Baisse de la demande en Chine
Selon Bloomberg, l’indice des prix à la production a baissé de 1,6 % par rapport à l’année dernière en Chine. La croissance des prix à la consommation a également ralenti, étant passée de 2,8 % à 2,4 % depuis le mois de septembre. Cela s’explique par les restrictions des déplacements pour mieux contrôler la pandémie de COVID-19. En effet, ces mesures ont eu pour conséquence de réduire les dépenses ainsi que la demande d’exportation. Par ailleurs, la demande de construction de maisons continue à diminuer même si des mesures ont été mises en place pour stimuler la consommation. On assiste de ce fait à une déflation. C’est-à-dire qu’à cause de la diminution de la demande ainsi que des prix de certains produits, notamment les matières premières, les entreprises sont poussées à réduire également leurs prix. Pour le ciment par exemple, il y a eu une baisse de plus de 30 % après une baisse de 10 % en septembre. Toutefois, les prix des produits en amont (pétrole, charbon et autres) ont pour la plupart contribué à réduire le gain des entreprises.
Contrairement à ce que l’on observe dans la plupart des autres pays, la hausse des prix en Chine a été relativement modérée. Un article publié par La Tribune en août dernier rapportait que l’inflation en Chine s’élevait à 2,7 %. Cette faible hausse des prix s’explique essentiellement par une demande faible dans un contexte de ralentissement économique. On peut s’attendre à ce que la déflation continue, car la bataille contre la pandémie de COVID-19 ne montre aucun signe de relâchement, et cela commence à affecter les entreprises étrangères implantées en Chine. Une usine de confection de iPhone qui compte plus de 200 000 employés a d’ailleurs été confinée récemment parce que des cas de COVID-19 y avaient été détectés, rapportent Les Echos. Certains spécialistes affirment que l’indice des prix à la production sera négatif pendant une grande partie de l’année 2023.
Selon Bloomberg, l’indice des prix à la production a baissé de 1,6 % par rapport à l’année dernière en Chine. La croissance des prix à la consommation a également ralenti, étant passée de 2,8 % à 2,4 % depuis le mois de septembre. Cela s’explique par les restrictions des déplacements pour mieux contrôler la pandémie de COVID-19. En effet, ces mesures ont eu pour conséquence de réduire les dépenses ainsi que la demande d’exportation. Par ailleurs, la demande de construction de maisons continue à diminuer même si des mesures ont été mises en place pour stimuler la consommation. On assiste de ce fait à une déflation. C’est-à-dire qu’à cause de la diminution de la demande ainsi que des prix de certains produits, notamment les matières premières, les entreprises sont poussées à réduire également leurs prix. Pour le ciment par exemple, il y a eu une baisse de plus de 30 % après une baisse de 10 % en septembre. Toutefois, les prix des produits en amont (pétrole, charbon et autres) ont pour la plupart contribué à réduire le gain des entreprises.
Contrairement à ce que l’on observe dans la plupart des autres pays, la hausse des prix en Chine a été relativement modérée. Un article publié par La Tribune en août dernier rapportait que l’inflation en Chine s’élevait à 2,7 %. Cette faible hausse des prix s’explique essentiellement par une demande faible dans un contexte de ralentissement économique. On peut s’attendre à ce que la déflation continue, car la bataille contre la pandémie de COVID-19 ne montre aucun signe de relâchement, et cela commence à affecter les entreprises étrangères implantées en Chine. Une usine de confection de iPhone qui compte plus de 200 000 employés a d’ailleurs été confinée récemment parce que des cas de COVID-19 y avaient été détectés, rapportent Les Echos. Certains spécialistes affirment que l’indice des prix à la production sera négatif pendant une grande partie de l’année 2023.