FedEx expérimente avec le diesel renouvelable pour encourager l’utilisation des nouveaux combustibles de substitution
TransportDive commente l’expérience à petite échelle démarrée tout récemment par FedEx Express Europe, qui a commencé à utiliser du diesel renouvelable, dérivé de matières organiques ou de déchets, dans une partie de sa flotte de camions de transport aux Pays-Bas. Le géant de la logistique prévoit que les opérations de ramassage et de livraison de colis seront effectuées par une flotte entièrement électrique d’ici 2040.
Parcel and Postal Technology note cependant que pour FedEx, la décarbonisation du secteur des transports lourds est reconnue comme plus difficile que la collecte et la livraison de colis. Il y aurait de multiples facteurs : la plage de kilométrage requise, le temps nécessaire pour faire le plein et le fait que, souvent, les poids lourds se déplacent à travers différents territoires, ce qui les oblige à faire le plein dans plusieurs pays.
C’est pourquoi, selon TransportDive, en choisissant du diesel renouvelable pour propulser sa flotte, FedEx se donne pour objectif de contribuer à rendre les combustibles de substitution plus accessibles à l’ensemble de l’industrie, tout en soulignant leur rôle en tant que solution clé pour décarboniser le très coriace secteur du transport en Europe.
Parcel and Postal Technology souligne les propos de Vinay D’Souza, vice-président principal de la planification et de l’ingénierie chez FedEx Express Europe, selon qui « l’utilisation de diesel de synthèse offre une solution provisoire avec la capacité prometteuse de réduire les émissions de carbone de 80 à 90 % par litre ».
TransportDive signale, d’ailleurs, que le diesel renouvelable n’est que l’une des nombreuses options de rechange au carburant diesel que l’industrie du transport lourd évalue en ce moment pour réduire les émissions dans un secteur particulièrement coriace. En effet, Climate Group précise que, bien que les camions moyens et lourds ne représentent que 4 % de tous les véhicules sur les routes du monde, ils contribuent à 40 % de toutes les émissions du transport routier et au tiers de la consommation totale de carburant pour le transport.
Il est à noter que FedEx n’est pas la seule entreprise à expérimenter avec les carburants renouvelables. CISION mentionne le cas de Penske Truck Leasing, une entreprise qui s’est associée au fournisseur Shell Oil Products U.S. pour accroître son utilisation de diesel renouvelable en Californie. Selon les statistiques de différentes agences de cet État, environ 3 milliards de gallons de carburant diesel sont vendus chaque année dans l’État, dont seulement un tiers environ est vendu sous forme de diesel renouvelable. Il semble que Penske prévoit d’étendre son utilisation du diesel renouvelable sur d’autres marchés à mesure que l’offre augmente et que les programmes incitatifs deviennent plus accessibles.
TransportDive commente l’expérience à petite échelle démarrée tout récemment par FedEx Express Europe, qui a commencé à utiliser du diesel renouvelable, dérivé de matières organiques ou de déchets, dans une partie de sa flotte de camions de transport aux Pays-Bas. Le géant de la logistique prévoit que les opérations de ramassage et de livraison de colis seront effectuées par une flotte entièrement électrique d’ici 2040.
Parcel and Postal Technology note cependant que pour FedEx, la décarbonisation du secteur des transports lourds est reconnue comme plus difficile que la collecte et la livraison de colis. Il y aurait de multiples facteurs : la plage de kilométrage requise, le temps nécessaire pour faire le plein et le fait que, souvent, les poids lourds se déplacent à travers différents territoires, ce qui les oblige à faire le plein dans plusieurs pays.
C’est pourquoi, selon TransportDive, en choisissant du diesel renouvelable pour propulser sa flotte, FedEx se donne pour objectif de contribuer à rendre les combustibles de substitution plus accessibles à l’ensemble de l’industrie, tout en soulignant leur rôle en tant que solution clé pour décarboniser le très coriace secteur du transport en Europe.
Parcel and Postal Technology souligne les propos de Vinay D’Souza, vice-président principal de la planification et de l’ingénierie chez FedEx Express Europe, selon qui « l’utilisation de diesel de synthèse offre une solution provisoire avec la capacité prometteuse de réduire les émissions de carbone de 80 à 90 % par litre ».
TransportDive signale, d’ailleurs, que le diesel renouvelable n’est que l’une des nombreuses options de rechange au carburant diesel que l’industrie du transport lourd évalue en ce moment pour réduire les émissions dans un secteur particulièrement coriace. En effet, Climate Group précise que, bien que les camions moyens et lourds ne représentent que 4 % de tous les véhicules sur les routes du monde, ils contribuent à 40 % de toutes les émissions du transport routier et au tiers de la consommation totale de carburant pour le transport.
Il est à noter que FedEx n’est pas la seule entreprise à expérimenter avec les carburants renouvelables. CISION mentionne le cas de Penske Truck Leasing, une entreprise qui s’est associée au fournisseur Shell Oil Products U.S. pour accroître son utilisation de diesel renouvelable en Californie. Selon les statistiques de différentes agences de cet État, environ 3 milliards de gallons de carburant diesel sont vendus chaque année dans l’État, dont seulement un tiers environ est vendu sous forme de diesel renouvelable. Il semble que Penske prévoit d’étendre son utilisation du diesel renouvelable sur d’autres marchés à mesure que l’offre augmente et que les programmes incitatifs deviennent plus accessibles.