Walmart adopte l’embauche basée sur les compétences pour faire face à la pénurie de main-d’œuvre et à la diminution des inscriptions universitaires
Forbes souligne la décision de Walmart de cesser d’exiger un diplôme des candidats à un emploi au sein de cette entreprise. Désormais, ceux-ci devront soit présenter un diplôme universitaire, soit démontrer qu’ils ont développé des compétences particulières grâce aux expériences accumulées ou à d’autres types d’apprentissages.
Forbes note que pour les emplois qui nécessitent encore un diplôme, Walmart permettra aux employés d’acquérir des unités pour leur expérience de travail sur le terrain via la plateforme d’éducation et de perfectionnement Guild. D’ailleurs, il semble que l’entreprise offrira un plus grand nombre de certificats à ses employés, en plus de développer des outils technologiques pour aider les travailleurs à personnaliser leur parcours de carrière.
En outre, Walmart prévoit offrir une subvention de 5 millions de dollars par le biais de Walmart.org à Rockefeller Philanthropic Advisors et à son initiative SkillsFWD. De cette manière, il sera possible de résoudre les défis liés aux dossiers basés sur les compétences des travailleurs. Forbes note qu’au cours des cinq dernières années, Walmart.org a fait état d’investissements philanthropiques de plus de 140 millions de dollars pour fortifier les systèmes d’embauche basés sur les compétences.
Selon Forbes, avec cette décision, Walmart s’ajoute au nombre croissant d’employeurs aux États-Unis qui délaissent l’exigence d’un diplôme universitaire pour certaines catégories d’emplois telles que la cybersécurité, l’analyse de données ou les opérations. En effet, dans un contexte où se conjuguent une pénurie sans précédent de main-d’œuvre, une diminution des inscriptions à l’université, ainsi qu’une augmentation des coûts et des efforts des entreprises pour diversifier leur personnel, le sujet de l’embauche fondée sur les compétences est devenu quasiment incontournable.
Forbes mentionne que d’autres entreprises aussi réputées et puissantes que IBM, Accenture et Google, entre bien d’autres, font des efforts pour réduire le nombre de postes exigeant un diplôme. Le magazine cite un rapport de 2022 du Burning Glass Institute selon lequel entre 2017 et 2019, près de 46 % des professions moyennement qualifiées et 31 % des professions hautement qualifiées ont connu une réduction « significative » des exigences en matière de diplômes. De plus, la Brookings Institution note que seulement en juin, quelque 13 États ont supprimé les exigences injustifiées de diplômes pour certains emplois gouvernementaux.
Le nouveau défi pour les entreprises est de composer avec l’évolution rapide de la demande pour de nouvelles compétences. En effet, il devient de plus en plus difficile pour les organisations de prédire de quels emplois elles auront besoin avec l’avènement de nouvelles technologies disruptives comme l’intelligence artificielle générative. C’est pourquoi Walmart travaille avec des partenaires qui analysent les données du marché et cartographient les compétences nécessaires pour l’avenir.
Forbes souligne la décision de Walmart de cesser d’exiger un diplôme des candidats à un emploi au sein de cette entreprise. Désormais, ceux-ci devront soit présenter un diplôme universitaire, soit démontrer qu’ils ont développé des compétences particulières grâce aux expériences accumulées ou à d’autres types d’apprentissages.
Forbes note que pour les emplois qui nécessitent encore un diplôme, Walmart permettra aux employés d’acquérir des unités pour leur expérience de travail sur le terrain via la plateforme d’éducation et de perfectionnement Guild. D’ailleurs, il semble que l’entreprise offrira un plus grand nombre de certificats à ses employés, en plus de développer des outils technologiques pour aider les travailleurs à personnaliser leur parcours de carrière.
En outre, Walmart prévoit offrir une subvention de 5 millions de dollars par le biais de Walmart.org à Rockefeller Philanthropic Advisors et à son initiative SkillsFWD. De cette manière, il sera possible de résoudre les défis liés aux dossiers basés sur les compétences des travailleurs. Forbes note qu’au cours des cinq dernières années, Walmart.org a fait état d’investissements philanthropiques de plus de 140 millions de dollars pour fortifier les systèmes d’embauche basés sur les compétences.
Selon Forbes, avec cette décision, Walmart s’ajoute au nombre croissant d’employeurs aux États-Unis qui délaissent l’exigence d’un diplôme universitaire pour certaines catégories d’emplois telles que la cybersécurité, l’analyse de données ou les opérations. En effet, dans un contexte où se conjuguent une pénurie sans précédent de main-d’œuvre, une diminution des inscriptions à l’université, ainsi qu’une augmentation des coûts et des efforts des entreprises pour diversifier leur personnel, le sujet de l’embauche fondée sur les compétences est devenu quasiment incontournable.
Forbes mentionne que d’autres entreprises aussi réputées et puissantes que IBM, Accenture et Google, entre bien d’autres, font des efforts pour réduire le nombre de postes exigeant un diplôme. Le magazine cite un rapport de 2022 du Burning Glass Institute selon lequel entre 2017 et 2019, près de 46 % des professions moyennement qualifiées et 31 % des professions hautement qualifiées ont connu une réduction « significative » des exigences en matière de diplômes. De plus, la Brookings Institution note que seulement en juin, quelque 13 États ont supprimé les exigences injustifiées de diplômes pour certains emplois gouvernementaux.
Le nouveau défi pour les entreprises est de composer avec l’évolution rapide de la demande pour de nouvelles compétences. En effet, il devient de plus en plus difficile pour les organisations de prédire de quels emplois elles auront besoin avec l’avènement de nouvelles technologies disruptives comme l’intelligence artificielle générative. C’est pourquoi Walmart travaille avec des partenaires qui analysent les données du marché et cartographient les compétences nécessaires pour l’avenir.