De jeunes pousses s’attaquent à l’explosion de déchets qu’a généré l’expansion du commerce électronique pendant la pandémie
RetailDive estime que la prochaine frontière dans l’évolution du commerce électronique est l’utilisation de sacs et boîtes réutilisables. En effet, les stratégies de réutilisation d’emballages sont devenues très pertinentes en raison de l’explosion des ventes en ligne, qui s’est vérifiée pendant la pandémie et qui a été accompagnée par une explosion de déchets.
Bien que l’on puisse recycler une partie de la multitude d’enveloppes à bulles en plastique, des boîtes en carton ainsi que des sacs et des contenants isothermes, RetailDive note que la grande majorité, en particulier les articles en plastique, est enfouie ou incinérée. Il y a donc place à des innovations dans l’industrie de la réutilisation, où de jeunes pousses (startups) proposent déjà certaines solutions.
Kate Daly, directrice générale du Centre pour l’économie circulaire de Closed Loop Partners, mentionne, par exemple, le potentiel des systèmes de dépôt et de paiement à l’utilisation et surtout, des systèmes par abonnement. Dans ce dernier cas, les produits rechargeables sont livrés et retournés dans des emballages réutilisables. C’est le modèle proposé par la jeune pousse TerraCycle pour diverses marques d’épicerie, de beauté et autres. Ultimement, dit-on, la réutilisation est rarement une question d’emballage. Il s’agit plutôt de trouver les niches où la circularité existe déjà. Apparemment, ce serait la clé de la réussite.
RetailDive mentionne le cas de Returnity, une entreprise qui s’est associée à des plates-formes de location dans l’industrie de la mode, telles que Rent the Runway, pour faciliter l’expédition des sacs de vêtements réutilisables. Il s’agit d’un modèle d’affaires semblable, dit-on, à la plate-forme de commerce électronique Olive, qui offre aux clients une option d’expédition réutilisable à l’achat de certaines marques, comme celle de vêtements pour hommes Rhone.
RetailDive note que dans le cas de Returnity, l’objectif est d’atteindre un taux de réutilisation de 90 à 95 % avec un minimum de 20 cycles d’utilisation. Il semble qu’au-delà de 7 à 10 cycles d’utilisation, on a réussi à franchir les seuils de coûts et d’avantages environnementaux, bien que certains notent que les avantages deviennent visibles après seulement 5 cycles d’utilisation et un taux de réutilisation d’au moins 80 %. Selon le PDG de Returnity, les emballages réutilisables que les trois principaux clients de Returnity ont commandés à la société à ce jour remplaceront 20 millions d’emballages à usage unique.
Enfin, RetailDive mentionne que Returnity, poussant plus loin le modèle de réutilisation dans des niches particulières de circularité, fournit désormais des bacs réutilisables au programme Happy Returns de PayPal. Cela prévient l’utilisation massive des boîtes qui servent normalement à entreposer les produits retournés par les clients. Une autre initiative est de fournir des sacs d’épicerie réutilisables à la société de livraison zéro déchet The Rounds.
RetailDive estime que la prochaine frontière dans l’évolution du commerce électronique est l’utilisation de sacs et boîtes réutilisables. En effet, les stratégies de réutilisation d’emballages sont devenues très pertinentes en raison de l’explosion des ventes en ligne, qui s’est vérifiée pendant la pandémie et qui a été accompagnée par une explosion de déchets.
Bien que l’on puisse recycler une partie de la multitude d’enveloppes à bulles en plastique, des boîtes en carton ainsi que des sacs et des contenants isothermes, RetailDive note que la grande majorité, en particulier les articles en plastique, est enfouie ou incinérée. Il y a donc place à des innovations dans l’industrie de la réutilisation, où de jeunes pousses (startups) proposent déjà certaines solutions.
Kate Daly, directrice générale du Centre pour l’économie circulaire de Closed Loop Partners, mentionne, par exemple, le potentiel des systèmes de dépôt et de paiement à l’utilisation et surtout, des systèmes par abonnement. Dans ce dernier cas, les produits rechargeables sont livrés et retournés dans des emballages réutilisables. C’est le modèle proposé par la jeune pousse TerraCycle pour diverses marques d’épicerie, de beauté et autres. Ultimement, dit-on, la réutilisation est rarement une question d’emballage. Il s’agit plutôt de trouver les niches où la circularité existe déjà. Apparemment, ce serait la clé de la réussite.
RetailDive mentionne le cas de Returnity, une entreprise qui s’est associée à des plates-formes de location dans l’industrie de la mode, telles que Rent the Runway, pour faciliter l’expédition des sacs de vêtements réutilisables. Il s’agit d’un modèle d’affaires semblable, dit-on, à la plate-forme de commerce électronique Olive, qui offre aux clients une option d’expédition réutilisable à l’achat de certaines marques, comme celle de vêtements pour hommes Rhone.
RetailDive note que dans le cas de Returnity, l’objectif est d’atteindre un taux de réutilisation de 90 à 95 % avec un minimum de 20 cycles d’utilisation. Il semble qu’au-delà de 7 à 10 cycles d’utilisation, on a réussi à franchir les seuils de coûts et d’avantages environnementaux, bien que certains notent que les avantages deviennent visibles après seulement 5 cycles d’utilisation et un taux de réutilisation d’au moins 80 %. Selon le PDG de Returnity, les emballages réutilisables que les trois principaux clients de Returnity ont commandés à la société à ce jour remplaceront 20 millions d’emballages à usage unique.
Enfin, RetailDive mentionne que Returnity, poussant plus loin le modèle de réutilisation dans des niches particulières de circularité, fournit désormais des bacs réutilisables au programme Happy Returns de PayPal. Cela prévient l’utilisation massive des boîtes qui servent normalement à entreposer les produits retournés par les clients. Une autre initiative est de fournir des sacs d’épicerie réutilisables à la société de livraison zéro déchet The Rounds.