Est-il vrai que les employés en télétravail sont moins engagés dans leur travail?
Une des inquiétudes des entreprises concernant le télétravail concerne la réduction de l’engagement des employés. De nombreux employeurs pensent en effet que le travail à distance va contribuer à réduire les réunions et les discussions spontanées entre les employés. Un article publié par la Harvard Business Review démontre le contraire.
En effet, une étude a démontré que les réunions à distance sont devenues plus fréquentes. En 2022, il y a eu 60 % plus de réunions à distance par employé par rapport à 2020. Également, ces réunions sont devenues plus courtes de 25 %. En 2020, la durée moyenne des réunions était estimée à 43 minutes. En 2022, ce chiffre a diminué pour atteindre 33 minutes. De plus, les réunions à distance se font désormais en groupes plus restreints. On rapporte qu’en 2022, il y a eu 42 % de réunions en tête à tête, tandis qu’en 2020, la proportion s’élevait à 17 %. Ces réunions individuelles ont également duré en moyenne 22 minutes en 2022, tandis que les réunions de groupe ont eu une durée moyenne de 40 minutes. Par ailleurs, l’article rapporte que les réunions à distance sont devenues plus spontanées. En effet, en 2020, seulement 17 % des réunions n’étaient pas planifiées, contre 66 % en 2022.
L’article suggère d’encourager la synchronisation des horaires de travail pour les télétravailleurs. Cela permettrait de faciliter les interactions, qu’elles soient spontanées ou pas. On conseille également de faciliter les rencontres en ne rendant pas obligatoire le fait de garder les caméras allumées lors des réunions virtuelles, par exemple. Par ailleurs, les interactions audio uniquement ont montré des avantages tels que la perception de l’authenticité du communicateur et la création de liens sociaux plus solides. En outre, les gestionnaires ne doivent pas hésiter à rencontrer les employés qui ne participent pas aux réunions ou n’en organisent pas pour comprendre leurs réticences.
Les résultats de cette étude permettent de remettre en question l’idée selon laquelle le télétravail réduirait les interactions et par conséquent, l’engagement des employés.
Une des inquiétudes des entreprises concernant le télétravail concerne la réduction de l’engagement des employés. De nombreux employeurs pensent en effet que le travail à distance va contribuer à réduire les réunions et les discussions spontanées entre les employés. Un article publié par la Harvard Business Review démontre le contraire.
En effet, une étude a démontré que les réunions à distance sont devenues plus fréquentes. En 2022, il y a eu 60 % plus de réunions à distance par employé par rapport à 2020. Également, ces réunions sont devenues plus courtes de 25 %. En 2020, la durée moyenne des réunions était estimée à 43 minutes. En 2022, ce chiffre a diminué pour atteindre 33 minutes. De plus, les réunions à distance se font désormais en groupes plus restreints. On rapporte qu’en 2022, il y a eu 42 % de réunions en tête à tête, tandis qu’en 2020, la proportion s’élevait à 17 %. Ces réunions individuelles ont également duré en moyenne 22 minutes en 2022, tandis que les réunions de groupe ont eu une durée moyenne de 40 minutes. Par ailleurs, l’article rapporte que les réunions à distance sont devenues plus spontanées. En effet, en 2020, seulement 17 % des réunions n’étaient pas planifiées, contre 66 % en 2022.
L’article suggère d’encourager la synchronisation des horaires de travail pour les télétravailleurs. Cela permettrait de faciliter les interactions, qu’elles soient spontanées ou pas. On conseille également de faciliter les rencontres en ne rendant pas obligatoire le fait de garder les caméras allumées lors des réunions virtuelles, par exemple. Par ailleurs, les interactions audio uniquement ont montré des avantages tels que la perception de l’authenticité du communicateur et la création de liens sociaux plus solides. En outre, les gestionnaires ne doivent pas hésiter à rencontrer les employés qui ne participent pas aux réunions ou n’en organisent pas pour comprendre leurs réticences.
Les résultats de cette étude permettent de remettre en question l’idée selon laquelle le télétravail réduirait les interactions et par conséquent, l’engagement des employés.