmes de détection d’anomalies capables d’identifier des modèles inhabituels dans le comportement des utilisateurs. Ces systèmes, activés par des algorithmes d’IA, permettent de vérifier les documents en temps réel et sont particulièrement utiles pour détecter les hypertrucages et autres contrefaçons sophistiquées. Une autre piste est l’intégration de l’authentification biométrique et de la vérification de l’identité numérique afin d’améliorer encore la sécurité.
Un article de The PayPers note que la transformation numérique du monde financier avance rapidement. Cependant, cette évolution pourrait être entravée par des fraudeurs qui utilisent des technologies avancées – comme les hypertrucages et les documents générés par l’intelligence artificielle (IA) – pour la falsification de documents. Il serait donc urgent de comprendre la nature de la falsification de documents et de la fraude, et de prendre les mesures nécessaires pour lutter contre ce fléau.
Les conséquences sur l’intégrité opérationnelle, la conformité et la sécurité globale des institutions financières ne seraient pas du tout à négliger. L’article indique que, selon Deloitte, en 2023, 12,3 milliards de dollars de pertes ont été signalés en raison des hypertrucages, et l’on pense que ce chiffre devrait atteindre 40 milliards de dollars d’ici la fin de 2027. De leur côté, les données de Bloomberg montrent que les banques, les commerçants et d’autres parties ont perdu au moins 9 milliards de dollars à cause de documents falsifiés dans le seul secteur des matières premières au cours de la dernière décennie.
C’est une menace qui prendrait de l’ampleur dans les institutions financières, qui sont spécialement ciblées en raison de leur volume élevé de transactions et de la nature très sensible des informations qu’elles traitent. De plus, l’utilisation croissante des documents numériques pour les services bancaires à distance et en ligne ne ferait qu’augmenter le risque de falsification de documents.
D’ailleurs, cette pratique frauduleuse devient de plus en plus sophistiquée. En effet, contrairement aux méthodes de fraude traditionnelles, qui peuvent impliquer de simples modifications ou falsifications, les fraudeurs utilisent désormais les documents générés par l’IA et les hypertrucages. Cela leur permet de produire des copies qui sont très difficiles de distinguer des documents authentiques, tels que les cartes d’identité et les dossiers financiers.
Ces faux documents seraient si convaincants qu’ils peuvent contourner sans problème les contrôles de sécurité et permettre d’obtenir un accès non autorisé aux services financiers. Bref, les systèmes de vérification conventionnels ont de la difficulté à suivre le rythme, surtout lorsqu’on utilise l’IA pour générer de faux documents. L’article note l’augmentation vertigineuse des services de fraude, qui permettraient aux criminels non professionnels de se lancer plus facilement dans la falsification de documents. Par exemple, les modèles de faux documents uniques auraient augmenté de près de 20 % au cours de l’année écoulée.
Pour enrayer cette menace très sérieuse, l’article souligne la nécessité pour les institutions financières d’adopter des technologies et des méthodes plus sophistiquées, comme des systèmes de détection d’anomalies capables d’identifier des modèles inhabituels dans le comportement des utilisateurs. Ces systèmes, activés par des algorithmes d’IA, permettent de vérifier les documents en temps réel et sont particulièrement utiles pour détecter les hypertrucages et autres contrefaçons sophistiquées. Une autre piste est l’intégration de l’authentification biométrique et de la vérification de l’identité numérique afin d’améliorer encore la sécurité.