Tirer parti de la connectivité numérique pour retenir les travailleurs du secteur manufacturier
Un article d’IndustryWeek commente le potentiel de la connectivité numérique pour diminuer le taux de roulement des travailleurs dans le secteur manufacturier. En effet, grâce aux technologies connectées, les opérateurs pourraient diffuser au niveau organisationnel des données sur les problèmes de qualité, de productivité et d’efficacité de l’usine. Cela les rendrait, dit-on, moins portés à quitter leur emploi et à en rechercher un autre où ils seraient plus écoutés.
Ce sont les conclusions d’un rapport intitulé « What’s Holding Manufacturers Back in 2024? », publié par L2L, qui met en relief la multitude de technologies connectées disponibles actuellement. Le rapport cite des options simples, comme les téléphones intelligents, les tablettes et les tableaux montés aux murs, ainsi que des appareils avancés, comme les casques de réalité augmentée et mixte. Le principe de toutes les technologies est toujours le même : offrir la possibilité de diffuser largement des informations pour suivre la performance de l’usine et améliorer la prise de décision.
L’article avance l’idée que, hormis l’accroissement de l’efficacité opérationnelle, cette connectivité pourrait aider à diminuer les départs de travailleurs. Certes, la numérisation aurait homogénéisé autant les opérations des usines que les compétences des travailleurs. De ce fait, si ces derniers sont insatisfaits, ils peuvent passer d’une usine de fabrication à une autre, quel que soit le secteur dans lequel ils évoluent, et s’y adapter immédiatement. La pénurie de main-d’œuvre ne ferait qu’accélérer cette dynamique.
Aux dires des experts, les travailleurs sont moins tolérants lorsqu’ils s’aperçoivent qu’ils pourront plus tard obtenir un emploi identique à celui qu’ils occupent actuellement, mais où ils pourront avoir, peut-être, la possibilité de se sentir plus impliqués. C’est ce dernier constat qui mettrait en relief le rôle de la connectivité technologique en tant que facilitateur de la communication.
L’article note que, traditionnellement, au cours d’une journée normale, les superviseurs n’ont peut-être pas le temps de répertorier toutes les suggestions et préoccupations qui leur sont adressées par les employés. C’est pourquoi, en l’absence d’un système ou de processus permettant aux superviseurs de répertorier ces éléments, il y a un risque que certains travailleurs aient l’impression de ne pas être écoutés.
Conséquemment, de la même façon dont les gestionnaires appliquent des méthodes et des techniques pour résoudre les problèmes dans une usine, ils pourraient appliquer, par exemple, l’approche six sigma, la méthodologie de gestion allégée ou la méthode 5S pour résoudre des problèmes liés à la communication.
Bref, grâce à la connectivité, il serait possible d’impliquer les opérateurs en leur permettant d’expliquer pourquoi ils n’ont pas réussi à atteindre la productivité attendue. Dans cette perspective, les travailleurs sur le plancher deviennent la plus grande source de données en temps réel, et ces informations sont intégrées à la plateforme de travailleurs connectée afin que les gens puissent les voir.
Un article d’IndustryWeek commente le potentiel de la connectivité numérique pour diminuer le taux de roulement des travailleurs dans le secteur manufacturier. En effet, grâce aux technologies connectées, les opérateurs pourraient diffuser au niveau organisationnel des données sur les problèmes de qualité, de productivité et d’efficacité de l’usine. Cela les rendrait, dit-on, moins portés à quitter leur emploi et à en rechercher un autre où ils seraient plus écoutés.
Ce sont les conclusions d’un rapport intitulé « What’s Holding Manufacturers Back in 2024? », publié par L2L, qui met en relief la multitude de technologies connectées disponibles actuellement. Le rapport cite des options simples, comme les téléphones intelligents, les tablettes et les tableaux montés aux murs, ainsi que des appareils avancés, comme les casques de réalité augmentée et mixte. Le principe de toutes les technologies est toujours le même : offrir la possibilité de diffuser largement des informations pour suivre la performance de l’usine et améliorer la prise de décision.
L’article avance l’idée que, hormis l’accroissement de l’efficacité opérationnelle, cette connectivité pourrait aider à diminuer les départs de travailleurs. Certes, la numérisation aurait homogénéisé autant les opérations des usines que les compétences des travailleurs. De ce fait, si ces derniers sont insatisfaits, ils peuvent passer d’une usine de fabrication à une autre, quel que soit le secteur dans lequel ils évoluent, et s’y adapter immédiatement. La pénurie de main-d’œuvre ne ferait qu’accélérer cette dynamique.
Aux dires des experts, les travailleurs sont moins tolérants lorsqu’ils s’aperçoivent qu’ils pourront plus tard obtenir un emploi identique à celui qu’ils occupent actuellement, mais où ils pourront avoir, peut-être, la possibilité de se sentir plus impliqués. C’est ce dernier constat qui mettrait en relief le rôle de la connectivité technologique en tant que facilitateur de la communication.
L’article note que, traditionnellement, au cours d’une journée normale, les superviseurs n’ont peut-être pas le temps de répertorier toutes les suggestions et préoccupations qui leur sont adressées par les employés. C’est pourquoi, en l’absence d’un système ou de processus permettant aux superviseurs de répertorier ces éléments, il y a un risque que certains travailleurs aient l’impression de ne pas être écoutés.
Conséquemment, de la même façon dont les gestionnaires appliquent des méthodes et des techniques pour résoudre les problèmes dans une usine, ils pourraient appliquer, par exemple, l’approche six sigma, la méthodologie de gestion allégée ou la méthode 5S pour résoudre des problèmes liés à la communication.
Bref, grâce à la connectivité, il serait possible d’impliquer les opérateurs en leur permettant d’expliquer pourquoi ils n’ont pas réussi à atteindre la productivité attendue. Dans cette perspective, les travailleurs sur le plancher deviennent la plus grande source de données en temps réel, et ces informations sont intégrées à la plateforme de travailleurs connectée afin que les gens puissent les voir.