Une nouvelle pratique devient incontournable dans les fusions et acquisitions
Selon un article du Harvard Law School Forum on Corporate Governance, la diligence raisonnable en matière environnementale, sociale et de gouvernance (ESG) est désormais indispensable pour les transactions de fusions et acquisitions. C’est ce que révèle une récente enquête mondiale effectuée par le Boston Consulting Group (BCG) et Gibson Dunn auprès de 115 négociateurs en Europe, en Amérique du Nord et du Sud (y compris aux États-Unis) et en Asie. Les négociateurs interrogés appartiennent à divers secteurs et participent à des transactions de différentes tailles.
Apparemment, les évaluations ESG seraient cruciales non seulement pour atténuer les risques, mais également pour préserver et accroître la valeur des transactions. Il s’agirait donc d’un domaine émergeant dont l’importance est perceptible dans le fait que, selon l’enquête, les deux tiers des professionnels des fusions et acquisitions, tous secteurs confondus, ont déclaré être sensibles aux enjeux ESG lors de transactions.
Selon cet article, les facteurs ESG continueront de jouer un rôle central dans la conclusion de transactions dans divers secteurs à moyen et long termes. Cela s’explique par l’influence de plusieurs facteurs qui ont rendu la diligence raisonnable ESG de plus en plus cruciale au cours des processus de fusions et d’acquisitions pour atteindre les objectifs des investisseurs professionnels et financiers.
Parmi ces facteurs, on mentionne, par exemple :
- la prépondérance des objectifs de carboneutralité;
- les rapports sur le développement durable;
- la diversité et la conformité réglementaire globale.
Malgré leur importance croissante, l’influence des processus de diligence raisonnable ESG ne serait pas uniforme selon les régions et selon la taille des transactions. L’Europe est le chef de file, car la moitié des transactions dans ce continent se conformeraient à un processus de diligence ESG, contre un tiers des transactions en Amérique du Nord et du Sud et en Asie.
De plus, cette pratique serait plus fréquente dans les acquisitions importantes, où elle serait présente dans environ 60 % des cas. Dans les acquisitions de taille moyenne, ce pourcentage diminue à environ 40 %, tandis que pour les petites acquisitions, la fréquence de la diligence ESG est d’environ 30 %.
L’article souligne que l’atténuation des risques serait l’un des avantages principaux de la diligence ESG. Les répondants à l’enquête du BCG et de Gibson Dunn signalent que l’évaluation des risques réputationnels et des risques réglementaires et juridiques associés à la transition vers la carboneutralité constitue la raison la plus importante pour s’engager dans cette pratique.
La gestion de ces risques de transition et opérationnels serait devenue un enjeu pour les entreprises, qui doivent désormais faire face à une surveillance publique accrue, à des réglementations plus strictes et à la portée internationale plus large des exigences de conformité.
Selon un article du Harvard Law School Forum on Corporate Governance, la diligence raisonnable en matière environnementale, sociale et de gouvernance (ESG) est désormais indispensable pour les transactions de fusions et acquisitions. C’est ce que révèle une récente enquête mondiale effectuée par le Boston Consulting Group (BCG) et Gibson Dunn auprès de 115 négociateurs en Europe, en Amérique du Nord et du Sud (y compris aux États-Unis) et en Asie. Les négociateurs interrogés appartiennent à divers secteurs et participent à des transactions de différentes tailles.
Apparemment, les évaluations ESG seraient cruciales non seulement pour atténuer les risques, mais également pour préserver et accroître la valeur des transactions. Il s’agirait donc d’un domaine émergeant dont l’importance est perceptible dans le fait que, selon l’enquête, les deux tiers des professionnels des fusions et acquisitions, tous secteurs confondus, ont déclaré être sensibles aux enjeux ESG lors de transactions.
Selon cet article, les facteurs ESG continueront de jouer un rôle central dans la conclusion de transactions dans divers secteurs à moyen et long termes. Cela s’explique par l’influence de plusieurs facteurs qui ont rendu la diligence raisonnable ESG de plus en plus cruciale au cours des processus de fusions et d’acquisitions pour atteindre les objectifs des investisseurs professionnels et financiers.
Parmi ces facteurs, on mentionne, par exemple :
- la prépondérance des objectifs de carboneutralité;
- les rapports sur le développement durable;
- la diversité et la conformité réglementaire globale.
Malgré leur importance croissante, l’influence des processus de diligence raisonnable ESG ne serait pas uniforme selon les régions et selon la taille des transactions. L’Europe est le chef de file, car la moitié des transactions dans ce continent se conformeraient à un processus de diligence ESG, contre un tiers des transactions en Amérique du Nord et du Sud et en Asie.
De plus, cette pratique serait plus fréquente dans les acquisitions importantes, où elle serait présente dans environ 60 % des cas. Dans les acquisitions de taille moyenne, ce pourcentage diminue à environ 40 %, tandis que pour les petites acquisitions, la fréquence de la diligence ESG est d’environ 30 %.
L’article souligne que l’atténuation des risques serait l’un des avantages principaux de la diligence ESG. Les répondants à l’enquête du BCG et de Gibson Dunn signalent que l’évaluation des risques réputationnels et des risques réglementaires et juridiques associés à la transition vers la carboneutralité constitue la raison la plus importante pour s’engager dans cette pratique.
La gestion de ces risques de transition et opérationnels serait devenue un enjeu pour les entreprises, qui doivent désormais faire face à une surveillance publique accrue, à des réglementations plus strictes et à la portée internationale plus large des exigences de conformité.