La chute des ventes de maisons se poursuit aux États-Unis, même si les prix diminuent
Vers le milieu de l’année 2022, Forbes notait l’aggravation, voire l’accélération de l’effondrement du marché du logement aux États-Unis. En effet, la chute inattendue des ventes de maisons neuves semblait mettre fin aux gains de la période pandémique tout en annonçant un ralentissement de l’économie pouvant même aboutir à une récession.
Plus précisément, Forbes soulignait la chute de 8 % en juin des ventes de nouvelles maisons unifamiliales par rapport au mois de mai (590 000 contre 642 000). La faible demande s’est répercutée certainement sur les prix, dont la moyenne a chuté à 402 400 dollars US en juin comparativement à 449 000 dollars US en mai (après avoir atteint un record de 457 000 dollars US en avril).
Parallèlement, les experts notaient l’augmentation du nombre de nouvelles maisons à vendre, qui a bondi de 17 000 unités pour atteindre près de 457 000 maisons non vendues. Il s’agirait de la plus grande surenchère depuis la fin de 2010.
Il est à noter que la crise ne semble pas s’être estompée au fil du temps. Au début du mois d’octobre, Forbes remarquait que le versement hypothécaire mensuel type avait augmenté de 15 % au cours des six dernières semaines. Les répercussions sur la demande de logements à l’échelle nationale et sur le prix des maisons seraient très perceptibles.
Selon les données du courtier immobilier Redfin, le prix de vente médian des maisons aurait grimpé de 7 % pour atteindre 369 250 $ au cours de la dernière année. Cependant, les prix à San Francisco ont baissé de 4 %, tandis que ceux d’Oakland et de La Nouvelle-Orléans ont chuté de 0,5 % et 11 % respectivement.
Quoi qu’il en soit, Forbes note que la demande de prêts hypothécaires au mois d’octobre a chuté de 14,2 %, ce qui est le plus bas niveau enregistré en 25 ans, selon les données publiées par la Mortgage Bankers Association. Il s’agit d’un signe frappant du déclin du marché du logement aux États-Unis. En fait, les prix devraient chuter, dit-on, de jusqu’à 20 % dans les régions où l’on constate une crise d’accessibilité. Aux dires des experts, les constructeurs seront obligés de réduire les prix « agressivement » dans des régions comme Dallas et Austin, au Texas, et Boise, en Idaho.
De même, selon Goldman Sachs, la correction des prix du marché immobilier devrait être plus sévère dans certains centres urbains, comme Phoenix, Austin et Las Vegas. Il s’agit de villes qui, pendant la crise sanitaire, ont attiré un grand nombre de nouveaux résidents, ce qui a exacerbé les problèmes d’accessibilité.
Vers le milieu de l’année 2022, Forbes notait l’aggravation, voire l’accélération de l’effondrement du marché du logement aux États-Unis. En effet, la chute inattendue des ventes de maisons neuves semblait mettre fin aux gains de la période pandémique tout en annonçant un ralentissement de l’économie pouvant même aboutir à une récession.
Plus précisément, Forbes soulignait la chute de 8 % en juin des ventes de nouvelles maisons unifamiliales par rapport au mois de mai (590 000 contre 642 000). La faible demande s’est répercutée certainement sur les prix, dont la moyenne a chuté à 402 400 dollars US en juin comparativement à 449 000 dollars US en mai (après avoir atteint un record de 457 000 dollars US en avril).
Parallèlement, les experts notaient l’augmentation du nombre de nouvelles maisons à vendre, qui a bondi de 17 000 unités pour atteindre près de 457 000 maisons non vendues. Il s’agirait de la plus grande surenchère depuis la fin de 2010.
Il est à noter que la crise ne semble pas s’être estompée au fil du temps. Au début du mois d’octobre, Forbes remarquait que le versement hypothécaire mensuel type avait augmenté de 15 % au cours des six dernières semaines. Les répercussions sur la demande de logements à l’échelle nationale et sur le prix des maisons seraient très perceptibles.
Selon les données du courtier immobilier Redfin, le prix de vente médian des maisons aurait grimpé de 7 % pour atteindre 369 250 $ au cours de la dernière année. Cependant, les prix à San Francisco ont baissé de 4 %, tandis que ceux d’Oakland et de La Nouvelle-Orléans ont chuté de 0,5 % et 11 % respectivement.
Quoi qu’il en soit, Forbes note que la demande de prêts hypothécaires au mois d’octobre a chuté de 14,2 %, ce qui est le plus bas niveau enregistré en 25 ans, selon les données publiées par la Mortgage Bankers Association. Il s’agit d’un signe frappant du déclin du marché du logement aux États-Unis. En fait, les prix devraient chuter, dit-on, de jusqu’à 20 % dans les régions où l’on constate une crise d’accessibilité. Aux dires des experts, les constructeurs seront obligés de réduire les prix « agressivement » dans des régions comme Dallas et Austin, au Texas, et Boise, en Idaho.
De même, selon Goldman Sachs, la correction des prix du marché immobilier devrait être plus sévère dans certains centres urbains, comme Phoenix, Austin et Las Vegas. Il s’agit de villes qui, pendant la crise sanitaire, ont attiré un grand nombre de nouveaux résidents, ce qui a exacerbé les problèmes d’accessibilité.