Des prix élevés pour le cacao
Selon un article publié par Le Devoir, le cours du cacao a explosé en mars, à plus de 10 000 dollars la tonne. Cela est principalement dû à la mauvaise récolte en Afrique de l’Ouest, conséquence d’une saison pluvieuse ayant conduit à des inondations intensives et à des maladies dévastatrices dans des plantations vieillissantes.
Les prix ont baissé depuis ce temps, mais ils restent tout de même trois fois plus élevés qu’en 2023. Dans les pays où le système de vente est libéralisé (Cameroun, Brésil, Nigéria, Équateur), les producteurs profitent de la hausse en vendant leur cacao au taux du marché. Toutefois, dans les pays où les prix sont fixés par les autorités (Ghana, Côte d’Ivoire), il y a un décalage, car les prix sont basés sur ceux des mois précédents, ce qui réduit l’impact des fluctuations.
Les grands transformateurs sont également touchés par cette hausse des prix, car même si les approvisionnements sont négociés en avance, certains contrats n’ont pas été honorés. Ils sont donc obligés de s’approvisionner en urgence à des prix élevés.
La raison principale de la hausse des prix des fèves de cacao est le fait que l’offre est inférieure à la demande pour une troisième année consécutive. Les chocolatiers, quant à eux, s’adaptent à la fluctuation des prix sur le marché. Le décalage entre l’approvisionnement en matière première et la production réduit l’impact sur le coût final des tablettes de chocolat sur les étagères.
De plus, certains ont des contrats à long terme qui les protègent des fluctuations de prix sur le marché. Au pire des cas, ces derniers pourront augmenter la quantité de noisettes ou réduire les proportions. Quoi qu’il en soit, la matière première ne représente qu’une partie infime du produit fini chez les chocolatiers. L’impact est donc minime à leur niveau.
Selon un article publié par Le Devoir, le cours du cacao a explosé en mars, à plus de 10 000 dollars la tonne. Cela est principalement dû à la mauvaise récolte en Afrique de l’Ouest, conséquence d’une saison pluvieuse ayant conduit à des inondations intensives et à des maladies dévastatrices dans des plantations vieillissantes.
Les prix ont baissé depuis ce temps, mais ils restent tout de même trois fois plus élevés qu’en 2023. Dans les pays où le système de vente est libéralisé (Cameroun, Brésil, Nigéria, Équateur), les producteurs profitent de la hausse en vendant leur cacao au taux du marché. Toutefois, dans les pays où les prix sont fixés par les autorités (Ghana, Côte d’Ivoire), il y a un décalage, car les prix sont basés sur ceux des mois précédents, ce qui réduit l’impact des fluctuations.
Les grands transformateurs sont également touchés par cette hausse des prix, car même si les approvisionnements sont négociés en avance, certains contrats n’ont pas été honorés. Ils sont donc obligés de s’approvisionner en urgence à des prix élevés.
La raison principale de la hausse des prix des fèves de cacao est le fait que l’offre est inférieure à la demande pour une troisième année consécutive. Les chocolatiers, quant à eux, s’adaptent à la fluctuation des prix sur le marché. Le décalage entre l’approvisionnement en matière première et la production réduit l’impact sur le coût final des tablettes de chocolat sur les étagères.
De plus, certains ont des contrats à long terme qui les protègent des fluctuations de prix sur le marché. Au pire des cas, ces derniers pourront augmenter la quantité de noisettes ou réduire les proportions. Quoi qu’il en soit, la matière première ne représente qu’une partie infime du produit fini chez les chocolatiers. L’impact est donc minime à leur niveau.