Une percée technologique pourrait résoudre le problème qui entrave la fabrication des catalyseurs produisant l’hydrogène vert
Engineering.com commente une percée technologique qui pourrait résoudre un goulet d’étranglement technique majeur entravant la production d’hydrogène propre par l’entremise de l’électrolyse de l’eau. C’est ce qu’on appelle le dilemme de l’iridium. Pour saisir la portée de cette innovation, il faut comprendre qu’une des principales techniques pour produire de l’hydrogène propre – qui est considéré comme une solution potentielle à la production d’énergie durable et à la fabrication décarbonisée – est l’utilisation d’un catalyseur d’électrolyse de l’eau.
Celui qui est utilisé traditionnellement est l’oxyde d’iridium. Il s’agit d’un composant chimique rare qui, à l’heure actuelle, à cause de la crise de la chaîne d’approvisionnement, est devenu extrêmement coûteux à obtenir. Il faudrait, dit-on, trouver d’autres catalyseurs pour soutenir la transition vers l’hydrogène propre à un moment où les experts prévoient un écart majeur entre les réserves mondiales de composants chimiques et la demande internationale pour la production d’énergie durable d’ici 2030.
Dans ce contexte, Enginnering.com souligne la percée accomplie par Mattiq, une société de chimie et de science des matériaux. Suivant l’exemple de l’industrie pharmaceutique, les chercheurs de cette entreprise ont combiné des expériences à microéchelle, la robotique, l’intelligence artificielle (IA) et l’apprentissage automatique pour accélérer la découverte de nouveaux catalyseurs.
Enginnering.com note que l’activité de Mattiq est encouragée par la décision du gouvernement américain d’effectuer des investissements majeurs dans les nouveaux pôles d’hydrogène annoncée tout récemment. Cette entreprise y verrait une chance de commercialiser ses catalyseurs à grande échelle.
Dans le détail, Enginnering.com note que Mattiq a conçu un procédé de synthèse de matériaux (nanoparticules) inorganiques sur une micropuce. En réduisant la technologie des électrolyseurs à l’échelle nanométrique, cette entreprise a pu tester de nombreuses combinaisons d’éléments dans diverses structures afin d’évaluer leur comportement, leur efficacité et leur durabilité en tant que catalyseurs pour l’électrolyse. Ces tests permettent ainsi d’évaluer différentes hypothèses pour une application ultérieure dans des dispositifs de plus grande taille.
Enginnering.com note qu’en plus de ce processus expérimental, Mattiq a mis au point un procédé basé sur l’apprentissage automatique pour accélérer davantage la conception et le développement de différentes compositions de catalyseurs. C’est cette technologie qui permet de prioriser les combinaisons à tester dans ses expériences d’électrolyse à l’échelle nanométrique. Bref, les données générées lors de ces expériences alimentent des algorithmes qui peuvent prédire la performance des matériaux.
L’accélération de la recherche est à souligner. Les experts de Mattiq signalent qu’au cours des derniers mois, ils ont synthétisé et évalué des millions de combinaisons de différents éléments en matière de durabilité, d’efficacité et de praticité pour les applications industrielles. Apparemment, grâce aux nouvelles technologies, le travail qui prenait des années peut désormais être effectué en une fraction de ce temps avec une rigueur plus grande que jamais.
Engineering.com commente une percée technologique qui pourrait résoudre un goulet d’étranglement technique majeur entravant la production d’hydrogène propre par l’entremise de l’électrolyse de l’eau. C’est ce qu’on appelle le dilemme de l’iridium. Pour saisir la portée de cette innovation, il faut comprendre qu’une des principales techniques pour produire de l’hydrogène propre – qui est considéré comme une solution potentielle à la production d’énergie durable et à la fabrication décarbonisée – est l’utilisation d’un catalyseur d’électrolyse de l’eau.
Celui qui est utilisé traditionnellement est l’oxyde d’iridium. Il s’agit d’un composant chimique rare qui, à l’heure actuelle, à cause de la crise de la chaîne d’approvisionnement, est devenu extrêmement coûteux à obtenir. Il faudrait, dit-on, trouver d’autres catalyseurs pour soutenir la transition vers l’hydrogène propre à un moment où les experts prévoient un écart majeur entre les réserves mondiales de composants chimiques et la demande internationale pour la production d’énergie durable d’ici 2030.
Dans ce contexte, Enginnering.com souligne la percée accomplie par Mattiq, une société de chimie et de science des matériaux. Suivant l’exemple de l’industrie pharmaceutique, les chercheurs de cette entreprise ont combiné des expériences à microéchelle, la robotique, l’intelligence artificielle (IA) et l’apprentissage automatique pour accélérer la découverte de nouveaux catalyseurs.
Enginnering.com note que l’activité de Mattiq est encouragée par la décision du gouvernement américain d’effectuer des investissements majeurs dans les nouveaux pôles d’hydrogène annoncée tout récemment. Cette entreprise y verrait une chance de commercialiser ses catalyseurs à grande échelle.
Dans le détail, Enginnering.com note que Mattiq a conçu un procédé de synthèse de matériaux (nanoparticules) inorganiques sur une micropuce. En réduisant la technologie des électrolyseurs à l’échelle nanométrique, cette entreprise a pu tester de nombreuses combinaisons d’éléments dans diverses structures afin d’évaluer leur comportement, leur efficacité et leur durabilité en tant que catalyseurs pour l’électrolyse. Ces tests permettent ainsi d’évaluer différentes hypothèses pour une application ultérieure dans des dispositifs de plus grande taille.
Enginnering.com note qu’en plus de ce processus expérimental, Mattiq a mis au point un procédé basé sur l’apprentissage automatique pour accélérer davantage la conception et le développement de différentes compositions de catalyseurs. C’est cette technologie qui permet de prioriser les combinaisons à tester dans ses expériences d’électrolyse à l’échelle nanométrique. Bref, les données générées lors de ces expériences alimentent des algorithmes qui peuvent prédire la performance des matériaux.
L’accélération de la recherche est à souligner. Les experts de Mattiq signalent qu’au cours des derniers mois, ils ont synthétisé et évalué des millions de combinaisons de différents éléments en matière de durabilité, d’efficacité et de praticité pour les applications industrielles. Apparemment, grâce aux nouvelles technologies, le travail qui prenait des années peut désormais être effectué en une fraction de ce temps avec une rigueur plus grande que jamais.