Après avoir composé avec les défis de 2022, les entreprises feront face à une année 2023 assez éprouvante encore
Selon MarshMcLennan et Brink, la crise énergétique, la recrudescence de l’inflation et les pressions géopolitiques antimondialisation ont mis les entreprises à rude épreuve en 2022. Malheureusement, les perspectives pour 2023 comportent encore de nombreux défis, et les entreprises devront s’attendre à composer avec des taux d’intérêt élevés, la pénurie énergétique et des problèmes résiduels dans les chaînes d’approvisionnement. Selon le Fonds monétaire international, la croissance mondiale ne devrait pas dépasser 2,7 % en 2023, contre 3,2 % en 2022.
Dans un tel environnement, les entreprises devraient, dit-on, s’ouvrir à évaluer les stratégies qui ont fonctionné en 2022 et à en essayer de nouvelles. Ultimement, il s’agit de mieux gérer les risques globaux comme la disponibilité de la main-d’œuvre, l’accès au capital, le changement climatique et les perturbations de la chaîne d’approvisionnement, mais aussi d’autres risques, plus spécifiques à chaque secteur industriel.
Dans cet ordre d’idées, MarshMcLennan et Brink soulignent la pertinence d’intensifier la collecte et l’analyse des données pour mieux comprendre les attentes de consommation des clients et saisir les compétences des employés. Grâce à ces informations, il serait possible d’améliorer, éventuellement, la qualité de la prise de décisions d’entreprise et de mieux gérer des défis multiples.
Par exemple, face à l’augmentation des taux d’intérêt, les entreprises n’auront assurément pas d’autre choix que de monter un plan d’affaires exceptionnellement solide pour accéder à un crédit qui sera plus coûteux. Dans une période incertaine, et avec un éventuel resserrement du crédit, il est envisageable qu’il y ait davantage d’acquisitions à mesure que les entreprises s’effondrent ou recherchent des fusions.
En outre, la persistance des goulots d’étranglement dans la chaîne d’approvisionnement et la pression du protectionnisme créeront peut-être des pénuries qui se répercuteront dans une hausse des prix. Certaines entreprises tenteront de contourner ces contraintes en diversifiant leurs fournisseurs, les emplacements des usines et les stratégies d’expédition.
Une autre contrainte de taille pour les entreprises est de réussir à attirer et retenir les meilleurs talents alors que les baby-boomers expérimentés, dont les plus jeunes ont 60 ans, continueront à prendre leur retraite. Le défi semble aussi de s’adapter rapidement aux attentes de la génération Z, qui représentera 30 % de la main-d’œuvre d’ici 2030. Il est question pour les entreprises d’expérimenter avec les différentes options hybrides pour voir ce qui s’adapte le mieux à la culture des jeunes travailleurs. La semaine de quatre jours sera probablement une des stratégies préférées pour attirer les nouveaux talents.
Enfin, MarshMcLennan et Brink estiment que les actifs numériques continueront leur expansion soutenue par des innovations prometteuses dans la technologie des registres distribués. Apparemment, il y a un fort potentiel pour la finance décentralisée, qui serait plus efficace même s’il n’est pas possible d’assurer que ces solutions sont complètement sécuritaires.
Selon MarshMcLennan et Brink, la crise énergétique, la recrudescence de l’inflation et les pressions géopolitiques antimondialisation ont mis les entreprises à rude épreuve en 2022. Malheureusement, les perspectives pour 2023 comportent encore de nombreux défis, et les entreprises devront s’attendre à composer avec des taux d’intérêt élevés, la pénurie énergétique et des problèmes résiduels dans les chaînes d’approvisionnement. Selon le Fonds monétaire international, la croissance mondiale ne devrait pas dépasser 2,7 % en 2023, contre 3,2 % en 2022.
Dans un tel environnement, les entreprises devraient, dit-on, s’ouvrir à évaluer les stratégies qui ont fonctionné en 2022 et à en essayer de nouvelles. Ultimement, il s’agit de mieux gérer les risques globaux comme la disponibilité de la main-d’œuvre, l’accès au capital, le changement climatique et les perturbations de la chaîne d’approvisionnement, mais aussi d’autres risques, plus spécifiques à chaque secteur industriel.
Dans cet ordre d’idées, MarshMcLennan et Brink soulignent la pertinence d’intensifier la collecte et l’analyse des données pour mieux comprendre les attentes de consommation des clients et saisir les compétences des employés. Grâce à ces informations, il serait possible d’améliorer, éventuellement, la qualité de la prise de décisions d’entreprise et de mieux gérer des défis multiples.
Par exemple, face à l’augmentation des taux d’intérêt, les entreprises n’auront assurément pas d’autre choix que de monter un plan d’affaires exceptionnellement solide pour accéder à un crédit qui sera plus coûteux. Dans une période incertaine, et avec un éventuel resserrement du crédit, il est envisageable qu’il y ait davantage d’acquisitions à mesure que les entreprises s’effondrent ou recherchent des fusions.
En outre, la persistance des goulots d’étranglement dans la chaîne d’approvisionnement et la pression du protectionnisme créeront peut-être des pénuries qui se répercuteront dans une hausse des prix. Certaines entreprises tenteront de contourner ces contraintes en diversifiant leurs fournisseurs, les emplacements des usines et les stratégies d’expédition.
Une autre contrainte de taille pour les entreprises est de réussir à attirer et retenir les meilleurs talents alors que les baby-boomers expérimentés, dont les plus jeunes ont 60 ans, continueront à prendre leur retraite. Le défi semble aussi de s’adapter rapidement aux attentes de la génération Z, qui représentera 30 % de la main-d’œuvre d’ici 2030. Il est question pour les entreprises d’expérimenter avec les différentes options hybrides pour voir ce qui s’adapte le mieux à la culture des jeunes travailleurs. La semaine de quatre jours sera probablement une des stratégies préférées pour attirer les nouveaux talents.
Enfin, MarshMcLennan et Brink estiment que les actifs numériques continueront leur expansion soutenue par des innovations prometteuses dans la technologie des registres distribués. Apparemment, il y a un fort potentiel pour la finance décentralisée, qui serait plus efficace même s’il n’est pas possible d’assurer que ces solutions sont complètement sécuritaires.