Faible croissance de l’économie mondiale pour l’année 2023
Selon un article publié sur le site Web du journal Les Echos, le Fonds monétaire international (FMI) prévoit une croissance de seulement 2,7 % en 2023 au niveau mondial. Il semblerait que les prévisions revoient à la baisse la croissance du produit intérieur brut (PIB) pour l’année 2023. En effet, la Chine subit jusqu’à ce jour les effets de la pandémie de COVID-19 ainsi que de la détérioration de son secteur immobilier, qui affecte énormément son économie. Le PIB des États-Unis s’est déjà contracté au premier trimestre de l’année 2022 et la zone euro a également connu une contraction de son PIB au second semestre de l’année 2022. Selon le FMI, entre les années 2022 et 2023, au moins 43 % des économies connaîtront une contraction de leur PIB pour au moins deux trimestres consécutifs. Cela représente plus d’un tiers du PIB mondial. Par ailleurs, on observe un ralentissement de la croissance du commerce mondial. De 10,1 % en 2021, elle devrait passer à 4,3 % en 2022 et à 2,5 % en 2023.
La hausse des taux d’intérêt a un effet négatif sur les investissements résidentiels et l’inflation contribue à rogner la demande des consommateurs. L’inflation devrait rester élevée encore quelques années. Le FMI rapporte qu’elle sera de 8,7 % en 2022, 6,5 % en 2023 et 4,1 % d’ici 2024. La guerre en Ukraine a contribué à la hausse des prix des denrées alimentaires et la dynamique reste aggravée par les restrictions mises en place par certains pays pour contrôler les exportations d’aliments, principalement les céréales. On perçoit également que les prix de l’énergie ont augmenté. En outre, une réduction de la quantité de gaz exporté par la Russie vers l’Europe pourrait affecter davantage les prix et prolonger la durée de l’inflation.
Selon un article publié sur le site Web du journal Les Echos, le Fonds monétaire international (FMI) prévoit une croissance de seulement 2,7 % en 2023 au niveau mondial. Il semblerait que les prévisions revoient à la baisse la croissance du produit intérieur brut (PIB) pour l’année 2023. En effet, la Chine subit jusqu’à ce jour les effets de la pandémie de COVID-19 ainsi que de la détérioration de son secteur immobilier, qui affecte énormément son économie. Le PIB des États-Unis s’est déjà contracté au premier trimestre de l’année 2022 et la zone euro a également connu une contraction de son PIB au second semestre de l’année 2022. Selon le FMI, entre les années 2022 et 2023, au moins 43 % des économies connaîtront une contraction de leur PIB pour au moins deux trimestres consécutifs. Cela représente plus d’un tiers du PIB mondial. Par ailleurs, on observe un ralentissement de la croissance du commerce mondial. De 10,1 % en 2021, elle devrait passer à 4,3 % en 2022 et à 2,5 % en 2023.
La hausse des taux d’intérêt a un effet négatif sur les investissements résidentiels et l’inflation contribue à rogner la demande des consommateurs. L’inflation devrait rester élevée encore quelques années. Le FMI rapporte qu’elle sera de 8,7 % en 2022, 6,5 % en 2023 et 4,1 % d’ici 2024. La guerre en Ukraine a contribué à la hausse des prix des denrées alimentaires et la dynamique reste aggravée par les restrictions mises en place par certains pays pour contrôler les exportations d’aliments, principalement les céréales. On perçoit également que les prix de l’énergie ont augmenté. En outre, une réduction de la quantité de gaz exporté par la Russie vers l’Europe pourrait affecter davantage les prix et prolonger la durée de l’inflation.